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Sciences décalées

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Message par Admin Jeu 4 Sep - 17:13

Je viens de lire l'Intégrale de Cauchy. Ce qui me satisfait : au moins je suis sur la même base de travail, seul l'outil est différent.

C'est une découverte de premier ordre que revendique ces Mathématiques autrement : les puissances entières ou fractionnaires d'un nombre entier ou fractionnaire de par un processus contrôlé de combinaisons en différentiations  (X i & Y i) c'est à dire la variation double, au terme de  (X  i+1) et (Y  i +1) se trouve une division sans reste.

Ce qui conduit à dire que s'y trouve une  limite au delà de laquelle : le rapport différentiel est constant , d’où de ces mathématiques autrement avec la notion de continu.

La façon d'en calculer l'Intégrale s'en trouve différente.  En effet suivant ces Mathématiques autrement, les subdivisions de l’intervalle  [ x0   ,X ] sont en rapport suivant une fonction, que je vais tenter d'expliquer ( cette fonction se rapproche de ce que j'ai lu sur le calcul Ombral) 

Je suppose une réalité mathématique concernant l'expression du  terme f ( ) pour exprimer fonction de  ;  que f (.)   soit une expression à laquelle s'applique sur les mêmes modes opératoires que le calcul sur les nombres,  entre autres la factorisation.

Dans ce modèle de Mathématiques autrement, le point de  f (.) représente les combinaisons

Soit l'équation utilisé par Louis Cauchy : S = (x1 -x0) f (x0) + (x2 -x1) f (x1) +  (x3 - x2) f (x2 ) +...+ (X - x n-1) f (x n-1)

Ces mathématiques autrement permettent d’écrire f ( x0 , x1 , x2 , ..., xn) comme un fonction d'un Groupe.

Ici , cette fonction d'un Groupe, est active sur le Groupe lui même.

Le résultat de la  Somme est immédiat, j'en ferai la démonstration c'est la décomposition d'un Polynôme de degré (n) en Somme de Polynômes qui lui sont de degré inférieur.

La valeur  S ne parvient pas  à devenir sensiblement constante comme cela en est avec l'équation de Louis Cauchy  ;   la fonction  f (.)  la rend la valeur S constante.

La fonction f (.) n'est  pas explorée entièrement. Je ne peux en donner une définition exacte .  j'en ai cerné la cause mais pas totalement  toutes les implications

Dans l'expression  : f ( x0 , x1 , x2 , ..., xn)  ; le sépaprateur " , "  peut être remplacé par le signe " + "   ; or , " + " est une incrémentation .
le signe " - " son inverse est aussi une incrémentation  dans le sens inverse  ; qui pourrait impliquer d'autres conséquences comme le signe le signe "  x  "   ou  " / "  ou autres signes .

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Message par Admin Sam 6 Sep - 21:41

Pour une raison qui m'interroge, je viens de perdre plus de 6 heures d'explication sur la différence entre ces mathématiques autrement et les actuelles.
Ce temps de réflexion m'a permis d'en cerner les contours avec la précision du chirurgien. C'en était devenu démonstratif.
Je me propose  de reprendre cela ces prochains jours , je ne pensais pas que l’approche en serait aussi limpide . Il est donc possible que je transforme cela en page Web

1 er objectif : le pourquoi , le comment ,  l'exponentielle est une fonction fini .

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Message par Admin Lun 8 Sep - 9:48

La manière de concevoir les mathématiques étant totalement différente , ce week-end je me suis obligé à lire des cours sur l'analyse. 
Et j'ai fini par comprendre comment expliquer l'exponentielle une fonction finie.

le pourquoi :

l'exponentielle se décompose en trois fonctions 
- une fonction incrémentale  délimité entre - infini et + infini
- une fonction composée de deux fonctions  délimitées  entre - infini et + infini , et  fonction primitive l'une de l'autre .

le comment :

Ces fonctions primitives l'une de l'autre deviennent bornes de la fonction incrémentale
qui elle même en devient la constante .

Il résulte que la fonction exponentielle est une fonction de fonction entre deux limites.

Ce qui m'a inspiré le fini expansif 

dont je connais chacune des fonctions et l'équation qui en fait la liaison.


B.Riemann en fait une fonction par palier,  j'en fais la fonction continu d'une fonction par palier.


C'est toute la différence mais quelle différence !


copyright  Jean-claude LELONG-BONNARIC  08 septembre 2014   11h 50

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Message par Admin Lun 8 Sep - 10:22

Pourquoi cela serait il en rapport aux Nombres Premiers ?

La raison qui peut être avancée de par les mathématiques autrement, ils sont le cas particulier de cette Structure Tri-Orthogonale dont je viens de décomposer les fonctions.

Sachant où les trouver dans la Structure, il m'est moins difficile d'en faire la construction de la fonction.

Au fur et à mesure que j'avance dans ma tentative d'explication pour cette différence entre Mathématiques autrement et Mathématiques actuelles j'observe que j'approche  l'Hypothèse de B. Riemann en décomposant les éléments que lui même aura utilisé pour définir son paysage Zêta, si je m'en réfère au livre (Symphonie des Nombres Premiers , Marc du Sautois , page 138 )

Dans ce même livre page 147 en note bas de page est écrit : "le défi : comment faire correspondre la courbe lisse R (N) raffinement  de B. Riemann, en haut , à la courbe Pi (N) l'escalier des nombres premiers , en bas."

Je pense que celui qui aura suivi le raisonnement ne devrait plus se poser la question .

Pour l'instant je ne donne pas la réponse apportée par les Mathématique autrement qui donne un résultat formel.

La raison je l'ai donnée dans mes interventions sur ce forum , plus blog  que lieu d'échange.

Le but de ce forum , est de créer l’antécédent pour éviter ce type de dilemme "qui a inventé quoi"  comme il en est de I. Newton et W. Leibniz pour l'invention du calcul Intégral .

Consacrer  50 ans d'une vie à l'invention , faire de la recherche fondamentale, et se voir pillé , j'ai connu cela à plusieurs reprise.

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Message par Admin Lun 8 Sep - 13:14

Concours de circonstances , ou "Loi Fondamentale " ,ces mathématiques autrement ont toutes leurs places en Sciences et Physique .

Mettant en application les conclusions, dans mon atelier laboratoire, j'ai pu matériellement construire : le double replis du plan comme  1/4 de la surface sphérique.

La division de Pi  par un nombre entier donne un résultat formel.

Le plan utilisé est un plan fini  borné  (puisque matérialisé) c'est une fonction de fonctions primitives faussement continues.

La raison, ce plan bien qu'il ne peut ce voir visuellement possède un trou qui en est le centre. Donc le centre du plan est une rupture entre deux extrêmes. C'est le point d'axe du plan. La fonction de fonction des primitives qui génère ce plan  n'est plus définie continue entre - infini et +infini . Et, du point de vue géométrique , le point de centre est partie intégrante du plan circulaire. Cela fait partie de la démonstration " sur la complémentarité  , deux parties disjointes, incluses dans un ensemble vide ou non vide."


De cette discontinuité par le point de centre,  se pose une interrogation : il aurait il incompatibilité de résultat entre la Physique et leurs mathématiques appliquées ?

Apparemment non ! Ces mathématiques autrement confirment ce résultat.

Ce Plan , est la transformation du cercle du plan euclidien sans discontinuité, qui multiplié par 4 donne la surface sphérique sans discontinuité. Deux cas sont possibles, pour le volume :

- soit utiliser la surfaces en expansion incrémenté du plan euclidien toujours mutiplié par  4
- soit utiliser l'expansion incrémentée de la surface sphérique .

C'est à dire inverser le champs d'application de l'incrément sur les fonctions définies . Cela sur la totalité du plan euclidien ( défini par le rayon ) ou sur la totalité de chaque plan sphérique, mais également,  par alternance, entre l'un et l'autre des modèles  suivant toutes les combinaisons possibles, sans que cela ne change le résultat final. Toutefois la continuité dans l'alternance vérifie le continu comme cyclique.

le volume de la sphère, dans le fini , est divisible par 4 , il est divisible par 4  également si il est pris sur l'infini .

La raison, 1/4 multiplicatif est indépendant de Pi . ( la preuve est à la fois visuelle et physique et, intellectuelle et mathématique)

la cause relative à l'infini, le continu est défini par une ligne, seul une rupture à l'un des pôles du volume sphérique produit deux limites par élimination d'un point de bordure . Je pense que c'est totalement compatible avec la théorie de H.L. Lebesgue

Ce point éliminé  dés lors  peut être défini (infini ) et les deux parties  laissées  : soit chacune bornes limites avant l'infini soit aussi prés que possible du point infini, borne epsilon.

Ceci  sans que cela ne change quoi que cela soit au volume de la sphère  , les deux epsilons et le point, un fini,  clôture  le volume ; lequel volume, divisé par 4  ne serait : autre que le plan euclidien dans ses multiples replis.

Pas de conclusion hâtive,  mais d'ores et dèjà , il faut extraire ce 4 multiplicatif qu'il faut dissocier de Pi.

Outre cela, j'espère en faire une démonstration parfaite , si le fini  et l'infini ne diffère que d'un point qui a valeur d’intervalle =  2 epsilon. Certes 2/4  égale bien 1/2 ;  mais cela est contraire au fait que epsilon est la plus petite valeur admissible;  à la limite cela serait l'inverse ;    (n) étant le plus grand nombre à la limite de l'infini.

1/2 > 1/n , epsilon apparait révéler le renouvellement d'un cycle .

Et,  1/2 le premier point d'inversion .


copyright  Jean-claude LELONG-BONNARIC  08 septembre 2014   19 h 00

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Message par Admin Mar 9 Sep - 9:58

Après avoir disserté sur le sujet  pour tenter une explication sur la différence entre ces Mathématique autrement et les actuelles Mathématiques , la régénérescence imposée par cette gymnastique intellectuelle m'a donné l'occasion d'y trouver un lien plus direct.

Le but initial, est la simplification des Mathématiques. D'où ces mathématiques autrement .

Ce matin, me remémorant en pensée mes écrits de la veille,  j'ai eu le déclic, l’étincelle  du génie qui permet en une seule phrase de définir cette différence , d'en définir en toute simplicité l'outil générique comme moyen de résolution à toutes les fonctions Polynomiales comme Non Polynomiales ;  au point que cela en est presque de l'arithmétique pure.

Lors de mon introduction j'ai soutenu la supposition que les Mathématiques actuelles sont incluse dans ces Mathématiques autrement.

Elles le sont et la base est arithmétique .

La raison : C'est une surface paramétrée et constante, qui analyse une surface délimité  la plus grande entre -infini et +infini.

Pourquoi tous les problèmes y ont leurs solutions ?

la raison : la surface paramétrée et constante  est analysée par  une surface paramétrée et constante qui lui est délimité plus petite. 


Or, cela peut surprendre, mais cela a une fin , lorsque les deux surfaces sont égales.



---------------------------
imaginez à présent  non pas une mais deux surfaces qui analysent une plus grande . Sous condition de lien paramétré  , l'analyse devient du traitement // ;  en effet , il est possible d'ajouter autant de surface -1 pour trouver  la ou les surface
(s) recherchées ( jointes ou disjointes ) .
Polynomial ou non Polynomial  est résolu par l'outil

--------------------------



copyright  Jean-claude LELONG-BONNARIC  09 septembre 2014   12 h 00

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Message par Admin Jeu 11 Sep - 11:07

De ces Mathématiques autrement , est sur le point de naitre une loi sur la composition des Nombres à partir des dérivations.

En effet, les modes de dérivations possibles par le fait de l'équation de la Structure Tri-Orthogonale sont au nombre de trois :

1° la dérivation contrôlée de X^n  à 0  déstructuration totale ( déjà écrit)
2° la dérivation contrôlée de Groupe de la puissance (n)  à (n-1)
3° la dérivation contrôlée de Groupe de la puissance (n)  à ( sous groupe ) puissance (m ) si  m divise n  .


copyright  Jean-claude LELONG-BONNARIC  11 septembre 2014   12 h 00

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Message par Admin Jeu 11 Sep - 11:21

Je porte espoir qu'il y aura un Docteur en Mathématiques ou un collège de Docteurs  pour juger cette recherche fondamentale sur le fond et non la forme.



___________________

A titre d'exemple dans les sous groupes je rencontre "la série des puissances négatives"  et,
 même les  séries de toutes les puissances négatives.

___________________

Ceci est une note d'observation .

La Structure Tri-Orthogonale contient la suite incrémentale des Nombres entiers et fractionnaires de - l'infini à + l'infini et passe par 0.
La structure des dérivations Groupe à la puissance  ne contient pas le 0 .

de fait, cette dernière, élimine toute une partie de la variation et s'entoure en hélice , autour de l'axe des Nombres en ayant sur la génératrice de l'hélice , à un point déterminé , une jonction de laquelle est une dérivation à 0. C'est à dire : en chaque pas de l’hélice est un point de convergence à 0 .

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Message par Admin Lun 15 Sep - 13:14

Autre note d'observation.

Dans cette Structure Tri-Orthogonale, en tous points et pour une seule variation, se trouve  13 degrés de liberté en 2 directions opposées.

Inutile de dire,  chaque point peut être pris pour référentiel, qu'en sorte : que cela soit par une ligne droite , ou sur des plans parallèles , ou même sur une courbe , lorsque l'on passerait d'un premier point pris pour référentiel à un second point , les  coordonnées restent liées par l'équation de la Structure Tri-Orthogonale. (*)

La raison, ces Mathématiques autrement, rassemble en une même équation,  3 fonctions différentes, deux qui sont des fonction continues de - infini  à + infini, l'une contenant le 0  l'autre excluant le 0 , la troisième, étant limitée aux combinaisons possibles de la premier fonction sur la seconde et ses permutations. 

Personnellement, je le vois par la Structure Tri-Orthogonale que j'ai crée de toutes pièces par suite d'analyses  très approfondies.

Mais je suis certain qu'un Mathématicien docteur , voit immédiatement,  que des fonctions sur des limites infinies plus une régulièrement délimitée; et qui sont réciproques l'une des autres, sont nécessairement limitées par le fait qu'elles sont primitives deux à deux.
D'où  ne peut que s'en suivre : une des fonctions devient constante ; et ce n'est jamais celle que l'on croit !!!


Qu'est ce qui vous gêne Messieurs les Mathématiciens ?  L'emploi du langage naturel !!!

Incompréhension, des propos absconses ou simplement que je ne suis pas dans les limites que  seuls , vous  doctes , autorisez à franchir .

Si c'est cela la Science je reste bien heureux dans mon coin à quoi bon vouloir transmettre !


C'est mon coup de gueule , plus de 900 visiteurs, pas un pour poser une critique à laquelle je pourrai répondre?


(*) Cela ne pourrait il  pas avoir un rapport dans l'esprit des transformations de Lorentz ?


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Message par Admin Mar 16 Sep - 12:38

Je cherchais comment donner une explication au replis du plan de la théorie de principe du fini.
https://math-autrement.forumactif.org/t3p15-sciences-decalees
lorsque je me suis souvenu, que dans l'analyse de l'équation d'un champ électromagnétique pour y déceler une logique d'inversion, je suis parvenu à trouver une logique binaire sous condition de séparation d'un champ électrique et d'un champ magnétique tous les deux dissociés  totalement complémentaires l'un de l'autre ; sous condition de champ variant à tour de rôle.

De l'application de ces conditions est né une logique de comptage non linéaire et , la géométrie de la forme primaire du double replis du plan.

Forme que je n'ai pu définitivement comprendre dans sa Géométrie qu'une fois avoir perçu dans "varient à tour de rôle"  :  " un champs constant"  ; -  c'est à dire un champ  axe de pivot pour l'autre. 

L'image mentale que laisse un cube en rotation sur une arrête pour changer de face .

Forme que je n'ai pu synthétiser que bien des années plus tard, et que je commence seulement à comprendre grâce à ces Mathématiques autrement qui en sont un parfait exemple à travers la Structure Tri-Orthogonale.


http://fr.wikipedia.org/wiki/Champ_%C3%A9lectromagn%C3%A9tique

Ce que je viens d’exprimer n'est pas contradictoire avec ce qui est écrit au renvoi Wikipédia  ci dessus .

Outre cela , relisant les transformation de Lorentz   
http://fr.wikipedia.org/wiki/Transformations_de_Lorentz
et la figure :  F et F', deux référentiels inertiels pour localiser un même événement.

J'observe que ; la structure Tri-Orthogonale de ces Mathématiques autrement  peut faire la même chose en bien moins complexe. Et encore sous deux moyens différents qui peuvent s'imbriquer de l'un à l'autre , puisque leur variation est soit sous forme binaire pour définir un chemin  soit sous une forme analogique paramétrée

Pourquoi une telle différence entre ces Mathématiques autrement et les Mathématiques actuelles ?

La raison que je finis par comprendre , ce trouverait, en partie dans la définition du point donnée par Euclide et retenue par les Mathématiques enseignées.

C'est à la lecture des textes écrits sur la Transformation de Lorentz que je vois cette différence.

Le point, si, il est une partie vide, dans un ensemble vide, n'a aucun moyen pour être positionné dans cet espace

à suivre



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Message par Admin Mer 17 Sep - 9:19

Aux personnes qui suivent pour donner un moyen de compréhension, il faut dire comment ses mathématiques autrement sont devenues à mes yeux , une théorie à part entière .

Au départ , c'est intuitif par morceau. Dés études raisonnées sur des sujet induits sans intentions particulières ; autres que, le plaisir dans l'émotion ressenti, dans  l'onde vibratoire émotionnelle,celle qui part du bout orteils jusqu'à vous faire dresser les cheveux . Cela au moment de la prise de conscience que se découvre une intérêt pour la Science. 

C'est aussi intuitif, la recherche passe du raisonné par morceau au raisonné entre morceaux.

En suite, est le temps du recollement de morceaux par l'observation d'un lien entre deux morceaux ; puis entre autres. Cela devient une réaction en chaîne au départ incontrôlée dans laquelle tout s'assemble et se lie pour au final avoir un ensemble cohérent ou chaque morceau d’étude est devenu la brique indispensable à la compréhension du tout.

Je tenais à dire cela , car de mon point de vue cette approche raisonnée n'est pas dans la logique scolaire , cela rejoint plus la Philosophie que les Mathématiques.

En effet, comment ! Des parties, qui n'existent pas dans l'esprit d'une personne (personne qui en cela est inconscient à ou de la chose) sont raisonnés  inconsciemment dans d'autres parties c'est à dire, avant même leur existence.

C'est la conclusion interrogative que j'en ai extrait.

Sur le plan philosophie, là c'est un fait de l'expérience personnelle, il existe une catégorie de personnes qui ont la faculté de modéliser les objets structuré dans le plan de la pensée et même de les faire fonctionner en tournant extérieurement autour du modèle  ou même en tournant à l’intérieur. Mis à part la faculté de certains, la suite est logique, puisque c'est une construction intellectuelle de toutes pièces, il devient logique que par une gymnastique sur chose la pensée puisse se trouver quelque part en mémoire tout l'assemblage déstructuré.

L'analyse raisonnée de cette faculté, attribue au plan de la pensée intellectuelle, alors image virtuelle de la matérialisation des objets, les même propriété géométrique et analytique de construction. la seule différence entre l'objet pensée, et l'objet matière : l'objet matière est volumique 3 dimensions (X,Y,Z)  ; l'objet pensée est volumique (X,Y,Z ) il est possible de tourner autour ou même de l’observer de l’intérieur
alors que c'est un plan image, deux dimensions  (X,Y,     ). La troisième dimension , celle qui permet de tourner autour à l'extérieur comme de l’intérieur à l'objet pensée, est la reconstitution des parties en une autre image mentale; cela est  similaire au défilement de plans filmés.

La conclusion que j'en ai extrait à travers cette observation ( une expérience de la pensée) en tous points de l'image pensée la troisième dimension est dans les combinaisons qui reconstruisent chaque point extrait d'un plan mémoire ; (l’existence de ces combinaisons reconstruisant l'objet est dans l'esprit du mouvement de rotation  autour ou intérieur  à ce qui est déjà reconstruit  en pensée. l'intemporel  et temporel à la fois. Cette dimension décrit l'image mentale comme un plan ( X,Y, Z ) où (Z) de par son existence mentale est une dimension infiniment petite (le mental a le pouvoir séparateur du combinatoire - structuration - déstructuration - de la composition décomposition des objets.

Le plan image de la pensée (X; Y,)  est analogue à l'espace matérialisé (X ;Y ; Z) si est ajouté le combinatoire ; or le combinatoire se trouve déjà dans (X;Y) , ceci raisonné dit :  le plan image de la pensée est aussi (X; Y; Z = infiniment petit  ou bien Z est constant rapport au deux autres dimensions) .

De cela est extrait une troisième conclusion ; le plan mémoire des combinaisons de construction de l'image mentale suivant notre logique  est ordonné. A son contraire l'image en serait indéchiffrable, sans aucune possibilité de tourner autour et à l'intérieur,  sans aucune possibilité de relier les combinaisons , ce qui introduit la non conscience de l'objet, et à la manière d'une logique récursive, l'absence de conscience que  la faculté est une faculté que tout le monde a, mais l'ignore.

Le mental, peut suivre l'image d'un chemin dont il matérialise dans la pensée le cheminement en coordonné ( X ;Y; Z ) cela en tournant autour ou même sur le chemin.  Premier cas est relatif au chemin , le Second cas relatif au chemin lui même , alors que ce sont les mêmes combinaisons.

Conclusion

Première  1° : l'image réalité mentale analogue à la stricte matérialité, dénonce que  - le relatif  vision matérielle des choses de l'extérieur à la chose,  et  le relatif vu de l’intérieur  de la chose elle même : sont des perceptions identiques par leur initiale origine ( les combinaisons) vues par des mouvements différents .

Seconde 2° : relatif et non relatif , ne sont que des perceptions d'une même réalité autant matérielle que mentale.

A présent j’espère au moins la compréhension par quelques lecteurs .




copyright  Jean-claude LELONG-BONNARIC  17 septembre 2014   14 h 40
Cela dit ,

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Message par Admin Mer 17 Sep - 13:13

Si le point géométrique  de ces Mathématiques autrement est identique pour partie à la définition donnée par Euclide et retenue par les Mathématiques actuelles. 

Sans que cela ne change quoi que cela soit à la définition, l’existence de la partie vide du point, (qui ne peut avoir aucun sens,  de pouvoir être une partie vide dans une partie vide), est conditionné à une partie complémentaire suivant deux cas .


le premier cas le point est une partie vide et référente  ( relatif) ; un objet mathématique y réfère.
le second cas , le point est séparatif , deux parties soit d'objet différent soit d'un même objet référent à la même partie vide  ( non relatif)  le point est aussi partie de ou des objets .

copyright  Jean-claude LELONG-BONNARIC  17 septembre 2014   15 h 30


Dernière édition par Admin le Jeu 18 Sep - 17:32, édité 2 fois

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Message par Admin Jeu 18 Sep - 9:26

Cette définition du point géométrique est totalement compatible avec la théorie de H. L. Lebesgue. Quelque soit le référentiel, dans les deux cas de la définition du point les coordonnées (X ; Y ; ) du plan euclidien sont mesurables et, (Z) exprimé et cité plus  avant par le combinatoire : est la mesure.

Je sais que cela peut surprendre,  c'est la raison pour laquelle j'ai cherché à comprendre durant toutes ces années. Il ne suffisait pas d'avoir réponse à tout, il fallait aussi trouver la Structure qui est à la fois ,  plan euclidien et plan volumique.

Le point de l'espace euclidien ,est sur trois dimensions : deux à deux liées, visible , la troisième non visible mais constante.

L'espace Volumique est dans la combinaison des trois dimensions , deux à deux et constante, tour à tour . C'est le relatif , c'est le mouvement de rotation  - 1° construction de l'objet point espace vide ( combinaison ) - 2°  les transitions  (tour à tour).

Pourquoi, Plan volumique, la raison : à chaque transition est une image du plan euclidien.
ce qui est totalement compatible avec tous les modèles de coordonnée des Mathématiques actuelles, sauf que , il est possible d'y ajouter de nouveaux modèles par exemples des coordonnées Orthogonales-normée. 

Le point définition Euclide, est une partie vide sans dimension, le point définition ces mathématiques autrement :  le point est une partie vide, possédant de manière indéterminée la plus petite dimension .  Cela par le fait de Z mesurable avec les combinaisons de (x;y).

D'où , ces mathématiques autrement qui exprime le plan ou l'espace suivant la même équation.  Et comme je l'ai écrit cette équation n'est pas venue du jour au lendemain elle est venu par morceaux et dans une anarchie totale.


copyright  Jean-claude LELONG-BONNARIC  18 septembre 2014   11h 30

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Message par Admin Ven 19 Sep - 7:50

Ceci n'est pas un cours, je n'accompagne le sujet d'aucune  démonstration. Je ne fait qu'introduire ce que sont les éléments qui en sont le socle de base. 

- Le point est introduit, partie vide , de dimension deux + une 
- Le plan est introduit , de dimension deux + une , cette dernière  est un renvoi au combinatoire des deux autres ( dans les deux cas)
- L'espace est introduit de dimension deux + une ; et, en raison du relatif  de rotation autour de , est introduit, une nouvelle dimension de l'espace , la transition entre deux plans //.


Dernière édition par Admin le Lun 22 Sep - 16:42, édité 1 fois

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Message par Admin Dim 21 Sep - 10:15

Avant de poursuivre une petite anecdote.

Mes travaux intriguent mon neveu. Il ne comprends pas tout, mais déjà il a une bonne approche. j'ai été agréablement surpris par une de ses observations " tonton tu fais de mathématiques inversées " et je lui ai répondu : c'est exactement cela. 

Mais quel est le coté pratique  me dit il  ?  Ce à quoi j'ai répondu : avec les mathématiques classiques , tu peux avoir une quantité d'équations que tu vas chercher à résoudre. Avec ces mathématiques  ( tes équations sont déjà résolu. Elles sont déjà inscrite dans la Structure Tri-Orthogonale puisque c'est une Structure  qui contient : sur une dimension et cela entre des limites définies , tous les Nombres multiples et sous multiples  ,y compris le 0 ; et , sur autre  dimension , leurs puissances positives ou négatives entre des limites prédéfinies ; a cela il faut ajouter :   la dimension du combinatoire . Le combinatoire donne pour résultat : par partie, la somme partielle de multiplications des variables combinées entre elles et cela sans oublier leurs permutations.  Et  dans l'ensemble, la somme de toutes les parties (  soit  Sommes de sommes partielles de produits de facteurs combinés) .

Ainsi , si le problème a bien été scindé et structuré en ses variables  et variations ;  dans la Structure Tri-Orthogonale sur un plan se trouve les coordonnées des lieux qui répondent à l’équation ou aux équations identifiées par le problème.

Sur la table  se trouvait une page de journal . Admettons que la feuille de journal représente un plan    solutions  (X;Y) développé   . j'ai pris le journal en ai fait une boule froissée.  Maintenant ,  suivant  suivant les repères fixés par ton problème  trace les  courbes ou les traits relatifs à celui ci et  dont tu as connaissance .

La feuille remise à plat , y sont visibles, les marques des plis replis comme autant de partie planes  ainsi que des parties de courbes qui ont été tracées  . Ces partie sont soit entièrement contenues entre ces plis partant d'un bord d'un plis à l'autre bord du même plis ( plan partiel) , ou ne touchant aucun bord , ou simplement  partant d'un bord et brusquement arrêtée .

Et j'ai ajouté :les coordonnées de tes courbes dans le plan déplié, les coordonnées des limites des faux plan partiels sont définis  polynômes des solutions.

Pourquoi en est il ainsi !  Simplement, la Structure Tri-Orthogonale, est une construction , de variation +1  en X ;  +1 en Y ;  +1 en Z même si z  est le combinatoire  de X i et Yj

Et le plan est celui du journal déplié,  X ; Y;  de variation +1  en X ;  +1 en Y ; 

Mais ou seraient  les Z ?

Il sont dans les coordonnées des lieux , surfaces que constituent la limite des plis ; qui  sont autant de Z k . 

Ce qui implique que les courbes de degré (n) aussi complexes seraient elles  , sont aussi définie dans le plan  suivant X ; Y;  mais aussi par le combinatoire  Z ; qui n'est plus un plan ( mais une seule  dimension ) un chemin  entre l'infini - et l'infini + .


pour rappel de ce qui a été écrit au sujet de la Structure Tri-Orthogonale : deux dimensions X ;Y;   + une dimension  Z ;( z  = combinatoire  de x; y;)

La Structure Tri-Orthogonale  est Tridimensionnelle. Mais pas Tridimensionnelle au sens Vectoriel . Elle peut l'être bien sur au sens Vectoriel  mais ce sont des cas particuliers.


copyright  Jean-claude LELONG-BONNARIC  21 septembre 2014   12h 15

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Message par Admin Dim 21 Sep - 13:41

Pour revenir, au point,  au plan , à l'espace, suivant ces mathématiques autrement  et sa géométrie totalement liée.

le point est inclus dans le plan et suivant sa définition partie vide. Soit le plan est limité à 1 seul point , auquel cas , l'ensemble du plan  X; Y ; est vide et Z le combinatoire également vide. et le point a deux représentations,  deux  dimensions x et y   et/ou une dimension z .

La dimension Z partie vide est bien la définition du point telle que donnée par Euclide ;   la partie vide suivant la définition, est  mesurable , c'est une surface,  de variation +1  sur un intervalle de X , y  constant  ; ou +1 sur un intervalle de Y , x constant ;  ou encore +1  sur les intervalles x et y ;

D’où le point ( partie vide)  , est de définition identique que cela soit , un chemin ,  un plan, ou  l'espace.

Et ajouter des points  (partie vide ) ne changerait rien.

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Message par Admin Dim 21 Sep - 21:47

Suite à cela , un chemin ,  un plan , un espace , partie vide , n'a aucun sens . Exception faite  si, un chemin , un plan , un espace, est limité à une partie vide , alors c'est, le point , le plan, l'espace, en leur minimum et  indéfini.

Je l'expliquerai en temps utile,  un point sur la surface sphérique  ( partie vide est le lieu ) par lequel , la surface sphérique se transforme de surface sphérique en plan euclidien sans aucune déformation.  Ce qui implique que deux points non vide soient commun .

En effet, que des points parties vides n'ont aucun sens, sauf, au point , au plan , à l'espace, en leur minimum ce qui les confonds en une unique partie vide.

D'où, pour que le plan soit plan , il faut définir un repère; et à une partie vide,  associer son contraire , qualifié  partie pleine.

Le point est partie vide, le plan pour être différencié et mesurable, est au moins la somme d'une partie vide plus une partie pleine, son complémentaire. c'est à dire deux parties complémentaires , c'est uniquement la partie complémentaire qui donne son sens mesurable à la partie vide, qui ne pouvait être quantifié mesurable .

Ce qui amène, que , d'un  tout non mesurable  et vide , un point devient, sa  partie vide et mesurable, si cette partie vide trouve son complémentaire.  Or ce complémentaire ne peut en aucun cas être une partie jointe. En effet , le point (partie vide ) mesurable , et le pseudo point (partie pleine ) mesurable sont dans un tout non mesurable (indéfini) si il devait se trouver connexe sans limite entre eux les partie complémentaires, le combinatoire démontrera que : la frontière entre le vide et le plein est parcouru deux fois , ce qui fausse les calculs et les rends incertains.

Aussi , des parties complémentaires ne sont pas connexes, il existe une limite d’inversion lorsque l'on parcours  l'ensemble .

Dans le tout non mesurable sont à présent  , trois points, possibles : deux points, un point vide et un point complémentaire  tout deux mesurables et un point  vide  indéterminé . Ce dernier  à la limite peut être partie vide minimum comme le premier point vide mesurable.

D'où 3 points, sont le plan minimum , et sur une notion d'ensemble ,  ce sont les parties complémentaires incluse dans un ensemble vide ;les  parties complémentaires n'ayant aucune frontières ensemble ; prise une à une ces parties complémentaires sont totalement dissociées. j'y reviendrai  à la suite de ce texte.

J'ai écrit, peu avant , la transformation entre la surface sphérique voire plus loin le volume de la sphère  et  le plan euclidien , passe par le point partie vide autour duquel , est le point entrant et le point sortant ; soit trois points . Ce qui défini exactement le plan selon Euclide.

Avec le  point partie vide selon la définition de Euclide et avec son contraire  a été  introduite la notion de complémentarité .
Définition de la complémentarité : Deux parties sont dites complémentaires si interne à un même ensemble , elles n'ont aucune partie commune .

Cela peut choquer, dans l'ensemble, la frontière bordure qui est commune aux parties complémentaires, il faut y voir le passage des limites entre l'une et l'autre des parties complémentaires ; comme il faut voir dans les parties complémentaires la composition d'une unité.



copyright  Jean-claude LELONG-BONNARIC  21 septembre 2014   23 h 40

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Message par Admin Mar 23 Sep - 12:25

Je ne voulais pas interrompre le fil de la logique, j'ai mis un texte que m'a inspiré la réflexion sur la translation Plan euclidien plan sphérique .

L'intuition suite

Sciences décalées - Page 2 Empty par Admin Aujourd'hui à 14:05


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Message par Admin Mer 24 Sep - 22:07

J'ai écrit, peu avant , la transformation entre la surface sphérique voire plus loin le volume de la sphère  et  le plan euclidien , passe par le point partie vide autour duquel , est le point entrant et le point sortant ; soit trois points . Ce qui défini exactement le plan selon Euclide.
A ce niveau d'explication, et bien que la translation entre le plan euclidien et le plan sphérique puisse être en tous points des deux plans, cela impose des changement de coordonnées relativement compliquées, dont l’intérêt mathématique  est  ?????

Par contre, translater le plan euclidien vers le plan sphérique , cela en utilisant le point, comme origine des axes du plan euclidien, commun à l'un des points pôles du plan sphérique, les coordonnée du plan euclidien et du plan sphériques ont même origine. S'en suit une simplicité de calcul.

En premier , supposant le plan sphérique constitué entièrement de points partie pleine,  de fait , uniquement deux points partie vide à ses pôles. Si le plan euclidien a son point d'origine commun avec le plan sphérique, alors , le plan euclidien possède en commun avec le plan sphérique , une partie,  un ensemble de points non vides, que je désigne "Couronne polaire" , d'autre l'auraient appelé cercle polaire. Je désigne cette partie , de la sorte, si c'est bien un cercle, par définition du point suivant Euclide, sa surface est vide , je me suis exprimé en cela , c'est une partie vide mesurable, tout comme son diamètre.

En second, je l'ai déjà exprimé, pour translater une partie du plan euclidien vers une plan sphérique , se trouve : un point vide connexe à deux points non vides , le point d'entré le point de sortie, de l'un des plans vers l'autre plan . J'ajoute : ces deux points non vides, sont des parties de la Couronne Polaire et sont directement connexe. C'est à dire, exactement si sur une ligne continue, devait être interrompu par un point partie vide. Résulte de cela : deux points non vides intercalés d'un point vide ; soit 3 points mesurables.

Cela à été expliqué , ces trois points mesurables sont dans le plan euclidien et dans le sphérique. Si le plan euclidien n'avait pas d’existence géométrique les points auraient toujours une existante dans l'autre plan sans rien changer.

Je donne à cette explication une importance majeure , dans sa conséquence résulte toutes ces mathématiques du fini Expansif.

Il suffit de démontrer que la "Couronne Polaire", est d'une construction géométrique des plus classiques, et c'est une certitude : "elle est de plus classique" ,  ce qui est difficile c'est la construction mentale pour aboutir. Un fois connu le processus, c'est l’évidence !!!

 par une seule équation sur le mouvement, se démontre que la Couronne Polaire, est faite de parties mesurables non vides, entre des points vides également mesurables , parties mesurables qui prend la définition  "d'Atome Segment" .




Suivant ces Mathématiques autrement, le point géométrique, est défini.

copyright  Jean-claude LELONG-BONNARIC  24 septembre 2014   23 h 30

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Message par Admin Lun 29 Sep - 12:37

Je finis par croire que je ferais parti de ces monstres de la Nature, le Génie incompris ; tant je vois, autant de lecteurs (plus de 900 ) et pas un seul des scientifiques que j'ai convié à lire, n'a décelé dans mes propos ce auquel , je vous renvoi à présent.


https://math-autrement.forumactif.org/t9-sciences-recentrees

Sciences Recentrées

 par Admin 29 septembre à 11:48




Je peux voir à quel point le formatage, devient limiteur de la pensée.



La forme n'est pas dans mes propos , mais le fond ne parlerait il pas tout seul !


Je ne donne plus, j'ai fait cela toute ma vie, et le bénéficie s'en est allé aux autres.



A présent j'apporte  ma contribution à la Science mais cela ne sera uniquement que par suite d'une reconnaissance accordée par des Scientifiques confirmés.

Je veux bien transmettre, mais pas en devenir le maillon invisible dés lors que si je connais bien le fond , je ne connais que le langage symbolique pour exprimer ma lecture de la Nature, et ce n'est pas le langage des Scientifiques.

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Message par Admin Jeu 2 Oct - 11:45

Je  procédais à une expérience, sans protocole précis , juste voir , le comportement d'une aimantation rapport à un modèle de solénoïde suivant la forme du double replis de plan.

- Observation pour le moins bizarroïde :  il faut insister de plusieurs passages à travers le solénoïde  pour trouver la formation d'un courant induit aux bornes ; lequel courant est variant à chaque entré et sortie ( double inversion ) lors de l' inversion du mouvement. 

Apparemment vaincre une force par accumulation avant de trouver un changement visible persistant .

est ce l'aimant qui accumule  ?  Ou est ce le solénoïde qui accumule ?

Je pencherai pour l'aimant et le solénoïde à la fois .


Mais ce qui fut surprenant et j'en cherche l'explication .

 j'ai posé dans l'axe du solénoïde, un aimant sur une plaque d'alu.

 Sans qu'il n'y eut une alimentation en courant au borne du solénoïde,  l'aimant à changé de direction.

en tournant sur lui même. je pouvais penser que cela était du à un effet de boussole , mais cela n'est pas possible  , l'orientation ne se trouvait pas Nord, Sud que je situe très bien .

1° Soit le solénoïde capte un champs électrique et transfère la force à l'aimant (  la raison du pivot de l'aimant sur lui même  ) cela serait trop beau cela voudrait dire , que le double replis du plan intercepte le champs électrique et le transforme en champs magnétique qui s'oppose suivant une partie du plan ou s'ajoute suivant une autre partie du même plan.

2° Soit, je me trouve à coté d'un champs magnétique dont il me faut trouver la source.

La premier est exactement ce que la géométrie me laisse prévoir comme résultat.

Le second est une incertitude qu'il ne faut pas négliger.



Plus aucune incertitude, je viens de passer à mon atelier de bricolage, et j'ai commencé par reproduire la même procédure

1° charger le solénoïde  par des passages de l'aimant

2° déplacement au centre  faible variation

3° j'ai posé l'aimant (A ) bien au delà du solénoïde et au devant de la partie du plan qui est supposé être faible ou nulle ( vu ce matin)

4° j'ai fait passer un autre aimant (B) de même nature son jumeaux, cela  pour rechercher si cela était l'aimant qu'il fallait faire accumuler ( une force d’aimantation), le faisant passer là, où (vu ce matin) j'ai une forte variation de courant au galvanomètre



Résultat : à une distance d'environs 20 cm l'un (A) de l'autre (B) , l'introduction de l'aimant (B) dans le champs du solénoïde a eu pour effet immédiat d’éjecter  l'aimant (A)  dans le même sens et la même direction comme si lui avait été donné une pichenette
j'ai même cru un instant que l'aimant (A) se soulevait avant de recevoir une force de répulsion


Dernière édition par Admin le Jeu 2 Oct - 17:31, édité 1 fois

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Message par Admin Jeu 2 Oct - 12:57

Réflexion faite, c'est pas banal  .

Alors que champs magnétiques et champs électriques sont des ondes séparées, le double replis du plan en fait une concentration.

Un champ magnétique avec des trous, je n'avais jamais vu cela ?????

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Message par Admin Ven 3 Oct - 12:55

toujours sur la réflexion !

Qui n'est pas de l'imagination mais de l 'observation.

Lorsque il y a double replis du plan , dans la transformation, il se passe une chose , qui a été visible seulement en utilisant une bulle de savon pour en connaitre la transformation exacte.

Les replis du plan sont observables par le faite de la réduction d'un cube ; ( certainement visible dans le fait qu'une bulle d'air est emprisonnées à l'intérieur du cube lors de la transformation et fait contrepression, sorte de cube dans l'espace) . En fait la transformation est sur trois axes à la fois , comme si les trois arrêtes opposées des coins du cube se réduisaient en une ligne suivant une sorte de compression en torsion .

A la limite , penser que l'inverse serait possible , décompression et torsion inverse , construiraient un cube qui une fois très grand dissociant les trois lignes d’Arêtes ( diagonale du cube rayon , devenant  un diamètre,  se retrouverait un plan a déplier . devenant circulaire .

La transformation du plan euclidien en plan sphérique passe par la réduction de volume d'un cube , suivant une compression et une torsion , puis devient point de centre.
et si je comprends bien , je rencontre  (4 Pi) dans la transformation

si je pousse l'analyse plus loin , de part et autre du cube sur les coins de la même diagonale du cube , je réduis l’équivalent de trois vecteurs de chaque coté .

Je suis dans l'expansion ou  compression  ; ce qui rejoint la théorie du fini expansif.

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Message par Admin Ven 3 Oct - 13:06

J'ai obtenu un cube en utilisant  ( seulement  (Pi) et non (4 Pi))

Mais si j'avais pu utiliser (4 Pi )   je devrais obtenir en remplacement du cube , une sphère faite de micro plans euclidiens , toujours réduction de trois vecteurs.

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Message par Admin Sam 4 Oct - 20:30

Cela est juste pour une base géométrique réductrice à deux plans. Mais suivant ce qui est écrit au thème intuition suite de ce même jour.

Je viens de voir que cela peut passer à 3 plans , 4 plans , (n) plans , réduisant d'autant le multiplicateur de  ( . Pi) tout en gardant les même propriétés de la translation plan euclidien plan sphérique sans transformation .

En fait , c'est le mouvement de rotation d'un point  construisant le chemin, ce que je peux appeler le spin du point qui à travers le chemin parcours la surface , définit  une surface sphérique - 2points .

Et plus , j'analyse , plus je  vois , dans ce spin du point ,  deux mouvements, en quadrature, ayant ensemble un rapport semblable à celui défini suivant la relativité de Einstein :  pour un même angle d'arc , une vitesse différente, rapport à deux distances à un référentiel.

l'équation d'une surface sphérique peut être remplacé par le mouvement continu  d'un point  en périphérie d'un disque en rotation sur son diamètre, dans un rapport entier entre les deux mouvements. C'est la relativité qui autorise cela .

Surface sphérique  - 2 points (définition Euclide)  =  Espace /temps  en conjonction de  Espace/temps , suivant deux unités de temps et deux unités d'espaces différents .

Or , suivant la géométrie de l'inversion,  les coordonnées du point sur la surface sphérique sont en tout instant connue à l'instant (t)  par la somme des temps, la somme des espaces  et le relatif  entre les vitesses angulaires.

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