Sciences décalées
Page 5 sur 10
Page 5 sur 10 • 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10
Re: Sciences décalées
En effet,
la pente devrait conduire à pouvoir extraire du nombre complexe une ou des parties entières de valeur (a = i b) cette égalité devrait produire une transformation à l’intérieur du radical par élévation au carré de deux termes identiques ayant des coefficients différents .
Or j'ai pu observer par suite d'une étude sur la géométrie et le nombre et les puissances, qu'un coefficient entier ou fractionnaire appliqué à une valeur (x) serait analogue à une somme ou une différence en produisant un déplacement parallèle de la pente ; en effet, pour deux valeurs différentes (a > b , je peux avoir , a et (b= n.a ) mais également avoir a et et (b = n. a -+ r ,suivant que l’équilibre d’égalisation est la partie reste ou son complément suivant un coefficient n augmenté de 1.
Quelque soit le cas, (r) est toujours un sous multiple entier de n ou une partie fractionnaire n,
Dans le calcul du module d'un nombre complexe sous le radical j'ai :
a² + (1/n² a +r)² →1/n² a²+2 n a r + r² ou bien
ce qui donne : r² + (1/n² a²+2 a r /n ) ---> r² + a /n (a/n + 2r )
et sous le radical .
le module du nombre complexe (a +i b) avec a = r et ib = Radical a/n ( 2+r)
Appliquant cela à l'expression du nombre premier
a = a et b = (a +1)/ 2 soit a² + (a² +2a +1)/4
soit encore (4 a² + a² +2a +1) /4 -------> (5a² +2a +1) /4 -------> (5a²+2a)/4 +1/4
radical 1/ 4 + 5/2 a² +2a /4 soit a² devient 1/ 4 et b² devient 5/4 a² +2/4a
soit : a = 1 / 2 et b = 1 / 2 ( radical a (5 a +2))
j'observe le résultat demandé à partir de l'expression de calcul du nombre premier , ce qui vaut valeur pour tous les Nombres Premiers.
la pente devrait conduire à pouvoir extraire du nombre complexe une ou des parties entières de valeur (a = i b) cette égalité devrait produire une transformation à l’intérieur du radical par élévation au carré de deux termes identiques ayant des coefficients différents .
Or j'ai pu observer par suite d'une étude sur la géométrie et le nombre et les puissances, qu'un coefficient entier ou fractionnaire appliqué à une valeur (x) serait analogue à une somme ou une différence en produisant un déplacement parallèle de la pente ; en effet, pour deux valeurs différentes (a > b , je peux avoir , a et (b= n.a ) mais également avoir a et et (b = n. a -+ r ,suivant que l’équilibre d’égalisation est la partie reste ou son complément suivant un coefficient n augmenté de 1.
Quelque soit le cas, (r) est toujours un sous multiple entier de n ou une partie fractionnaire n,
Dans le calcul du module d'un nombre complexe sous le radical j'ai :
a² + (1/n² a +r)² →1/n² a²+2 n a r + r² ou bien
ce qui donne : r² + (1/n² a²+2 a r /n ) ---> r² + a /n (a/n + 2r )
et sous le radical .
le module du nombre complexe (a +i b) avec a = r et ib = Radical a/n ( 2+r)
Appliquant cela à l'expression du nombre premier
a = a et b = (a +1)/ 2 soit a² + (a² +2a +1)/4
soit encore (4 a² + a² +2a +1) /4 -------> (5a² +2a +1) /4 -------> (5a²+2a)/4 +1/4
radical 1/ 4 + 5/2 a² +2a /4 soit a² devient 1/ 4 et b² devient 5/4 a² +2/4a
soit : a = 1 / 2 et b = 1 / 2 ( radical a (5 a +2))
j'observe le résultat demandé à partir de l'expression de calcul du nombre premier , ce qui vaut valeur pour tous les Nombres Premiers.
Re: Sciences décalées
Est apparu à travers la structure des Nombres Premiers que ceux ci ne pouvaient être réellement déterminés que par une somme de probabilité égale à 1 pour tous les nombres complexes issus de l'ensemble des bits au niveau 1 du « "Mot Binaire Espace/Temps" », ce qui sous-tend que le point sur la pente 1/ 2 fait partie d'un groupe de points. Tous ces points sont à l'intersection de l'orthogonalité du nombre entier et de toutes les pentes de 1 /2 à 1/ n sachant que la valeur n du dénominateur reste limitée par un nombre entier compris entre (n +1) /2 et 2.
Sur l’orthogonalité liée à chaque nombre premier mais il en est de même pour tous les nombres entiers, l'ensemble de ces points forme un groupe significatif ; en effet, il sont : points de calcul de probabilité et le point extrême, le point somme des probabilités ; or chaque point est transformé en mode nombre complexe représente pour le module du nombre (un cote adjacent fixe ) a² et b² (le coté opposé) variable pour chaque point d'intersection ; qu'en sorte je peux écrire : b² est indicé par incrément de -1 en rapport de la valeur du nombre relatif à la pente 1 /2, suivant le décalage constant , de -1 qui dés lors devient une structure inversé dans l’incrément .
Pour un nombre donné la ligne (a) est constant ; (b) aura une valeur différente pour chaque intersection avec chacune des pentes ensembles formant le triangle rectangle utile à la définition du point d'intersection entre la ligne (a) et la pente ; Ce point est le point Z (indicé) permettant la définition du module de chacun des nombres complexes situé sur la ligne (a) dont il a été précisé que la somme identifie la différence entre le nombre ordinaire et le nombre premier .
Sur l’orthogonalité liée à chaque nombre premier mais il en est de même pour tous les nombres entiers, l'ensemble de ces points forme un groupe significatif ; en effet, il sont : points de calcul de probabilité et le point extrême, le point somme des probabilités ; or chaque point est transformé en mode nombre complexe représente pour le module du nombre (un cote adjacent fixe ) a² et b² (le coté opposé) variable pour chaque point d'intersection ; qu'en sorte je peux écrire : b² est indicé par incrément de -1 en rapport de la valeur du nombre relatif à la pente 1 /2, suivant le décalage constant , de -1 qui dés lors devient une structure inversé dans l’incrément .
Pour un nombre donné la ligne (a) est constant ; (b) aura une valeur différente pour chaque intersection avec chacune des pentes ensembles formant le triangle rectangle utile à la définition du point d'intersection entre la ligne (a) et la pente ; Ce point est le point Z (indicé) permettant la définition du module de chacun des nombres complexes situé sur la ligne (a) dont il a été précisé que la somme identifie la différence entre le nombre ordinaire et le nombre premier .
Re: Sciences décalées
Soit le triangle de surface maximum formé par le point 0 le point (a) et le point 1/2 ; soit le triangle de surface minimum formé par le point 0 le point (a) et le point 1/n-2 ; en effet 1 /n-1 et 1/ n cela correspond à des intervalles , il ressort que pour 1/n le triangle est nul, et pour 1 / n-1 le triangle est celui l'inverse du nombre analysé ; en effet , si n = a , ce sont des bornes pour des intervalles il faut retirer un d’où n-1 est équivalent à ( a).
Sur ligne orthogonale du point a , j'ai une quantité définie de points, auquel j'ai affecté un numéro d'ordre à commercer par celui de la pente 1 /2 de numéro d'ordre 1°
jusqu'à celui de la pente 1/n-2 où je sais que cela est la plus petite valeur significative que peut prendre (b)
D'où (b) prend toute les valeurs entières entre (a +1) / 2 et a = 2 et cela par incrément de – 1
N° d'ordre val. décrément val. résultante
pour (a+1) /2 : n =1° ; a = a et b = (a +1)/ 2 ; - 0 ; soit b = (a/2 +1 /2)
soit pour le premier voisin : n= 2° ; a = a et b = ((a +1)/ 2 ) ; - 1 ; soit b = (a/2 -1/2)
puis , n= 3° ; a = a et b = ((a +1)/ 2 ) ; - 2 ; soit b = (a/2 - 3/2)
et dans la continuité , '' 4° ; a = a et b = ((a +1)/ 2 ) ; - 3 ; soit b = (a/2 - 5/2)
5° ; a = a et b = ((a +1)/ 2 ) ; - 4 ; soit b = (a/2 - 7/2)
n= ( (a+1) /2 -1 ) ° ; a = a et b = ((a +1)/ 2 ) ; - X soit b = (a/2 – Y/2)
j'observe , une valeur toujours impaire pour Y laquelle par rapport à la valeur du décrément X vaut toujours 2 X -1 ; soit : Y = 2 X – 1
Lorsque le décrément est égal à 0 le numéro d'ordre est égal à 1
je peux trouver la valeur maximale impaire de Y pour tous nombres de la ligne de (a) qui dés lors auront valeurs significatives pour la détermination des nombres premiers .
En effet : connaissant le numéro d'ordre n = ( (a+1) /2 -1 ) ° je sais que lorsque le numéro d'ordre est 2 °, Y est égal à 1 si je décompte jusqu'au numéro d'ordre n = ( (a+1) /2 -1 )° j'ai un décrément X en supplément , d'où X rapport à n = ( (a+1) /2 -1 ) -1 soit X = (a +1)/ 2
il résulte que Y = 2 ( (a +1)/ 2 ) -1 ; soit ( a +1 ) -1 = a
j'observe alors , que Y prend toutes les valeurs impaires de 1 à la valeur (a)
sachant que (a) est toujours une valeur impaire pour un nombre premier ,je peux définir toutes les valeurs que peut prendre b en fonction de (a),
Soit les modules des nombres complexes fonction de b ( a² +b² )
j'obtiens :
a² +( a/2 + 1/ 2)²
puis a² +( a/2 - Y/ 2)² pour tout Y impair compris ente de (1 à a)
je remarque pour tous les modules complexes la formation d'une matrice , laquelle matrice aux deux premières lignes
Pour (a) un nombre impair de la suite des nombres naturels ,la série des nombres complexes correspondant chaque point sur l'orthogonale sont :
a² + b² = a + ib
a² + a² /4 + 2 . 1 . a /4 + 1/ 4 ; soit : a² + 1 /4 [ a² + 2 . 1 . a + 1]
une inversion puis :
a² + a² /4 - 2 . 3 . a /4 + 9/ 4 ; soit : a² + 1 /4 [ a² - 2 . 3. a + 9]
a² + a² /4 - 2 . 5 . a /4 + 25 / 4 ; soit : a² + 1 /4 [ a² - 2 . 5 . a + 25]
a² + a² /4 - 2 . 7 . a /4 + 49 / 4 ; soit : a² + 1 /4 [ a² - 2 . 7 . a + 49]
a² + a² /4 - 2 . 9 . a /4 + 81 / 4 ; soit : a² + 1 /4 [ a² - 2 . 9 . a + 81]
.
.
etc
a² + a² /4 - 2 . a . a /4 + a²/ 4 ; soit : a²+ 1 /4 [ a² - 2 . a . a + a² ]
'observe : a² est un carré mais également i b est aussi une carré contenant a
d'où il ressort que les modules à l'orthogonale du nombre analysé ont un même partie réelles (a) et une partie imaginaire de valeur 1 /2 facteur
a + i b = sqrt 1 /4 [ a² + 2 . 1 . a + 1] soit a+ ( ib = 1 /2 ( a + 1))
a + i b = sqrt 1 /4 [ a² - 2 . 1 . a + 1] soit a+ (ib = 1 /2 ( a - 1))
a + i b = sqrt 1 /4 [ a² - 2 . 3 . a + 9] soit a+ (ib = 1 /2 ( a – 3))
a + i b = sqrt 1 /4 [ a² - 2 . 5 . a + 25] soit a+ (ib = 1 /2 ( a – 5))
a + i b = sqrt 1 /4 [ a² - 2 .7. a + 49] soit a+ (ib = 1 /2 ( a – 7)
a + i b = sqrt 1 /4 [ a² - 2 . 9 . a + 81] soit a+ (ib = 1 /2 ( a – 9))
.
etc
.
a + i b = sqrt 1 /4 [ a² - 2 . a. a + a²] ) ; soit a+ ( i b = 1/ 2 ( a – a) = 1/ 2
Un nombre entier est premier si et exclusivement si sa parti réelle est un nombre impair
la somme des nombres complexes intermédiaire entre la sécante 1/ 2 et 1/n-2 est égale : (a+1) /2 -1 ) soit ( a -1) / 2 , le nombre de points , multiples de la partie réelle (a) ; soit : (( a -1) a ) /2 = (a² – a) / 2 et multiple
de la partie imaginaire (( a -1 ) / 2 ) 1 /2) = ( a -1) / 4 facteur de la somme de [ (a ) + - tous les nombres impairs jusque (a) soit : a² ] ;
en effet , la somme de nombres impairs de 1 jusqu'à n est égale au carré de l'indice du nombres dans la série 1 + 3 + 5 + 7 + 9 → 25 soit position indice ²
ce qui donne : a + a² ;
partie réelle (a² – a) / 2 partie imaginaire ( a -1) / 4 . ( a² + a)
ou : ( a -1) / 4 . a ( a + 1) = (a (a²-1) ) /4
soit la somme de tous les modules de 1 / 2 à 1/ n- 2
partie positive initiale +1 + partie négative de décomptage -1 et plus
a + i (a + 1) / 2 + a ( a - 1) / 2 + i (( a - 1) / 2 ( a +1) /2 a )
En effet a la première partie du tableau précédent je peux observer une inversion pour la valeur 1 / 2 qui passe de -1 /2 à +1 /2
N° d'ordre val. décrément val. résultante
pour (a+1) /2 : n =1° ; a = a et b = (a +1)/ 2 ; - 0 ; soit b = (a/2 +1 /2)
soit pour le premier voisin : n= 2° ; a = a et b = ((a +1)/ 2 ) ; - 1 ; soit b = (a/2 -1/2)
il fallait dans un premier temps dissocier ce module pour au final en faire le rajout des lors que , pour la somme des modules de nombres complexes on additionne d'une part les parties réelles puis d'autre part les parties imaginaires,
soit les parties réelles de la somme a + a ( a - 1) / 2
= a ( 1 + (a-1)/2 ) soit encore : a (( 2 + a -1 ) / 2 ) soit encore : a ((a +1) /2 )
a /2 +a² /2 +i 1 /2 +
soit les parties imaginaires de la somme i (a + 1) / 2 + i (( a - 1) / 2 ( a +1) /2 a )
copyright Jean-claude LELONG-BONNARIC 15 Février 2015 19 h 00
Sur ligne orthogonale du point a , j'ai une quantité définie de points, auquel j'ai affecté un numéro d'ordre à commercer par celui de la pente 1 /2 de numéro d'ordre 1°
jusqu'à celui de la pente 1/n-2 où je sais que cela est la plus petite valeur significative que peut prendre (b)
D'où (b) prend toute les valeurs entières entre (a +1) / 2 et a = 2 et cela par incrément de – 1
N° d'ordre val. décrément val. résultante
pour (a+1) /2 : n =1° ; a = a et b = (a +1)/ 2 ; - 0 ; soit b = (a/2 +1 /2)
soit pour le premier voisin : n= 2° ; a = a et b = ((a +1)/ 2 ) ; - 1 ; soit b = (a/2 -1/2)
puis , n= 3° ; a = a et b = ((a +1)/ 2 ) ; - 2 ; soit b = (a/2 - 3/2)
et dans la continuité , '' 4° ; a = a et b = ((a +1)/ 2 ) ; - 3 ; soit b = (a/2 - 5/2)
5° ; a = a et b = ((a +1)/ 2 ) ; - 4 ; soit b = (a/2 - 7/2)
n= ( (a+1) /2 -1 ) ° ; a = a et b = ((a +1)/ 2 ) ; - X soit b = (a/2 – Y/2)
j'observe , une valeur toujours impaire pour Y laquelle par rapport à la valeur du décrément X vaut toujours 2 X -1 ; soit : Y = 2 X – 1
Lorsque le décrément est égal à 0 le numéro d'ordre est égal à 1
je peux trouver la valeur maximale impaire de Y pour tous nombres de la ligne de (a) qui dés lors auront valeurs significatives pour la détermination des nombres premiers .
En effet : connaissant le numéro d'ordre n = ( (a+1) /2 -1 ) ° je sais que lorsque le numéro d'ordre est 2 °, Y est égal à 1 si je décompte jusqu'au numéro d'ordre n = ( (a+1) /2 -1 )° j'ai un décrément X en supplément , d'où X rapport à n = ( (a+1) /2 -1 ) -1 soit X = (a +1)/ 2
il résulte que Y = 2 ( (a +1)/ 2 ) -1 ; soit ( a +1 ) -1 = a
j'observe alors , que Y prend toutes les valeurs impaires de 1 à la valeur (a)
sachant que (a) est toujours une valeur impaire pour un nombre premier ,je peux définir toutes les valeurs que peut prendre b en fonction de (a),
Soit les modules des nombres complexes fonction de b ( a² +b² )
j'obtiens :
a² +( a/2 + 1/ 2)²
puis a² +( a/2 - Y/ 2)² pour tout Y impair compris ente de (1 à a)
je remarque pour tous les modules complexes la formation d'une matrice , laquelle matrice aux deux premières lignes
Pour (a) un nombre impair de la suite des nombres naturels ,la série des nombres complexes correspondant chaque point sur l'orthogonale sont :
a² + b² = a + ib
a² + a² /4 + 2 . 1 . a /4 + 1/ 4 ; soit : a² + 1 /4 [ a² + 2 . 1 . a + 1]
une inversion puis :
a² + a² /4 - 2 . 3 . a /4 + 9/ 4 ; soit : a² + 1 /4 [ a² - 2 . 3. a + 9]
a² + a² /4 - 2 . 5 . a /4 + 25 / 4 ; soit : a² + 1 /4 [ a² - 2 . 5 . a + 25]
a² + a² /4 - 2 . 7 . a /4 + 49 / 4 ; soit : a² + 1 /4 [ a² - 2 . 7 . a + 49]
a² + a² /4 - 2 . 9 . a /4 + 81 / 4 ; soit : a² + 1 /4 [ a² - 2 . 9 . a + 81]
.
.
etc
a² + a² /4 - 2 . a . a /4 + a²/ 4 ; soit : a²+ 1 /4 [ a² - 2 . a . a + a² ]
'observe : a² est un carré mais également i b est aussi une carré contenant a
d'où il ressort que les modules à l'orthogonale du nombre analysé ont un même partie réelles (a) et une partie imaginaire de valeur 1 /2 facteur
a + i b = sqrt 1 /4 [ a² + 2 . 1 . a + 1] soit a+ ( ib = 1 /2 ( a + 1))
a + i b = sqrt 1 /4 [ a² - 2 . 1 . a + 1] soit a+ (ib = 1 /2 ( a - 1))
a + i b = sqrt 1 /4 [ a² - 2 . 3 . a + 9] soit a+ (ib = 1 /2 ( a – 3))
a + i b = sqrt 1 /4 [ a² - 2 . 5 . a + 25] soit a+ (ib = 1 /2 ( a – 5))
a + i b = sqrt 1 /4 [ a² - 2 .7. a + 49] soit a+ (ib = 1 /2 ( a – 7)
a + i b = sqrt 1 /4 [ a² - 2 . 9 . a + 81] soit a+ (ib = 1 /2 ( a – 9))
.
etc
.
a + i b = sqrt 1 /4 [ a² - 2 . a. a + a²] ) ; soit a+ ( i b = 1/ 2 ( a – a) = 1/ 2
Un nombre entier est premier si et exclusivement si sa parti réelle est un nombre impair
la somme des nombres complexes intermédiaire entre la sécante 1/ 2 et 1/n-2 est égale : (a+1) /2 -1 ) soit ( a -1) / 2 , le nombre de points , multiples de la partie réelle (a) ; soit : (( a -1) a ) /2 = (a² – a) / 2 et multiple
de la partie imaginaire (( a -1 ) / 2 ) 1 /2) = ( a -1) / 4 facteur de la somme de [ (a ) + - tous les nombres impairs jusque (a) soit : a² ] ;
en effet , la somme de nombres impairs de 1 jusqu'à n est égale au carré de l'indice du nombres dans la série 1 + 3 + 5 + 7 + 9 → 25 soit position indice ²
ce qui donne : a + a² ;
partie réelle (a² – a) / 2 partie imaginaire ( a -1) / 4 . ( a² + a)
ou : ( a -1) / 4 . a ( a + 1) = (a (a²-1) ) /4
soit la somme de tous les modules de 1 / 2 à 1/ n- 2
partie positive initiale +1 + partie négative de décomptage -1 et plus
a + i (a + 1) / 2 + a ( a - 1) / 2 + i (( a - 1) / 2 ( a +1) /2 a )
En effet a la première partie du tableau précédent je peux observer une inversion pour la valeur 1 / 2 qui passe de -1 /2 à +1 /2
N° d'ordre val. décrément val. résultante
pour (a+1) /2 : n =1° ; a = a et b = (a +1)/ 2 ; - 0 ; soit b = (a/2 +1 /2)
soit pour le premier voisin : n= 2° ; a = a et b = ((a +1)/ 2 ) ; - 1 ; soit b = (a/2 -1/2)
il fallait dans un premier temps dissocier ce module pour au final en faire le rajout des lors que , pour la somme des modules de nombres complexes on additionne d'une part les parties réelles puis d'autre part les parties imaginaires,
soit les parties réelles de la somme a + a ( a - 1) / 2
= a ( 1 + (a-1)/2 ) soit encore : a (( 2 + a -1 ) / 2 ) soit encore : a ((a +1) /2 )
a /2 +a² /2 +i 1 /2 +
soit les parties imaginaires de la somme i (a + 1) / 2 + i (( a - 1) / 2 ( a +1) /2 a )
copyright Jean-claude LELONG-BONNARIC 15 Février 2015 19 h 00
Re: Sciences décalées
Je reprendrai cela point par point , par la suite.
Jean-Claude LELONG-BONNARIC .
La raison pour laquelle j'ai posé en vrac, c'est une question d'âge, de santé et d'oubli.
Il n'y a pas la forme, cela n'enlève rien au potentiel de réflexion !!!
Jean-Claude LELONG-BONNARIC .
La raison pour laquelle j'ai posé en vrac, c'est une question d'âge, de santé et d'oubli.
Il n'y a pas la forme, cela n'enlève rien au potentiel de réflexion !!!
Re: Sciences décalées
Suivant ces réflexions , l'analogie avec le modèle Quantique est réellement possible ?
Si cela est le cas, le Mot binaire du Nombre Espace Temps précédemment défini se retrouve à la fois Arithmétique et Géométrique .
Arithmétique dans le sens où il est unique cela rapport à une origine. Et Géométrique dans le sens où il est associé à un groupe.
Je poursuis la réflexion. Suivant la procédure que j'ai utilisé pour rechercher une solution Nombre Premier par le Mot Binaire , du Nombre Espace/Temps, je n'ai pas utilisé la caractéristique "Calculateur" de la Structure Tri-Orthogonale, alors que par le l'analyse du Nombre Complexe j'ai bien cerné leur différence.En cernant ces différences , j'ai pu observer l'apparition de Groupe dans la décomposition Mot Binaire , du Nombre Espace/Temps. Groupe dont le lien entre parties du groupe est : la probabilité à 1 pour l'ensemble du Groupe. Or, cette probabilité 1 est rapport aux états du Mot Binaire.
Si, pour un Mot Binaire (un Nombre Espace/Temps ) défini, je fais en sorte de dire , c'est l'ensemble des états du groupe qui a valeur de probabilité à 1, retrouver le Nombre Espace/Temps cela revient à crée une fonction & n_bits état par état du Mot Binaire.
De fait, pour tous les Nombres Espace/Temps peut exister une probabilité à 1.
Cela ne pourrait il pas impliquer, que les probabilités puisse ainsi être vu comme un ensemble fini ?
Et en cela, justifier l'exactitude de résultats uniquement par la décomposition à l’état prés
des événements possibles.
A l'inverse, un résultat exact, est la probabilité à 1 des événements possibles.
La probabilité à 1 devient une somme de conjonctions d' états préalablement définis. La définition de dits états peut être rapportée à un Nombre Espace/temps sous une unique condition, la chronologie, l’ordonnancement des dits évènements .
Si cela est le cas, le Mot binaire du Nombre Espace Temps précédemment défini se retrouve à la fois Arithmétique et Géométrique .
Arithmétique dans le sens où il est unique cela rapport à une origine. Et Géométrique dans le sens où il est associé à un groupe.
Je poursuis la réflexion. Suivant la procédure que j'ai utilisé pour rechercher une solution Nombre Premier par le Mot Binaire , du Nombre Espace/Temps, je n'ai pas utilisé la caractéristique "Calculateur" de la Structure Tri-Orthogonale, alors que par le l'analyse du Nombre Complexe j'ai bien cerné leur différence.En cernant ces différences , j'ai pu observer l'apparition de Groupe dans la décomposition Mot Binaire , du Nombre Espace/Temps. Groupe dont le lien entre parties du groupe est : la probabilité à 1 pour l'ensemble du Groupe. Or, cette probabilité 1 est rapport aux états du Mot Binaire.
Si, pour un Mot Binaire (un Nombre Espace/Temps ) défini, je fais en sorte de dire , c'est l'ensemble des états du groupe qui a valeur de probabilité à 1, retrouver le Nombre Espace/Temps cela revient à crée une fonction & n_bits état par état du Mot Binaire.
De fait, pour tous les Nombres Espace/Temps peut exister une probabilité à 1.
Cela ne pourrait il pas impliquer, que les probabilités puisse ainsi être vu comme un ensemble fini ?
Et en cela, justifier l'exactitude de résultats uniquement par la décomposition à l’état prés
des événements possibles.
A l'inverse, un résultat exact, est la probabilité à 1 des événements possibles.
La probabilité à 1 devient une somme de conjonctions d' états préalablement définis. La définition de dits états peut être rapportée à un Nombre Espace/temps sous une unique condition, la chronologie, l’ordonnancement des dits évènements .
Re: Sciences décalées
Je continue cette réflexion.
De manier incidente, totalement, j'ai relié les Probabilités à la Structure Tri-Orthogonale. Or j'ai écrit que la Structure Tri-Orthogonale est un "Calculateur" en elle même, dont je connais une grande partie de son fonctionnement, que je peux à présent classer comme "Géométrique" puisque celle ci , est un "Calculateur différentiel Géométrique" répondant à une même équation quelque soit l'un ou la combinaison de trois saxes.
Cela pourrait il vouloir dire que la Probabilité à 1 se décomposerait aussi en forme continu, d'autant que fini elle, est limité, et que l'axe quadrant à la représentation du Nombre Espace/Temps , est lui même limité par la Factorielle du Nombre Entier.
L'image mentale qui me vient immédiatement à l'esprit, avec la Structure Tri-Orthogonale , première dimension Espace ou Temps "incrément + " , deuxième dimension Temps (, incrément facteur) , troisième dimension ( combinatoire, (facteur limité ) , quatrième dimension le diagonal ( deuxième et troisième, facteurs, en quadrature l'un de l'autre.
Cette quatrième dimension, le diagonal, est un groupe ( délimité de parties ) comme si se trouvait à l’intérieur même de la Structure Tri-Orthogonale , une nouvelle Structure également Tri-Orthogonale , un plan totalement limité sur ces deux dimensions un incrément ( facteur ), et cela, suivant un chemin l'axe diagonal de la Structure elle même.
Cet axe diagonal devient la transcendance du Nombre Espace/Temps
qui se définit alors avec une autre dimension Espace /Temps/ Combinatoire du Temps .
C'est à nouveau la Structure Tri-Orthogonale à l’intérieur d'elle même.
L’équation de chacune des parties, interne à la Structure Tri-Orthogonale , de fait qui fait partie d'elle même en ce qu'elle est , et , ce qu'elle est en devenir ( par la transcendance qu'elle contient ), est en tous points identiques
Or , la transcendance en limite les paramètres variables , et garde illimité entre -infini et + infini, " la Constante" de l'expression.
Suivant le Calculateur de la Structure Tri-Orthogonale , il devient possible de considérer la Structure Tri-Orthogonale comme une enveloppe contenant l'une à l’intérieur de l'autre , à l'image des poupée russes, une Structure Tri-Orthogonale ascendante.
C'est l'image synthétisée donnée au génératif.
Et le Calculateur , n'est rien d'autre que le "Combinatoire" non plus sur des d’états logiques Binaires , mais sur des variables qui peuvent prendre toutes les valeurs d'un système.
Et cela si ce n'est pas le Modèle Quantique , j'attends un contradicteur.
De manier incidente, totalement, j'ai relié les Probabilités à la Structure Tri-Orthogonale. Or j'ai écrit que la Structure Tri-Orthogonale est un "Calculateur" en elle même, dont je connais une grande partie de son fonctionnement, que je peux à présent classer comme "Géométrique" puisque celle ci , est un "Calculateur différentiel Géométrique" répondant à une même équation quelque soit l'un ou la combinaison de trois saxes.
Cela pourrait il vouloir dire que la Probabilité à 1 se décomposerait aussi en forme continu, d'autant que fini elle, est limité, et que l'axe quadrant à la représentation du Nombre Espace/Temps , est lui même limité par la Factorielle du Nombre Entier.
L'image mentale qui me vient immédiatement à l'esprit, avec la Structure Tri-Orthogonale , première dimension Espace ou Temps "incrément + " , deuxième dimension Temps (, incrément facteur) , troisième dimension ( combinatoire, (facteur limité ) , quatrième dimension le diagonal ( deuxième et troisième, facteurs, en quadrature l'un de l'autre.
Cette quatrième dimension, le diagonal, est un groupe ( délimité de parties ) comme si se trouvait à l’intérieur même de la Structure Tri-Orthogonale , une nouvelle Structure également Tri-Orthogonale , un plan totalement limité sur ces deux dimensions un incrément ( facteur ), et cela, suivant un chemin l'axe diagonal de la Structure elle même.
Cet axe diagonal devient la transcendance du Nombre Espace/Temps
qui se définit alors avec une autre dimension Espace /Temps/ Combinatoire du Temps .
C'est à nouveau la Structure Tri-Orthogonale à l’intérieur d'elle même.
L’équation de chacune des parties, interne à la Structure Tri-Orthogonale , de fait qui fait partie d'elle même en ce qu'elle est , et , ce qu'elle est en devenir ( par la transcendance qu'elle contient ), est en tous points identiques
Or , la transcendance en limite les paramètres variables , et garde illimité entre -infini et + infini, " la Constante" de l'expression.
Suivant le Calculateur de la Structure Tri-Orthogonale , il devient possible de considérer la Structure Tri-Orthogonale comme une enveloppe contenant l'une à l’intérieur de l'autre , à l'image des poupée russes, une Structure Tri-Orthogonale ascendante.
C'est l'image synthétisée donnée au génératif.
Et le Calculateur , n'est rien d'autre que le "Combinatoire" non plus sur des d’états logiques Binaires , mais sur des variables qui peuvent prendre toutes les valeurs d'un système.
Et cela si ce n'est pas le Modèle Quantique , j'attends un contradicteur.
Et le "Combinatoire" par "le différentiel" sert la fonction du continu
copyright Jean-claude LELONG-BONNARIC 14 Février 2015 12 h 30
Re: Sciences décalées
La réflexion ci dessus, apporte une lien, la démonstration est autre chose, je dis " je conjecture " mais cela est démontrable car c'est un modèle complet.
Que ce modèle ne soit pas adapté aux Mathématiques actuelles, n'est pas moins normal puisque ce sont des Mathématiques différentes.
Outre cela, je viens de me souvenir , qu'il y a plus de 20 ans , mes recherches n'ont conduit à trouver une sorte de forme Expression Universelle au Nombre , une formule qui accepte en paramètre sa propre expression. Ce que j'ai nommé auto-récursif, avec un processus de calcul identique aux Logarithmes.
J'avais du faire un gymnastique avec les paramètres que j'ai déterminé pour les calculs suivant cette Expression Universelle du Nombre, en incluant un indice dans la Base , un indice exposant dans la Base , un indice de Bases et le rapport des Bases , le Rapport Exposants, les puissances de +1 et les puissance de -1 reliées à la Base.
Comme je viens de l’écrire , tout de ces indices , tout de ces rapport et même des puissance de - ou -1 , sont autant de Nombres exprimés en Expression Universelle du Nombre qu'en sorte : résoudre un système revient à faire fonctionner sur elle même comme un processeur de Calcul, la dite Expression Universelle.
Note
A l'époque, par manipulation d'expression, en une quarantaine de pages , la conjecture de Pierre de FERMAT se trouvait validée je dois avoir cela quelque part) ce qui ne démontrait pas pour autant la conjecture , mis pour le moins accordait du crédit à cette forme mathématique pour m'inciter à poursuivre seul contre tous .
La procédure de calcul passe obligatoirement par des puissances de 1 (+ ou -) pour revenir à la Base décimale.
je n'ai plus en tête celle ci, pour reprendre ces écrits et retrouver le fil d'exécution cela me demande à chaque .
fois plusieurs jours. Et c'est volontairement que je n'ai pas écrit une synthèse , me donner l'obligation de retrouver; tenant compte que je suis seul à me vérifier, retrouver le même résultat à chaque fois me permet d’acquérir une certitude finale et entre temps pouvoir trouver des oublis premiers s'il devaient y en avoir .
Pour revenir à l'Expression Universelle du Nombre , cela revient à faire du Traitement // . C'est l''équivalent de définir un Nombre , indépendamment de la Base utilisée , de pouvoir calculer indépendamment des Bases et, d’établir un résultat pour toutes les Bases .
J'avais trouvé une grande analogie , au Logarithme discret, et j'ai nommé cela le Logarithme des logarithmes.
Je n'en ai pas toutes les certitudes , mais je trouve , que le plan transcendance Nombres /Puissances , de la Structure Tri-Orthogonale n'est pas sans rappeler cela , si , pour chaque Puissance est assimilé un Base. Ce qui revient à dire que les Horloges/ compteurs sont chacune une Base de comptage .
Or, par l’Expression Universelle du Nombre pour passer de l'une à l'autre , c'est une procédure et un calcul connu introduisant en intermédiaire des Puissances de 1 +ou - ; par la Structure Tri-Orthogonale pour passer de l'une à l'autre des Horloges c'est une partie du Mot binaire du Nombre Espace/Temps .
Cela permet de conjecturer que l’Expression Universelle du Nombre peut être introduite comme paramètre de l'équation qui construit la Structure Tri-Orthogonale .
Je peux conjecturer et cela sans me tromper, que : les Mathématiques existent sans Nombre, elles existent par le génératif du continu qui est "Calculateur" .
Pourquoi cela : l’équation de la Structure Tri-Orthogonale, est la somme ou la différence de trois parties suivant des paramètres différents , que l'Expression Universelle du Nombre ramène à un seul . Ce qui est logique puisque c'est une équation.
Que ce modèle ne soit pas adapté aux Mathématiques actuelles, n'est pas moins normal puisque ce sont des Mathématiques différentes.
Outre cela, je viens de me souvenir , qu'il y a plus de 20 ans , mes recherches n'ont conduit à trouver une sorte de forme Expression Universelle au Nombre , une formule qui accepte en paramètre sa propre expression. Ce que j'ai nommé auto-récursif, avec un processus de calcul identique aux Logarithmes.
J'avais du faire un gymnastique avec les paramètres que j'ai déterminé pour les calculs suivant cette Expression Universelle du Nombre, en incluant un indice dans la Base , un indice exposant dans la Base , un indice de Bases et le rapport des Bases , le Rapport Exposants, les puissances de +1 et les puissance de -1 reliées à la Base.
Comme je viens de l’écrire , tout de ces indices , tout de ces rapport et même des puissance de - ou -1 , sont autant de Nombres exprimés en Expression Universelle du Nombre qu'en sorte : résoudre un système revient à faire fonctionner sur elle même comme un processeur de Calcul, la dite Expression Universelle.
Note
A l'époque, par manipulation d'expression, en une quarantaine de pages , la conjecture de Pierre de FERMAT se trouvait validée je dois avoir cela quelque part) ce qui ne démontrait pas pour autant la conjecture , mis pour le moins accordait du crédit à cette forme mathématique pour m'inciter à poursuivre seul contre tous .
La procédure de calcul passe obligatoirement par des puissances de 1 (+ ou -) pour revenir à la Base décimale.
je n'ai plus en tête celle ci, pour reprendre ces écrits et retrouver le fil d'exécution cela me demande à chaque .
fois plusieurs jours. Et c'est volontairement que je n'ai pas écrit une synthèse , me donner l'obligation de retrouver; tenant compte que je suis seul à me vérifier, retrouver le même résultat à chaque fois me permet d’acquérir une certitude finale et entre temps pouvoir trouver des oublis premiers s'il devaient y en avoir .
Pour revenir à l'Expression Universelle du Nombre , cela revient à faire du Traitement // . C'est l''équivalent de définir un Nombre , indépendamment de la Base utilisée , de pouvoir calculer indépendamment des Bases et, d’établir un résultat pour toutes les Bases .
J'avais trouvé une grande analogie , au Logarithme discret, et j'ai nommé cela le Logarithme des logarithmes.
Je n'en ai pas toutes les certitudes , mais je trouve , que le plan transcendance Nombres /Puissances , de la Structure Tri-Orthogonale n'est pas sans rappeler cela , si , pour chaque Puissance est assimilé un Base. Ce qui revient à dire que les Horloges/ compteurs sont chacune une Base de comptage .
Or, par l’Expression Universelle du Nombre pour passer de l'une à l'autre , c'est une procédure et un calcul connu introduisant en intermédiaire des Puissances de 1 +ou - ; par la Structure Tri-Orthogonale pour passer de l'une à l'autre des Horloges c'est une partie du Mot binaire du Nombre Espace/Temps .
Cela permet de conjecturer que l’Expression Universelle du Nombre peut être introduite comme paramètre de l'équation qui construit la Structure Tri-Orthogonale .
Je peux conjecturer et cela sans me tromper, que : les Mathématiques existent sans Nombre, elles existent par le génératif du continu qui est "Calculateur" .
Pourquoi cela : l’équation de la Structure Tri-Orthogonale, est la somme ou la différence de trois parties suivant des paramètres différents , que l'Expression Universelle du Nombre ramène à un seul . Ce qui est logique puisque c'est une équation.
La Structure Tri-Orthogonale est rendue linéaire et continu par l'Expression Universelle du Nombre.
copyright Jean-claude LELONG-BONNARIC 14 Février 2015 12 h 30
Re: Sciences décalées
J'ai fais le tour, de ce que j'ai écris les pages préambules .
Ce qui m'a donné l'occasion d'imager comment pouvoir traiter cela, sous la forme d'une organisation , cela correspond un peu à la phase " inventaire détermination du besoin dans une ingénierie " .
La second phase, est moins complexe et plus explicite, en raison des liens qui ont été créés , en cela que toutes les Lois doivent avoir une même origine .
Par exemple: La Structure Tri-Orthogonale comme l'Expression Universelle du Nombre montrent que l'un et l'autre se contiennent eux mêmes, cela ne peut être que la première Loi de laquelle doit découler toutes les autres Lois.
Dois-je poser cela, comme " Postulat" duquel je partirai ou bien dois-je poser cela comme une démonstration à faire ?
Démonstration à faire, implique d'utiliser les postulats initiés par un autre modèle , ce qui est totalement illogique dans cette pensée Mathématique totalement ouverte.
Cette premier Loi, est le support de toutes les autres exactement comme sont ces Mathématiques dans leurs applications . La Philosophie rejoint son principe.
Ce qui est découvert est applicable à ce qui permet de découvrir, c'est le principe même de l’évolutif. C'est le Génératif dans son principe.
Ce qui m'a donné l'occasion d'imager comment pouvoir traiter cela, sous la forme d'une organisation , cela correspond un peu à la phase " inventaire détermination du besoin dans une ingénierie " .
La second phase, est moins complexe et plus explicite, en raison des liens qui ont été créés , en cela que toutes les Lois doivent avoir une même origine .
Par exemple: La Structure Tri-Orthogonale comme l'Expression Universelle du Nombre montrent que l'un et l'autre se contiennent eux mêmes, cela ne peut être que la première Loi de laquelle doit découler toutes les autres Lois.
Dois-je poser cela, comme " Postulat" duquel je partirai ou bien dois-je poser cela comme une démonstration à faire ?
Démonstration à faire, implique d'utiliser les postulats initiés par un autre modèle , ce qui est totalement illogique dans cette pensée Mathématique totalement ouverte.
Cette premier Loi, est le support de toutes les autres exactement comme sont ces Mathématiques dans leurs applications . La Philosophie rejoint son principe.
Ce qui est découvert est applicable à ce qui permet de découvrir, c'est le principe même de l’évolutif. C'est le Génératif dans son principe.
Re: Sciences décalées
Notes , il est difficile de visualiser mentalement un objet mathématique sans y avoir laissé passer une sorte de repos intellectuel, l'adage "la nuit porte conseil".
J'ai à présent toute le vision mentale du Nombre Espace/Temps Tel que je l'ai prédéfini.
Sa définition est bien dans la diagonale de la Structure Tri-Orthogonale , non limité sur l'axe infini - infini + passant par 0 ; mais strictement limité sur l'axe " Puissance" , infini - infini + passant par 0 ; et strictement bordé par le factoriel de la Puissance.
Ce Nombre Espace/Temps se construit comme une suite incrémentale, sur un Triangle Géométrique/Arithmétique particulier . En effet, son rapport pour chaque (n - 1) /2 ) / n limité à n ! défini une constante pour deux Nombres consécutifs inhibant sa parité rapport à lui même.
Mais cela représente aussi , une forme d'exponentielle par palier , la cause à ces paliers : la constante du nombre des états logiques significatifs liés à chaque Nombre et cela pour deux Nombres consécutifs.
Pour lisser la courbe , il faut procéder à une moyenne proportionnelle. Cette moyenne ramène à la diagonale
Or , la courbe est lissée par la diagonale du triangle rectangle de coté adjacent ( n- 1) /2 et de coté opposé ou vice versa.
Ce qui revient à retrouver : 1/2 n-1 ce qui ne change rien.
.
Sous réserve d'avoir compris l'Hypothèse de Bernhard Riemann , tous les Nombres Premiers sont sur cette diagonale, non pas en intersection, mais en tangence, sorte de points limite d'inversion. En effet, passé la limite 1/2 se trouve l'infinitude du Nombre certes différenciable mais non commensurable si non dans une incertitude ne pouvant être liée au Nombres Premier.
Ce qui manquerait à Bernhard Riemann pour lisser sa courbe par palier , est cette fonction inhibition de parité , sorte de replis de la courbe sur elle même.
Outre cela, ce qui manquerait également, c'est une limitation à l'exponentiation à n !
En effet : passé la limite n! , se trouve l'infinitude du Nombre, certes différenciable, mais non commensurable dans le continu.
Oui ! au delà de n ! , quelque soit x à la puissance n, la variation différentielle est continu.
C'est l'unique cause pour laquelle la Structure Tri-Orthogonale est totalement dans le continu sur ses trois axes.
copyright Jean-claude LELONG-BONNARIC 18 Février 2015 11 h
J'ai à présent toute le vision mentale du Nombre Espace/Temps Tel que je l'ai prédéfini.
Sa définition est bien dans la diagonale de la Structure Tri-Orthogonale , non limité sur l'axe infini - infini + passant par 0 ; mais strictement limité sur l'axe " Puissance" , infini - infini + passant par 0 ; et strictement bordé par le factoriel de la Puissance.
Ce Nombre Espace/Temps se construit comme une suite incrémentale, sur un Triangle Géométrique/Arithmétique particulier . En effet, son rapport pour chaque (n - 1) /2 ) / n limité à n ! défini une constante pour deux Nombres consécutifs inhibant sa parité rapport à lui même.
Mais cela représente aussi , une forme d'exponentielle par palier , la cause à ces paliers : la constante du nombre des états logiques significatifs liés à chaque Nombre et cela pour deux Nombres consécutifs.
Pour lisser la courbe , il faut procéder à une moyenne proportionnelle. Cette moyenne ramène à la diagonale
Or , la courbe est lissée par la diagonale du triangle rectangle de coté adjacent ( n- 1) /2 et de coté opposé ou vice versa.
Ce qui revient à retrouver : 1/2 n-1 ce qui ne change rien.
Cette jonction du couple pair / impair pour lisser la diagonale des Nombres Espace /Temps s’élimine sans effet mathématique
.
Sous réserve d'avoir compris l'Hypothèse de Bernhard Riemann , tous les Nombres Premiers sont sur cette diagonale, non pas en intersection, mais en tangence, sorte de points limite d'inversion. En effet, passé la limite 1/2 se trouve l'infinitude du Nombre certes différenciable mais non commensurable si non dans une incertitude ne pouvant être liée au Nombres Premier.
Ce qui manquerait à Bernhard Riemann pour lisser sa courbe par palier , est cette fonction inhibition de parité , sorte de replis de la courbe sur elle même.
Outre cela, ce qui manquerait également, c'est une limitation à l'exponentiation à n !
En effet : passé la limite n! , se trouve l'infinitude du Nombre, certes différenciable, mais non commensurable dans le continu.
Oui ! au delà de n ! , quelque soit x à la puissance n, la variation différentielle est continu.
C'est l'unique cause pour laquelle la Structure Tri-Orthogonale est totalement dans le continu sur ses trois axes.
copyright Jean-claude LELONG-BONNARIC 18 Février 2015 11 h
Re: Sciences décalées
Le Nombre Espace/Temps que j'ai crée , par le fait de ce replis en tous points de la courbe en palier parité paire parité impaire réduit la dite courbe dans son ensemble comme une sorte de compression éliminatrice de la dualité paire impair sur l'axe diagonal.
Cet axe devient une sorte d'axe des " Nombres hybrides" © indépendant de toute parité
Cet axe devient une sorte d'axe des " Nombres hybrides" © indépendant de toute parité
Re: Sciences décalées
Je viens d’acquérir la certitude que la Théorie " Le Fini Expansif © " que j'ai développée par des intuitions successives, correspond à la résolution de la conjecture de Bernhard Riemann et au delà de cela la preuve que le Continu et le Discret sont l'un et l'autre compatible dans cette Théorie.
J'ai procédé à un calcul, relatif à la partie Complexe du "Nombre Hybride ©" élimant la parité paire et impaire ; pour tout (N) est obtenu N+1.
C'est l’élimination de la parité qui devient incrémentale du "Nombre Hybride©" la courbe sur laquelle est située les Nombres hybrides est la "Courbe du Continu Hermaphrodite ©"
Or , a "Courbe du Continu Hermaphrodite ©" est strictement et purement incrémentale de la forme N +1 , c'est aussi la démonstration de l’incrémentation indépendamment de la parité , c'est à dire un troisième état, distinct des dualités, (pair , impair) .
Cet état est l’état " Hybride " ," il y a 30 ans, j'utilisais pour symbole de cet état,
la graphie " trait vertical , trait tiret , double trait " I-|" sorte de Thêta majuscule je garde ce symbole comme l'expression de " l'imparité, ce qui est sans parité"
J'ai procédé à un calcul, relatif à la partie Complexe du "Nombre Hybride ©" élimant la parité paire et impaire ; pour tout (N) est obtenu N+1.
C'est l’élimination de la parité qui devient incrémentale du "Nombre Hybride©" la courbe sur laquelle est située les Nombres hybrides est la "Courbe du Continu Hermaphrodite ©"
Or , a "Courbe du Continu Hermaphrodite ©" est strictement et purement incrémentale de la forme N +1 , c'est aussi la démonstration de l’incrémentation indépendamment de la parité , c'est à dire un troisième état, distinct des dualités, (pair , impair) .
Cet état est l’état " Hybride " ," il y a 30 ans, j'utilisais pour symbole de cet état,
la graphie " trait vertical , trait tiret , double trait " I-|" sorte de Thêta majuscule je garde ce symbole comme l'expression de " l'imparité, ce qui est sans parité"
Re: Sciences décalées
Je pense que je vais introduire cette théorie du "Fini Expansif ©" par le biais de la "Courbe du Continu Hermaphrodite©, du "Nombre Hybride©", du Mot Infini Binaire © ; du Nombre fini Binaire ©, et du "Nombre Espace/Temps ©", qui ne sont pas issus des Mathématiques actuelles.
En fait , je vais introduire la dimension 1 , de laquelle est extraite la dimension 2, et de l'ensemble, j'introduis la dimension 2 plus une dimension constante que représente la " Structure Tri-Orthogonale ©" et de laquelle résulte : la Courbe du Continue support de la Courbe du Continu :" Hyper Courbe Continu ©"
De cette dernière, j'introduis l'équation de la Structure Tri-Orthogonale de laquelle s'introduit les variations différentielles +1 dans l'espace et le temps ; et , de laquelle sont extraites la fonction "Calculateur Différentiel ©", ainsi que la fonction "Régression Différentielle ©" qui lui est spécifique.
A ce niveau supérieur , je rejoins les Mathématiques actuelles, et l'objet mathématique qui fait la liaison est la" Régression Différentielle ©" celle ci apportant deux résultats : 1° - la rupture de la Courbe du Continu de la transcendance des Nombres en général par les puissances, et cela en aval de la puissance du Nombre à cette puissance ; et , 2° - Le "Continu par Morceau ©" soit en Courbe Ouverte Délimitée, soit en "Courbe Fermée Surfacique ©; soit encore la ou les combinaisons de ces deux Courbes ouvertes ou fermées.
A ce niveau inférieur je rejoins la totalité des Mathématiques actuelles, y apportant : la résolution ascendante des arborescences linéaires ainsi que leurs résolutions latérales . C'est la conséquence du "Calculateur Différentiel ©" actif sur les coefficients binomiaux de toutes ou parties de Polynômes de degré(n) et la conséquence du calcul formel, le calcul par les Groupes.
Ces Mathématiques, en font la conjecture puis la démonstration,
Ensemble = Groupe +1 est l'équivalent de X + 1
où "Groupe" est un ensemble de variables et X une seule variable qui a valeur du Groupe ; c'est la conséquence "Calculateur Différentiel © , actif sur la " Structure Tri-Orthogonale ©" dans son arborescence, et sa double latéralité : le "Différentiel Pyramidal © .
Ce descriptif non exhaustif , doit être complète, de la terminologie "Triangle Arithmétique Factoriel © " spécificité de le Structure Tri-Orthogonale , ainsi que "Plis et Replis du Plan ©" spécificité de la Géométrie, y étant adaptée , et à laquelle faut y inclure le terme " Point d'Inversion dans la Continuité au Point Limite ©" spécificité des deux , ainsi que "Progressions Angulaires " .
Le terme "Combinatoire Recombiné ©" est une spécificité de l'ensemble de ces Mathématiques.
Les termes " Expression Universelle du Nombre ©" et les termes " Analogique Binaire Code Décimal © et son symbole " A// . B//. C//. D//. ©" sont une spécificité, de calcul parallèle, totalement indépendante du "Calculateur Différentiel" .
Pour synthétiser , le "Nombre Hybride" génère trois voies ayant chacune leur Calculateur Spécifique. Ces trois ascendances, la voie des Nombres entiers , la voie des Nombres Fractionnaires , la voie des États binaires. Ces trois voies se rejoignent de par les Calculateurs Spécifiques, le "Calculateur Différentiel ©" " l'Expression Universelle du Nombre ©" et le "Combinatoire Recombiné © ".
Et la jonction en est : l’équation de laquelle est construite la Structure Tri-Orthogonale.
Le seul postulat que j’aurai rejeté, est celui sur les Ensembles. Je construis ce modèle Mathématique sur la base que l'Ensemble se contient dans ses parties.
C'est le seul et unique postulat de base .
Toute cette théorie peut être exposé en trois pages, dans une limpidité descendante , suffisant à cela pour chaque nouvelles expressions ci dessus mentionnées, d’établir le lien de logique mathématique qui en fait une chaîne de résolution système .
Jean-Claude LELONG-BONNARIC
Chercheur Indépendant
En fait , je vais introduire la dimension 1 , de laquelle est extraite la dimension 2, et de l'ensemble, j'introduis la dimension 2 plus une dimension constante que représente la " Structure Tri-Orthogonale ©" et de laquelle résulte : la Courbe du Continue support de la Courbe du Continu :" Hyper Courbe Continu ©"
De cette dernière, j'introduis l'équation de la Structure Tri-Orthogonale de laquelle s'introduit les variations différentielles +1 dans l'espace et le temps ; et , de laquelle sont extraites la fonction "Calculateur Différentiel ©", ainsi que la fonction "Régression Différentielle ©" qui lui est spécifique.
A ce niveau supérieur , je rejoins les Mathématiques actuelles, et l'objet mathématique qui fait la liaison est la" Régression Différentielle ©" celle ci apportant deux résultats : 1° - la rupture de la Courbe du Continu de la transcendance des Nombres en général par les puissances, et cela en aval de la puissance du Nombre à cette puissance ; et , 2° - Le "Continu par Morceau ©" soit en Courbe Ouverte Délimitée, soit en "Courbe Fermée Surfacique ©; soit encore la ou les combinaisons de ces deux Courbes ouvertes ou fermées.
A ce niveau inférieur je rejoins la totalité des Mathématiques actuelles, y apportant : la résolution ascendante des arborescences linéaires ainsi que leurs résolutions latérales . C'est la conséquence du "Calculateur Différentiel ©" actif sur les coefficients binomiaux de toutes ou parties de Polynômes de degré(n) et la conséquence du calcul formel, le calcul par les Groupes.
Ces Mathématiques, en font la conjecture puis la démonstration,
Ensemble = Groupe +1 est l'équivalent de X + 1
où "Groupe" est un ensemble de variables et X une seule variable qui a valeur du Groupe ; c'est la conséquence "Calculateur Différentiel © , actif sur la " Structure Tri-Orthogonale ©" dans son arborescence, et sa double latéralité : le "Différentiel Pyramidal © .
Ce descriptif non exhaustif , doit être complète, de la terminologie "Triangle Arithmétique Factoriel © " spécificité de le Structure Tri-Orthogonale , ainsi que "Plis et Replis du Plan ©" spécificité de la Géométrie, y étant adaptée , et à laquelle faut y inclure le terme " Point d'Inversion dans la Continuité au Point Limite ©" spécificité des deux , ainsi que "Progressions Angulaires " .
Le terme "Combinatoire Recombiné ©" est une spécificité de l'ensemble de ces Mathématiques.
Les termes " Expression Universelle du Nombre ©" et les termes " Analogique Binaire Code Décimal © et son symbole " A// . B//. C//. D//. ©" sont une spécificité, de calcul parallèle, totalement indépendante du "Calculateur Différentiel" .
Pour synthétiser , le "Nombre Hybride" génère trois voies ayant chacune leur Calculateur Spécifique. Ces trois ascendances, la voie des Nombres entiers , la voie des Nombres Fractionnaires , la voie des États binaires. Ces trois voies se rejoignent de par les Calculateurs Spécifiques, le "Calculateur Différentiel ©" " l'Expression Universelle du Nombre ©" et le "Combinatoire Recombiné © ".
Et la jonction en est : l’équation de laquelle est construite la Structure Tri-Orthogonale.
Le seul postulat que j’aurai rejeté, est celui sur les Ensembles. Je construis ce modèle Mathématique sur la base que l'Ensemble se contient dans ses parties.
C'est le seul et unique postulat de base .
Toute cette théorie peut être exposé en trois pages, dans une limpidité descendante , suffisant à cela pour chaque nouvelles expressions ci dessus mentionnées, d’établir le lien de logique mathématique qui en fait une chaîne de résolution système .
Jean-Claude LELONG-BONNARIC
Chercheur Indépendant
Dernière édition par Admin le Lun 23 Fév - 10:08, édité 1 fois
Re: Sciences décalées
Un instant de réflexion et le Chat de Schrödinger se porte à ces Mathématiques , comme une interrogation ! Mais où pourrait il être situé ?
Vie ou Mort , Pair ou Impair , ne serait ce pas des dualités aussi bien similaires ! Alors, le Chat de Schrödinger serait très bien situé dans l'Ensemble du Nombre Hybride, comme étant le couple résultant de l'expansion du Nombre Hybride en Nombre Espace/Temps ; lieu de la Courbe du Continu Hermaphrodite, repliée sur elle même en ce point,et lieu où elle se scinde en deux Courbes Continues différenciées en Espace et Temps, duquel est défini le Nombre Espace/Temps.
En tous points de la Courbe du Continu Hermaphrodite , c'est à dire à chaque incrément +1, est un Nombre Hybride.
Et si l'on connait l'un l'autre peut être absolument connu , puisque c'est son suivant ou son précédent en Mode Mot fini Binaire©
Et en tous points de la Courbe Espace/Temps c'est à dire à chaque incrément +1, est un Nombre Espace Temps.
La Courbe du Continu Hermaphrodite, se dissocie en deux , dans la même Continuité , et en cela, 1 devient support de 2 demi, quadrants , en restant 1 ; chaque demi suit l'autre, C'est le continu cyclique.
La Courbe du Continu Hermaphrodite ce dissocie en deux , c'est le " Plan Complexe" et c'est l'équation du Nombre Complexe qui conduit à cela, Nombre réel + Nombre Imaginaire, conséquence de l'angle du rapport différentiel entre deux points successifs +1 ou -1 de ladite Courbe du Continu Hermaphrodite ; mais également cela, entre les points médians de deux points consécutifs, qui ne modifie pas l' angle du rapport différentiel +1 ou -1.
Autre instant de réflexion , se porte à ces Mathématiques , comme une interrogation ! Mais où pourrait être située la preuve du Continu ?
Le Chat de Schrödinger en est la manifestation évidente , preuve du continu est suivant ces Mathématiques, dans la définition du Nombre Premier, par la pente 1/2 soit : le rapport ((N -1) / 2) / N , qui donne pour diagonale du Triangle rectangle (N+1) .
Cette expression contient N-1 ; N ; et N+1 ;
Ce qui produit le Chat de Schrödinger , est l' impossibilité de différencier Nombre réel et Nombre Imaginaire. Et le rapport ((N -1) / 2) / N , que ((N -1) / 2 soit la partie imaginaire et N la partie réelle du Nombre Complexe ou bien que à l'inverse ((N -1) / 2) soit la partie réelle et N la partie imaginaire Z le module est N+1.
Cela se traduit par une inversion dans la continuité.
C'est le plan complexe que j'ai décris, dans mes interventions précédentes, cela rejoint les Surfaces de Bernhard Riemann avec un importance , Bernhard Riemann ne pouvait percevoir, le fait que : le Point d'Inversion © dans la continuité est réducteur de (1/n) , cela ne se conjecture pas cela se démontre et se construit suivant un modèle physique .
C'est ce modèle Physique , que je dépose, en tant que Brevet d'invention (en raison de sa matérialité), cela sous ses trois formes :
- La première est la forme " Fini Expansif" , du point 0 à une limite physique ;
- La seconde est la forme " Fini Expansif" d'un limite physique inférieure à une limite physique supérieure ;
- La troisième forme, est la somme de continuité des deux précédentes formes se ramenant à la première, comme une amplification simple de celle ci ; ou , comme un complément à 1 . Cela montre que le bords limite inférieure du second rejoint du bord limite finie supérieure du premier est l'incrément +1 de l'Ensemble,
La première et la seconde forme sont différentes et complémentaires.
Une fois le dépôt effectué je mettrai les photos des formes sur ce site, et je rendrai public les Brevets ( sous réserve de la législation française sur la Sécurité Nationale * ),
* Les raisons : Ces formes modifient le comportement du magnétisme, connu à ce jour.
Outre cela, la mise en application des calculateurs ci-avant cités, in sécurise la transmission de données.
La contre mesure d'inviolabilité reste dans le "Mot fini Binaire" qui n'est plus un Nombre calculable dés lors que le Groupe d’états binaires qui en fait la composition, est pris par partie. La juxtaposition de parties de " Mot Fini Binaire " est calculable . C'est la théorie du " Fini Expansif " dans son application.
Le moyen de codage de l'information sécurisée par ½ " Mot Fini Binaire " offre le double avantage d'être être parcellaire et d'être aussi vieux que le monde . C'est le lien Mathématique et la "théorie du Fini Expansif " qui en apporte la nouveauté au Brevet d'invention.
Jean-Claude LELONG-BONNARIC
Chercheur Indépendant
Vie ou Mort , Pair ou Impair , ne serait ce pas des dualités aussi bien similaires ! Alors, le Chat de Schrödinger serait très bien situé dans l'Ensemble du Nombre Hybride, comme étant le couple résultant de l'expansion du Nombre Hybride en Nombre Espace/Temps ; lieu de la Courbe du Continu Hermaphrodite, repliée sur elle même en ce point,et lieu où elle se scinde en deux Courbes Continues différenciées en Espace et Temps, duquel est défini le Nombre Espace/Temps.
En tous points de la Courbe du Continu Hermaphrodite , c'est à dire à chaque incrément +1, est un Nombre Hybride.
Et si l'on connait l'un l'autre peut être absolument connu , puisque c'est son suivant ou son précédent en Mode Mot fini Binaire©
Et en tous points de la Courbe Espace/Temps c'est à dire à chaque incrément +1, est un Nombre Espace Temps.
La Courbe du Continu Hermaphrodite, se dissocie en deux , dans la même Continuité , et en cela, 1 devient support de 2 demi, quadrants , en restant 1 ; chaque demi suit l'autre, C'est le continu cyclique.
La Courbe du Continu Hermaphrodite ce dissocie en deux , c'est le " Plan Complexe" et c'est l'équation du Nombre Complexe qui conduit à cela, Nombre réel + Nombre Imaginaire, conséquence de l'angle du rapport différentiel entre deux points successifs +1 ou -1 de ladite Courbe du Continu Hermaphrodite ; mais également cela, entre les points médians de deux points consécutifs, qui ne modifie pas l' angle du rapport différentiel +1 ou -1.
Autre instant de réflexion , se porte à ces Mathématiques , comme une interrogation ! Mais où pourrait être située la preuve du Continu ?
Le Chat de Schrödinger en est la manifestation évidente , preuve du continu est suivant ces Mathématiques, dans la définition du Nombre Premier, par la pente 1/2 soit : le rapport ((N -1) / 2) / N , qui donne pour diagonale du Triangle rectangle (N+1) .
Cette expression contient N-1 ; N ; et N+1 ;
Ce qui produit le Chat de Schrödinger , est l' impossibilité de différencier Nombre réel et Nombre Imaginaire. Et le rapport ((N -1) / 2) / N , que ((N -1) / 2 soit la partie imaginaire et N la partie réelle du Nombre Complexe ou bien que à l'inverse ((N -1) / 2) soit la partie réelle et N la partie imaginaire Z le module est N+1.
Cela se traduit par une inversion dans la continuité.
C'est le plan complexe que j'ai décris, dans mes interventions précédentes, cela rejoint les Surfaces de Bernhard Riemann avec un importance , Bernhard Riemann ne pouvait percevoir, le fait que : le Point d'Inversion © dans la continuité est réducteur de (1/n) , cela ne se conjecture pas cela se démontre et se construit suivant un modèle physique .
C'est ce modèle Physique , que je dépose, en tant que Brevet d'invention (en raison de sa matérialité), cela sous ses trois formes :
- La première est la forme " Fini Expansif" , du point 0 à une limite physique ;
- La seconde est la forme " Fini Expansif" d'un limite physique inférieure à une limite physique supérieure ;
- La troisième forme, est la somme de continuité des deux précédentes formes se ramenant à la première, comme une amplification simple de celle ci ; ou , comme un complément à 1 . Cela montre que le bords limite inférieure du second rejoint du bord limite finie supérieure du premier est l'incrément +1 de l'Ensemble,
La première et la seconde forme sont différentes et complémentaires.
Une fois le dépôt effectué je mettrai les photos des formes sur ce site, et je rendrai public les Brevets ( sous réserve de la législation française sur la Sécurité Nationale * ),
* Les raisons : Ces formes modifient le comportement du magnétisme, connu à ce jour.
Outre cela, la mise en application des calculateurs ci-avant cités, in sécurise la transmission de données.
La contre mesure d'inviolabilité reste dans le "Mot fini Binaire" qui n'est plus un Nombre calculable dés lors que le Groupe d’états binaires qui en fait la composition, est pris par partie. La juxtaposition de parties de " Mot Fini Binaire " est calculable . C'est la théorie du " Fini Expansif " dans son application.
Le moyen de codage de l'information sécurisée par ½ " Mot Fini Binaire " offre le double avantage d'être être parcellaire et d'être aussi vieux que le monde . C'est le lien Mathématique et la "théorie du Fini Expansif " qui en apporte la nouveauté au Brevet d'invention.
copyright Jean-claude LELONG-BONNARIC 20 Février 2015 10h 30
Jean-Claude LELONG-BONNARIC
Chercheur Indépendant
Re: Sciences décalées
Je n'ai jamais eu de doute de pouvoir expliquer simplement cela un jour, j'étais seulement gêné sur la notion de limites , que ces mathématiques revoient de manière différente et qu'il était difficile de pouvoir faire admettre sans avoir à entrer dans les calculs proprement dit. Or, lorsque j'ai écrit :"C'est ce modèle Physique , que je dépose, en tant que Brevet d'invention (en raison de sa matérialité), cela sous ses trois formes :
- La première est la forme " Fini Expansif" , du point 0 à une limite physique ;
- La seconde est la forme " Fini Expansif" d'un limite physique inférieure à une limite physique supérieure ;
- La troisième forme, est la somme de continuité des deux précédentes formes se ramenant à la première, comme une amplification simple de celle ci ; ou , comme un complément à 1 . Cela montre que le bords limite inférieure du second rejoint du bord limite finie supérieure du premier est l'incrément +1 de l'Ensemble,
La première et la seconde forme sont différentes et complémentaires".
Il devient absolument et facilement compréhensible que limite supérieure d'un sous ensemble juxtaposé à limite inférieur d'un autre sous ensemble entre est le point euclidien {Ø}, le vide . Et la réunion des 3 parties cités devient incrément +1.
Jusqu'ici je ne souhaitais pas mettre ces mathématiques à la porté de collégiens afin de ne pas perturber la pensées Mathématique qui leur est enseignée. Mais je vois qu'il est possible d'en porter la définition et d'en définir avec simplicité la part mathématique en joignant celle ci d'une partie physique en visuel.
Pour l'anecdote, alors que je cherchais à entrer en contact avec un Maitre des Sciences J.P LUMINET, un cerbère disciple à ses heures a pensé judicieux de me censurer, et me renvoyer " passez votre chemin vous ne faites pas partie de notre monde le votre est celui des collégiens "
Mon droit de réponse : Monsieur à 15 ans mon professeur de Mathématique Monsieur Dupuy de Gouanne se plaisait à m'offrir de faire son cours de Math, Lycée Jean Jaures de Carmaux dans le Tarn , disons que pendant 55 ans je préparai mes prochains cours.
(Je dédie à Monsieur Dupuy de Gouanne toutes ces Mathématiques , je ne l'ai jamais revu , je ne sais où il est, mais là où il se trouve, qu'il sache, qu'il fut le seul de toute une vie à voir le potentiel (exception faite des services spécifiques de l' A.A, mais c'est un autre sujet)
Sans l'organigramme qui fait le lien avec les Mathématiques actuelles, peu de Scientifiques pouvaient comprendre L’état de ces Mathématiques.
Quelque Scientifiques dont j'ai eu l’occasion de lire les interview dans les Magasines de vulgarisation Mathématiques , disait souvent , " Nous trouverons mais cela ne viendra pas de notre milieu " . Ces Scientifiques ont conscience que le formatage inhibe sa propre pensée. A 15 ans immature en d'autre sujet , j'ai eu cette force de me révolter pour murir ma propre pensée. Les Mathématiques ne font pas vivre , ce sont les applications et les applications c'est arrêter la recherche fondamentale.
Qu'un regret, qu'un État ne sache pas détecter les inventeurs, ne sache pas les protéger.
Que vaut le travail de la pensée, rien, le jour venu je citerai les pilleurs et les Banques qui aident les pilleurs au profit.
- La première est la forme " Fini Expansif" , du point 0 à une limite physique ;
- La seconde est la forme " Fini Expansif" d'un limite physique inférieure à une limite physique supérieure ;
- La troisième forme, est la somme de continuité des deux précédentes formes se ramenant à la première, comme une amplification simple de celle ci ; ou , comme un complément à 1 . Cela montre que le bords limite inférieure du second rejoint du bord limite finie supérieure du premier est l'incrément +1 de l'Ensemble,
La première et la seconde forme sont différentes et complémentaires".
Il devient absolument et facilement compréhensible que limite supérieure d'un sous ensemble juxtaposé à limite inférieur d'un autre sous ensemble entre est le point euclidien {Ø}, le vide . Et la réunion des 3 parties cités devient incrément +1.
Jusqu'ici je ne souhaitais pas mettre ces mathématiques à la porté de collégiens afin de ne pas perturber la pensées Mathématique qui leur est enseignée. Mais je vois qu'il est possible d'en porter la définition et d'en définir avec simplicité la part mathématique en joignant celle ci d'une partie physique en visuel.
Pour l'anecdote, alors que je cherchais à entrer en contact avec un Maitre des Sciences J.P LUMINET, un cerbère disciple à ses heures a pensé judicieux de me censurer, et me renvoyer " passez votre chemin vous ne faites pas partie de notre monde le votre est celui des collégiens "
Mon droit de réponse : Monsieur à 15 ans mon professeur de Mathématique Monsieur Dupuy de Gouanne se plaisait à m'offrir de faire son cours de Math, Lycée Jean Jaures de Carmaux dans le Tarn , disons que pendant 55 ans je préparai mes prochains cours.
(Je dédie à Monsieur Dupuy de Gouanne toutes ces Mathématiques , je ne l'ai jamais revu , je ne sais où il est, mais là où il se trouve, qu'il sache, qu'il fut le seul de toute une vie à voir le potentiel (exception faite des services spécifiques de l' A.A, mais c'est un autre sujet)
Sans l'organigramme qui fait le lien avec les Mathématiques actuelles, peu de Scientifiques pouvaient comprendre L’état de ces Mathématiques.
Quelque Scientifiques dont j'ai eu l’occasion de lire les interview dans les Magasines de vulgarisation Mathématiques , disait souvent , " Nous trouverons mais cela ne viendra pas de notre milieu " . Ces Scientifiques ont conscience que le formatage inhibe sa propre pensée. A 15 ans immature en d'autre sujet , j'ai eu cette force de me révolter pour murir ma propre pensée. Les Mathématiques ne font pas vivre , ce sont les applications et les applications c'est arrêter la recherche fondamentale.
Qu'un regret, qu'un État ne sache pas détecter les inventeurs, ne sache pas les protéger.
Que vaut le travail de la pensée, rien, le jour venu je citerai les pilleurs et les Banques qui aident les pilleurs au profit.
Re: Sciences décalées
Que cela soit la "Structure Tri-Orthogonale" qui utilise les Nombres Entiers ou, que cela soit " l'Expression Universelle du Nombre " qui utilise les Nombres Fractionnaires , ou encore "la Structure dans laquelle s'inscrivent l'un à la suite de l'autre "les Nombres Hybrides" qui utilise à la fois la notation " Mot Fini Binaire" par ses États, "Nombre Complexe" par la somme de Probabilité des états du" Mot Fini Binaire" , "Nombre Entier" par sa distance à l'origine de " l' Espace Temps " ou simplement , dans sa transformation en Nombre Entier Espace/temps ; ce sont des Structures de Type Calculateur.
Ceci a une importance capitale, car une Structure de Type Calculateur pourrait se définir par une structure " vide" avec un potentiel de calcul Intégré inhérent à la structure même, de fait totalement indépendantes de donnée inscrites.
L'importance serait alors que transposant deux Structures identiques dans leurs formes c'est aussi utiliser les incidences réciproques de leur Calculateur Intégré.
Et je pense que ce trouve là, une cause possible , de la transformation du Nombre Hybride en Nombre Espace Temps . La dissociation avec la rencontre de deux Structures Générative différentes, donnant un Troisième Structure avec une recomposition en Nombre Espace/Temps. De laquelle provient les Nombres Premiers.
Ceci n'est qu'une hypothèse fortement induite par la cohérence des éléments inventoriés portés à l'analyse.
Il serait alors possible de voir ces Mathématiques comme des structures sorte de plan // qui terme à terme construiraient des données sans initiateur , les Calculateurs , vide , sont équivalant à être unitaire, c'est l'action ou l'inter action qui induit les données.
Or, c'est bien comme cela qu'est la construction de la Structure Tri-Orthogonale , deux dimensions mais aussi une dimension résultante de combinaisons toujours constante, rapport à ces deux dimensions.
Le plan, Nombre Entier de - infini à + infini sur deux axes quadrants, plus un axe quadrant de profondeur limitée, mais aussi aux Combinaisons limitées ( d'où le terme "Combinatoire Recombiné ©").
Si il me devient possible de pouvoir établir le lien direct entre position et valeur des variables du Combinatoire Recombiné et l’État binaires de celles ci, en terme d' actives non actives, et cela pour entrer en comparaison du "Mot Fini Binaire" du Nombre Hybride ; ou bien du moins trouver une relation terme à terme, cela pourrait être une démonstration pour une théorie du " Fini Expansif " totalement close, la Structure devenant alors totalement récursive, sur son Calculateur Combinatoire Recombiné.
Il y aurait alors imbrication non pas des données , mais imbrication des Calculateurs. (j'entends par imbrication, une interaction réciproque de trois actions dont deux Combinées ensembles produiraient la Troisième action )
Et cela , seule une programmation efficace* en donnerait le résultat.
La raison, n’étant pas sur des données, mais des Structures "vides" , c'est simplement le Fini dans la pureté du mot .
* Cela est ma lacune je ne retiens plus les vocabulaires des langages de programmations ni même des langues étrangères, mais cela n'a aucune incidence sur l'organisation de la logique de résolution.
Jean-Claude LELONG-BONNARIC
Chercheur Indépendant
Ceci a une importance capitale, car une Structure de Type Calculateur pourrait se définir par une structure " vide" avec un potentiel de calcul Intégré inhérent à la structure même, de fait totalement indépendantes de donnée inscrites.
L'importance serait alors que transposant deux Structures identiques dans leurs formes c'est aussi utiliser les incidences réciproques de leur Calculateur Intégré.
Et je pense que ce trouve là, une cause possible , de la transformation du Nombre Hybride en Nombre Espace Temps . La dissociation avec la rencontre de deux Structures Générative différentes, donnant un Troisième Structure avec une recomposition en Nombre Espace/Temps. De laquelle provient les Nombres Premiers.
Ceci n'est qu'une hypothèse fortement induite par la cohérence des éléments inventoriés portés à l'analyse.
Il serait alors possible de voir ces Mathématiques comme des structures sorte de plan // qui terme à terme construiraient des données sans initiateur , les Calculateurs , vide , sont équivalant à être unitaire, c'est l'action ou l'inter action qui induit les données.
Or, c'est bien comme cela qu'est la construction de la Structure Tri-Orthogonale , deux dimensions mais aussi une dimension résultante de combinaisons toujours constante, rapport à ces deux dimensions.
Le plan, Nombre Entier de - infini à + infini sur deux axes quadrants, plus un axe quadrant de profondeur limitée, mais aussi aux Combinaisons limitées ( d'où le terme "Combinatoire Recombiné ©").
Si il me devient possible de pouvoir établir le lien direct entre position et valeur des variables du Combinatoire Recombiné et l’État binaires de celles ci, en terme d' actives non actives, et cela pour entrer en comparaison du "Mot Fini Binaire" du Nombre Hybride ; ou bien du moins trouver une relation terme à terme, cela pourrait être une démonstration pour une théorie du " Fini Expansif " totalement close, la Structure devenant alors totalement récursive, sur son Calculateur Combinatoire Recombiné.
Il y aurait alors imbrication non pas des données , mais imbrication des Calculateurs. (j'entends par imbrication, une interaction réciproque de trois actions dont deux Combinées ensembles produiraient la Troisième action )
Et cela , seule une programmation efficace* en donnerait le résultat.
La raison, n’étant pas sur des données, mais des Structures "vides" , c'est simplement le Fini dans la pureté du mot .
copyright Jean-claude LELONG-BONNARIC 24 Février 2015 12h 30
* Cela est ma lacune je ne retiens plus les vocabulaires des langages de programmations ni même des langues étrangères, mais cela n'a aucune incidence sur l'organisation de la logique de résolution.
Jean-Claude LELONG-BONNARIC
Chercheur Indépendant
Re: Sciences décalées
Suivant ce que je viens de lire sur les Fractales il y a une probabilité proche de 1 que la Structure Tri-Orthogonale, soit une Fractale Originelle.
En recherchant comment donner un sens mathématique au "Combinatoire Recombiné" je suis parvenu à retrouver dans le Calculateur qui lui est associé, la Structure Identique à lui même , c'est le coté limite à des parties limitées qui conditionne la structure
Un Calculateur, vide , qui dans son potentiel latent utilise déjà les propriétés qu'il est censés produire, cela m'a
qu'une définition :
Et cela ne devient possible que par une cause de double limite, une limite sur la dimension elle même et une limite sur le Combinatoire Recombiné et surtout qu'il se trouve un différentiel entre deux parties combinées.
Or le Combinatoire Recombiné est entièrement et intimement lié à la limite sur la dimension et le différentiel c'est le Calculateur par lui même.
En recherchant comment donner un sens mathématique au "Combinatoire Recombiné" je suis parvenu à retrouver dans le Calculateur qui lui est associé, la Structure Identique à lui même , c'est le coté limite à des parties limitées qui conditionne la structure
Un Calculateur, vide , qui dans son potentiel latent utilise déjà les propriétés qu'il est censés produire, cela m'a
qu'une définition :
l'ensemble se contient dans ses parties.
Et cela ne devient possible que par une cause de double limite, une limite sur la dimension elle même et une limite sur le Combinatoire Recombiné et surtout qu'il se trouve un différentiel entre deux parties combinées.
Or le Combinatoire Recombiné est entièrement et intimement lié à la limite sur la dimension et le différentiel c'est le Calculateur par lui même.
Le Continu Mathématique n'est pas sur des "Données Initiées" il est sur les Combinaisons de Structures, l’existence est latente, ces existences sont en interne avant même qu'elle n'existent.
copyright Jean-claude LELONG-BONNARIC 24 Février 2015 18h 10
Dernière édition par Admin le Jeu 26 Fév - 8:43, édité 1 fois
Re: Sciences décalées
J'ai écrit :
"Suivant ce que je viens de lire sur les Fractales il y a une probabilité proche de 1 que la Structure Tri-Orthogonale, soit une "Fractale Originelle ©. "
Or, je suis dans la projection orthogonale du plan infini, vers sa limite différentielle ( 0 ) [ double limite : Combinatoire Recombiné ( Nombre entier de parties) limité (variables) en valeur d’entier ]. Cette "Fractale Potentielle ©" est sur les entiers, Calculateurs { Ø} .
Or, lorsque le " Calculateur Différentiel " est inversé pour une action sur lui même entre deux limites de ses parties entières, il devient " Diviseur Différentiel©" de parties entières entre les dites limites. Et en cela introduit une "Fractale totalement limitée©" entre deux points de la "Fractale Originelle©"
Dans la Structure Tri-Orthogonale, cette inversion, d'une partie d'elle même sur elle même, revient à trouver, un point ( le point représentatif pour le Groupe de parties du Combinatoire Recombiné ; point qui en est l'image exacte de la partie de parties entières, entre les dites limites sur la Structure Tri-Orthogonale Inversée ; point qui de fait contient en lui même toutes les informations (coordonnées de chaque partie qu'il représente, et qu'il peut restituer sous la forme d'une "Onde Unique Limitée©" caractéristique et spécificité de l'inversibilité "Calculateur Différentiel ©".
La Structure Tri-Orthogonale est , 2 dimension + une dimension constante, pour elle même et sa partie inversée. Elle est spatiale suivant 3 axes ( tri-orthogonal), mais l'un des axes est constant soit : le bidimensionnel sur un axe de rotation.
Si je fais mouvoir , la partie inversé de la Structure autour de l'axe du Groupe qui sera pris pour constant, le mouvement décrit un "Cercle de Résolution©" lieu où, le point représentatif du groupe est "Onde Unique Limitée©" solution exacte dans la structure inverse, mais comparé à la Structure Tri-Orthogonale, devient un point entre deux limites entières.
Ici sont plusieurs possibilités:
1°-soit "l'Onde Unique Limitée©" , en rotation autour de l'axe constant, rencontre deux coordonnée entière, de la Structure Tri-Orthogonale d'Entier, et chaque couple de deux coordonnées sont la solution entière dans les variantes du Groupe ;
2°- soit, non plus " l'Onde Unique Limitée©", mais, le point (soit les deux coordonnées entières de l'inverse) l'une des deux coordonnées rencontre un point de la Structure Tri-Orthogonale d'Entier, l'autre est dans l’intervalle des Combinaisons Recombinées.
3°- soit le point , ( soit deux coordonnées entières de l'inverse) ne rencontre aucun point de la Structure Tri-Orthogonale d'Entier, les coordonnées du points sont dans un intervalle de Combinaisons Recombinées.
Ces trois possibilités sont analogue à ; Nombre Entier , Nombre Complexe , Nombre Imaginaire pur.
Sont ici, ce qui caractérise " l’Inversion du Calculateur Différentiel ©" sur une partie de lui même, c'est à dire la "Recombinaison Fractionnée du Combinatoire Recombiné©"
Ceci est en toute hypothèse, mais correspond à l'inventaire du "Construit Fractal"
" l’Inversion du Calculateur Différentiel ©" sur l'une de ses parties latente, est génératrice, d'une Ensemble Fractal Fini de points en coordonnées Espace ( Nombre ) et Temps ( transcendance, puissance du Nombre ). Cet "Ensemble Fractal Fini" est unique sur la partie.
Mais la Structure Tri-Orthogonale, si elle est limitée en ses parties de Combinatoire Recombiné, elle ne s'en trouve pas moins illimité par l’incrément +1 au Nombre de la dimension Espace (Nombre ) et au (Nombre ) de la dimension (transcendance, puissance, ).
La limitation est implicite par l'inverse, c'est le Groupe qui est axe de rotation et rayon . Dans la Structure Tri-Orthogonale inversée , le point représentatif du Groupe est toujours en limite; en faisant basculer ( osciller ) le Groupe sur son centre de gravité ( point médian du Groupe (0)), le point décrit toute la surface d'une sphère centrée. Laquelle rencontre comme précédemment écrit les parties entières du Combinatoire Recombiné de la Structure Tri-Orthogonale : cette fois non plus sur "Cercle de Résolution©" mais sur une " Surface Sphérique de Résolution©" de rayon égal au Groupe. Chaque point de la Surface est représentatif du Groupe ( sauf les deux extrêmes, qui sont aussi point du Groupe ).
Il en serait de même si le centre de gravité du Groupe eut été différent. Je conjecture que cela ramène à analyser deux Groupes différents complémentaires, et avoir en ce cas ,
interpénétration une " Surface Sphérique de Résolution©" pour chacune des deux parties de Groupe ; ce qui donnerait pour les deux parties du Groupe morcelé :
dans le cas de l'axe constant : deux "Cercle de Résolution©" //
dans le cas de l'axe oscillant : un "Cercle de Résolution©" + deux parties de " Surfaces Sphériques de Résolution©" + une partie double de " Surfaces Sphériques de Résolution©" commune. Il est aussi un "Cercle de Résolution©" qui dés lors est en quadrature , mais délimité , limité à 1 point minimum, limité dans le rapport des deux parties du Groupe.
Cette, quadrature est immuable, si sont deux parties de Groupe, s'en suit , toute une Géométrie .
Pour synthétiser ,
1° - La Structure Tri-Orthogonale par le Nombre Entier introduit le Continu ;
2° - La Structure Tri-Orthogonale par les Groupes reste dans le Continu ;
3°- La Structure Tri-Orthogonale par son inverse et le Nombre Entier introduit le Fini ;
4° - La Structure Tri-Orthogonale par son inverse et par les Groupes d'Entiers, introduit, le Fini ou le Discret
Cela sans condition essentielle
La structure Tri-Orthogonale dans son inverse, sur son Combinatoire Recombiné à chaque Transcendance et pris par partie ou combinaison de parties, contient l'ensemble des Fractales possibles entre (0) et la limite fixée pour une représentation matérielle.
"Suivant ce que je viens de lire sur les Fractales il y a une probabilité proche de 1 que la Structure Tri-Orthogonale, soit une "Fractale Originelle ©. "
Or, je suis dans la projection orthogonale du plan infini, vers sa limite différentielle ( 0 ) [ double limite : Combinatoire Recombiné ( Nombre entier de parties) limité (variables) en valeur d’entier ]. Cette "Fractale Potentielle ©" est sur les entiers, Calculateurs { Ø} .
Or, lorsque le " Calculateur Différentiel " est inversé pour une action sur lui même entre deux limites de ses parties entières, il devient " Diviseur Différentiel©" de parties entières entre les dites limites. Et en cela introduit une "Fractale totalement limitée©" entre deux points de la "Fractale Originelle©"
Dans la Structure Tri-Orthogonale, cette inversion, d'une partie d'elle même sur elle même, revient à trouver, un point ( le point représentatif pour le Groupe de parties du Combinatoire Recombiné ; point qui en est l'image exacte de la partie de parties entières, entre les dites limites sur la Structure Tri-Orthogonale Inversée ; point qui de fait contient en lui même toutes les informations (coordonnées de chaque partie qu'il représente, et qu'il peut restituer sous la forme d'une "Onde Unique Limitée©" caractéristique et spécificité de l'inversibilité "Calculateur Différentiel ©".
La Structure Tri-Orthogonale est , 2 dimension + une dimension constante, pour elle même et sa partie inversée. Elle est spatiale suivant 3 axes ( tri-orthogonal), mais l'un des axes est constant soit : le bidimensionnel sur un axe de rotation.
Si je fais mouvoir , la partie inversé de la Structure autour de l'axe du Groupe qui sera pris pour constant, le mouvement décrit un "Cercle de Résolution©" lieu où, le point représentatif du groupe est "Onde Unique Limitée©" solution exacte dans la structure inverse, mais comparé à la Structure Tri-Orthogonale, devient un point entre deux limites entières.
Ici sont plusieurs possibilités:
1°-soit "l'Onde Unique Limitée©" , en rotation autour de l'axe constant, rencontre deux coordonnée entière, de la Structure Tri-Orthogonale d'Entier, et chaque couple de deux coordonnées sont la solution entière dans les variantes du Groupe ;
2°- soit, non plus " l'Onde Unique Limitée©", mais, le point (soit les deux coordonnées entières de l'inverse) l'une des deux coordonnées rencontre un point de la Structure Tri-Orthogonale d'Entier, l'autre est dans l’intervalle des Combinaisons Recombinées.
3°- soit le point , ( soit deux coordonnées entières de l'inverse) ne rencontre aucun point de la Structure Tri-Orthogonale d'Entier, les coordonnées du points sont dans un intervalle de Combinaisons Recombinées.
Ces trois possibilités sont analogue à ; Nombre Entier , Nombre Complexe , Nombre Imaginaire pur.
Sont ici, ce qui caractérise " l’Inversion du Calculateur Différentiel ©" sur une partie de lui même, c'est à dire la "Recombinaison Fractionnée du Combinatoire Recombiné©"
Ceci est en toute hypothèse, mais correspond à l'inventaire du "Construit Fractal"
" l’Inversion du Calculateur Différentiel ©" sur l'une de ses parties latente, est génératrice, d'une Ensemble Fractal Fini de points en coordonnées Espace ( Nombre ) et Temps ( transcendance, puissance du Nombre ). Cet "Ensemble Fractal Fini" est unique sur la partie.
Mais la Structure Tri-Orthogonale, si elle est limitée en ses parties de Combinatoire Recombiné, elle ne s'en trouve pas moins illimité par l’incrément +1 au Nombre de la dimension Espace (Nombre ) et au (Nombre ) de la dimension (transcendance, puissance, ).
La limitation est implicite par l'inverse, c'est le Groupe qui est axe de rotation et rayon . Dans la Structure Tri-Orthogonale inversée , le point représentatif du Groupe est toujours en limite; en faisant basculer ( osciller ) le Groupe sur son centre de gravité ( point médian du Groupe (0)), le point décrit toute la surface d'une sphère centrée. Laquelle rencontre comme précédemment écrit les parties entières du Combinatoire Recombiné de la Structure Tri-Orthogonale : cette fois non plus sur "Cercle de Résolution©" mais sur une " Surface Sphérique de Résolution©" de rayon égal au Groupe. Chaque point de la Surface est représentatif du Groupe ( sauf les deux extrêmes, qui sont aussi point du Groupe ).
Il en serait de même si le centre de gravité du Groupe eut été différent. Je conjecture que cela ramène à analyser deux Groupes différents complémentaires, et avoir en ce cas ,
interpénétration une " Surface Sphérique de Résolution©" pour chacune des deux parties de Groupe ; ce qui donnerait pour les deux parties du Groupe morcelé :
dans le cas de l'axe constant : deux "Cercle de Résolution©" //
dans le cas de l'axe oscillant : un "Cercle de Résolution©" + deux parties de " Surfaces Sphériques de Résolution©" + une partie double de " Surfaces Sphériques de Résolution©" commune. Il est aussi un "Cercle de Résolution©" qui dés lors est en quadrature , mais délimité , limité à 1 point minimum, limité dans le rapport des deux parties du Groupe.
Cette, quadrature est immuable, si sont deux parties de Groupe, s'en suit , toute une Géométrie .
Pour synthétiser ,
1° - La Structure Tri-Orthogonale par le Nombre Entier introduit le Continu ;
2° - La Structure Tri-Orthogonale par les Groupes reste dans le Continu ;
3°- La Structure Tri-Orthogonale par son inverse et le Nombre Entier introduit le Fini ;
4° - La Structure Tri-Orthogonale par son inverse et par les Groupes d'Entiers, introduit, le Fini ou le Discret
Cela sans condition essentielle
La structure Tri-Orthogonale dans son inverse, sur son Combinatoire Recombiné à chaque Transcendance et pris par partie ou combinaison de parties, contient l'ensemble des Fractales possibles entre (0) et la limite fixée pour une représentation matérielle.
Le Fractal , n'est possible que par le fait d'une constante qui sert de limite par morceau au continu. C'est " le Fini Expansif ©"
copyright Jean-claude LELONG-BONNARIC 25 Février 2015 15h 30
Re: Sciences décalées
Le Combinatoire est important dans ces Mathématiques.
Suivant une gymnastique mentale, du moins un restructuration du Combinatoire, je suis parviens à mettre une relation entre des états binaires ( des positions) de combinatoire , et des valeurs chiffrées de la Structure Tri-Orthogonale , et cela en terme à terme .
En toute hypothèse cette analogie introduit la variation continu sur le "Combinatoire Recombiné©" .Cela mis en parallèlement à un calculateur , devrait pouvoir donner sans calcul une décomposition de la valeur par les variante de ses combinaisons .
Si cela devait pouvoir être le cas, cela voudrait pouvoir dire que l’équation de la Structure Tri-Orthogonale s'adapterait au Combinatoire , mais également que le Combinatoire disposerait de Loi de composition analogue aux Nombres . Aurais je là, le moyen de pouvoir donner une définition précise du "Combinatoire Recombiné©" ???
Des parties cachées se trouvent dans le Combinatoire elles ne se découvrent que par une déstructuration entre états et transitions.
J'ai pu y trouver en résultat d'analyse ,deux modes opératoires et deux transitions, intimement liées , comme étant une unicité indissociable . j'entends par unicité "ce qui est un commencé en action est impérativement fini" comme une procédure , dans une seule itération. Quatre phases, Report , Empilement (+) , Facteur ( x) , Glissement , cela pour , un Combinatoire .
Quatre phases, cela est aussi, dans le principe du double replis du Plan , qui est une partie finie du continu .
Si il est possible de déterminer des modes opératoires au Combinatoire , cela signifie , que le Combinatoire, peut se Combiner à lui même et cela suivant la Structure Tri-Orthogonale. S'en suivrait alors , que l’équation de la dite Structure s'appliquerait au Combinatoire, et qu'ainsi fait , la Structure ne serait plus une fonction continu à partir de coordonnées Numérales , mais serait une fonction continu à partir de parties inconnues ( de variables).
Mais cela ne s’arrête pas là. Cela voudrait dire que la Structure Tri-Orthogonale peut avoir deux images. 1° - L'image de "Valeur Numérique" Nombre , et 2°- l'image de "Parties Combinées inconnues & variable ". Soit en parallèle , Nombre et Partie qui compose le Nombre. Et cela sans erreur possible , puisque ce n'est pas dans des donnée , c'est la Structure Tri-Orthogonale , en elle même .
Ces Mathématiques différentes, semblent donner le moyen mathématique de décomposer le Nombre en ses parties qui le compose. Cela sous tend à :
Mais cela sous tend également, à pouvoir démontrer la nature Binaire du "Nombre Hybride© comme étant des variations combinées de "Temps (cyclique)".
La raison, en inscrivant le " Nombre Hybride©" , dans une partie délimitée du plan Espace transcendance comme étant Espace/transcendance , en même lieu et se retrouve l'image des parties qui le compose.
Or , la Structure Tri-Orthogonale c'est deux dimension + une dimension constante . Cela implique que les deux images sus dites sont sur un même lieu de la transcendance ( je dirai pour lieu , un degré de la transcendance sorte de pureté " , comme deux plans quadrant et // dissociés (distincts). Cela laisserait supposer une quatrième dimension cachée dans la relation mathématique. A moins que , chacune des dimensions ne soit la continuité de l'autre.
La raison : cela rejoint la forme géométrique des trois modèles physiques qui montrent " la Continuité" Mathématique et Physique
Suivant une gymnastique mentale, du moins un restructuration du Combinatoire, je suis parviens à mettre une relation entre des états binaires ( des positions) de combinatoire , et des valeurs chiffrées de la Structure Tri-Orthogonale , et cela en terme à terme .
En toute hypothèse cette analogie introduit la variation continu sur le "Combinatoire Recombiné©" .Cela mis en parallèlement à un calculateur , devrait pouvoir donner sans calcul une décomposition de la valeur par les variante de ses combinaisons .
Si cela devait pouvoir être le cas, cela voudrait pouvoir dire que l’équation de la Structure Tri-Orthogonale s'adapterait au Combinatoire , mais également que le Combinatoire disposerait de Loi de composition analogue aux Nombres . Aurais je là, le moyen de pouvoir donner une définition précise du "Combinatoire Recombiné©" ???
Des parties cachées se trouvent dans le Combinatoire elles ne se découvrent que par une déstructuration entre états et transitions.
J'ai pu y trouver en résultat d'analyse ,deux modes opératoires et deux transitions, intimement liées , comme étant une unicité indissociable . j'entends par unicité "ce qui est un commencé en action est impérativement fini" comme une procédure , dans une seule itération. Quatre phases, Report , Empilement (+) , Facteur ( x) , Glissement , cela pour , un Combinatoire .
Quatre phases, cela est aussi, dans le principe du double replis du Plan , qui est une partie finie du continu .
Si il est possible de déterminer des modes opératoires au Combinatoire , cela signifie , que le Combinatoire, peut se Combiner à lui même et cela suivant la Structure Tri-Orthogonale. S'en suivrait alors , que l’équation de la dite Structure s'appliquerait au Combinatoire, et qu'ainsi fait , la Structure ne serait plus une fonction continu à partir de coordonnées Numérales , mais serait une fonction continu à partir de parties inconnues ( de variables).
Mais cela ne s’arrête pas là. Cela voudrait dire que la Structure Tri-Orthogonale peut avoir deux images. 1° - L'image de "Valeur Numérique" Nombre , et 2°- l'image de "Parties Combinées inconnues & variable ". Soit en parallèle , Nombre et Partie qui compose le Nombre. Et cela sans erreur possible , puisque ce n'est pas dans des donnée , c'est la Structure Tri-Orthogonale , en elle même .
Ces Mathématiques différentes, semblent donner le moyen mathématique de décomposer le Nombre en ses parties qui le compose. Cela sous tend à :
du calcul sans nécessité de calcul
Mais cela sous tend également, à pouvoir démontrer la nature Binaire du "Nombre Hybride© comme étant des variations combinées de "Temps (cyclique)".
La raison, en inscrivant le " Nombre Hybride©" , dans une partie délimitée du plan Espace transcendance comme étant Espace/transcendance , en même lieu et se retrouve l'image des parties qui le compose.
Or , la Structure Tri-Orthogonale c'est deux dimension + une dimension constante . Cela implique que les deux images sus dites sont sur un même lieu de la transcendance ( je dirai pour lieu , un degré de la transcendance sorte de pureté " , comme deux plans quadrant et // dissociés (distincts). Cela laisserait supposer une quatrième dimension cachée dans la relation mathématique. A moins que , chacune des dimensions ne soit la continuité de l'autre.
Je pense que ce trouve là , le moyen de pouvoir démontrer le principe d'inversion dans le cyclique pour cette "Théorie du Fini Expansif ©"
La raison : cela rejoint la forme géométrique des trois modèles physiques qui montrent " la Continuité" Mathématique et Physique
copyright Jean-claude LELONG-BONNARIC 27 Février 2015 10h00
Re: Sciences décalées
En trois heures de réflexions qu'une erreur clavier me fait perdre , je viens de me convaincre que le domaine dans lequel influe ces Mathématiques du Fini Expansif , ne serait guère éloigné du domaine de la Théorie Quantique. Seule les Géométries en différeraient, Probabilité et Logique sont du même domaine. Ayant extrapolé, l'expérience sur le Magnétisme faite sans aucune rigueur , juste une vérification par simple observation, l'expérience de la pensée, conduit à une même observation. J'y reviendrai dans le détails , car cela pourrait solutionner des interrogations actuelles, notamment en physique.
Re: Sciences décalées
Pour exemple, ces Mathématiques différentes , suivant la Structure Tri-Orthogonale , qui par inversion de ses parties sur elle même crée le Fini Expansif© ont spécificité de décomposer et dissocier l'indissociable des Mathématiques actuelles, telle que le serait deux ondes ou deux courbes Mathématiques et de les recomposer en une courbe unique.
c'est l'inverse du "Nombre Hybride©" dans sa transformation en "Nombre Espace/Temps©". Or , cela se rencontre en Physique , l’indissociabilité "Onde/Corpuscule" est un fait connu .
Je conjecture non sans raison , ces Mathématiques du "Fini Expansif©" , par le "Nombre Hybride©" serait une analogie à "Onde dissocié de Corpuscule" et par le "Nombre Espace/ Temps©" seraient une analogie avec Onde/corpuscule indissociable.
c'est l'inverse du "Nombre Hybride©" dans sa transformation en "Nombre Espace/Temps©". Or , cela se rencontre en Physique , l’indissociabilité "Onde/Corpuscule" est un fait connu .
Je conjecture non sans raison , ces Mathématiques du "Fini Expansif©" , par le "Nombre Hybride©" serait une analogie à "Onde dissocié de Corpuscule" et par le "Nombre Espace/ Temps©" seraient une analogie avec Onde/corpuscule indissociable.
La raison, la Géométrie qui résulte de ces Mathématiques , et cela en est toute la beauté, transforme, le Plan en Espace, par le "double replis du Plan©" , reconstruisant, deux Plans d'un même Plan ou à l'inverse, un seul Plan à partir de deux Plans, sans modification autre, que : Expansion ou bien Compression .
copyright Jean-claude LELONG-BONNARIC 27 Février 2015 14h30
Mesdames et Messieurs les Scientifiques, je suis prêt à transmettre cette connaissance.
Re: Sciences décalées
Ainsi, l'ensemble , le tout, entre dans un domaine unique .
Dés lors peut être démontré : deux dimensions + un dimension constante, qui une Recombinaison des deux , construit , " le Cyclique " par inversion en limites .
Et si il y a inversion en limites , c'est la construction du "Nombre Hybride©" qui peut en faire la démonstration, les états binaires du "Mot Infini Binaire©" qui en fait leur composition, au supposé, infini, le pas, ( infini +1) , devient le" Mot Infini Binaire©" du Nombre Hybride ©" ( 1 ) , mais aussi et cela ne doit pas être négligé, Le Nombre Espace /Temps (1) , suit le Nombre Espace/Temps (0) qui est aussi celui le Nombre Espace/Temps de l'infini.
Dés lors peut être démontré : deux dimensions + un dimension constante, qui une Recombinaison des deux , construit , " le Cyclique " par inversion en limites .
Et si il y a inversion en limites , c'est la construction du "Nombre Hybride©" qui peut en faire la démonstration, les états binaires du "Mot Infini Binaire©" qui en fait leur composition, au supposé, infini, le pas, ( infini +1) , devient le" Mot Infini Binaire©" du Nombre Hybride ©" ( 1 ) , mais aussi et cela ne doit pas être négligé, Le Nombre Espace /Temps (1) , suit le Nombre Espace/Temps (0) qui est aussi celui le Nombre Espace/Temps de l'infini.
Dans ces Mathématiques différentes , l'infini est aussi le (0)
copyright Jean-claude LELONG-BONNARIC 27 Février 2015 15h00
Dernière édition par Admin le Ven 27 Fév - 20:41, édité 1 fois
Re: Sciences décalées
Chaque Mot important , qui a une définition précise, pour avoir une incidence mathématique directe dans ces Mathématiques différentes et qui dans les mathématiques actuelles ( pour ce que j'en sais ) n'ont pas, ou bien, la même définition ou le même sens , sont annotées sous cette forme " ........©" , ( avec ou sans tilde ou guillemet 1°- pour pouvoir mettre le mot en exergue , 2° -relever qu'il a une définition spécifique , 3° - pouvoir être remplacé par un symboles qui lui est propre.
Ce Symbole repère ......© , est celui de l’édition du Copyright, pour mieux en contrôler l'utilisation légale (*)
(*) Leur utilisation en terme d'édition au titre d'informations est publique, doit être fait mention en note de bas de page , (*) "....... ©" Spécificité Mathématiques Différentes.
Ce Symbole repère ......© , est celui de l’édition du Copyright, pour mieux en contrôler l'utilisation légale (*)
copyright Jean-claude LELONG-BONNARIC 27 Février 2015 21 h00
(*) Leur utilisation en terme d'édition au titre d'informations est publique, doit être fait mention en note de bas de page , (*) "....... ©" Spécificité Mathématiques Différentes.
Re: Sciences décalées
Exemple ; le terme Transcendance , est dans le vocabulaire de mathématiques actuelles.
" Degré de Transcendance©" , est le plan d’élévation de tous les Nombres à la même Puissance ;
" Degré de Transcendance©" , est le plan d’élévation de tous les Nombres à la même Puissance ;
Re: Sciences décalées
autre Exemple ; le terme "Courbe Hermaphrodite©", le mot est spécifique, en ce que, en chaque points d'une Courbe est référentiel, pour au moins deux Ensemble de points situés sur la même courbe ; lesquels points, pris un à un, suivant le même référentiel que la courbe, sont unique.
le terme " Courbe Hermaphrodite©" désigne la "Courbe Autoporteuse©" d'elle même en ses référentiels.
Note , il deviendra possible de démontrer : chaque point de ces Courbes ont plusieurs référentiels possibles, 1° - le Référentiel Origine de la Courbe elle même ; 2° - le Référentiel Point de la Courbe pour ses replis. Bien que faussement relatif , il ne peut être défini de parité. Toutes variations continu sur les "Courbe Hermaphrodite©" en raison des deux référentiels possibles.
La "Courbe Hermaphrodite©" n'a pas de parité, ces points sont des États Logiques.
Ces Mathématiques feront la démonstration, que les " Courbe Hermaphrodite©" sont dans le "Fini Expansif©" limité à un cycle.
le terme " Courbe Hermaphrodite©" désigne la "Courbe Autoporteuse©" d'elle même en ses référentiels.
Note , il deviendra possible de démontrer : chaque point de ces Courbes ont plusieurs référentiels possibles, 1° - le Référentiel Origine de la Courbe elle même ; 2° - le Référentiel Point de la Courbe pour ses replis. Bien que faussement relatif , il ne peut être défini de parité. Toutes variations continu sur les "Courbe Hermaphrodite©" en raison des deux référentiels possibles.
La "Courbe Hermaphrodite©" n'a pas de parité, ces points sont des États Logiques.
Ces Mathématiques feront la démonstration, que les " Courbe Hermaphrodite©" sont dans le "Fini Expansif©" limité à un cycle.
copyright Jean-claude LELONG-BONNARIC 02 Mars 2015 111 h40
Re: Sciences décalées
Aussi bizarre que cela pourrait paraitre, le Continu de la forme +1 ( État Logique) peut être exprimé suivant deux dimensions elles même sont dans le Continu, par moitié de cycle. Cela est une nécessité, afin de permettre à deux référentiels l'auto-référence.
Par exemple , Le changement d'un référentiel d'État Logique en Référentiel Nombre ne peut devenir possible que par cycle entier. Le demi cycle est un "Nombre Hybride©". La transformation des État Logiques ne se trouve possible, que par cycles. Dans le cas d'un demi cycle sans connaitre le point servant de référentiel, cela reste un Nombre sans sens Mathématique. Il y a une infinité de ces Nombres Hybrides© sans sens Mathématique, il y a une quantité limitée de Nombres Hybrides© attachés à une "Courbe Hermaphrodite©".
Il devient possible de dire : la "Courbe Hermaphrodite©" est la courbe en forme d'Onde Alternée centrée sur la limite vers l'infini ou la limite 1. Ou bien encore , l'Onde Alternée entre ces deux limites. Dans l'un ou l'autre des cas , qui sont le même objet mathématique , ce n'est que le référentiel qui change. 1°- Soit les référentiels sont l'une ou l'autre des limites 1 et 1/2 ; soit le référentiel est un Angle d'Ouverture d'Amplitude entre 1 et 1/2.
Par exemple , Le changement d'un référentiel d'État Logique en Référentiel Nombre ne peut devenir possible que par cycle entier. Le demi cycle est un "Nombre Hybride©". La transformation des État Logiques ne se trouve possible, que par cycles. Dans le cas d'un demi cycle sans connaitre le point servant de référentiel, cela reste un Nombre sans sens Mathématique. Il y a une infinité de ces Nombres Hybrides© sans sens Mathématique, il y a une quantité limitée de Nombres Hybrides© attachés à une "Courbe Hermaphrodite©".
Il devient possible de dire : la "Courbe Hermaphrodite©" est la courbe en forme d'Onde Alternée centrée sur la limite vers l'infini ou la limite 1. Ou bien encore , l'Onde Alternée entre ces deux limites. Dans l'un ou l'autre des cas , qui sont le même objet mathématique , ce n'est que le référentiel qui change. 1°- Soit les référentiels sont l'une ou l'autre des limites 1 et 1/2 ; soit le référentiel est un Angle d'Ouverture d'Amplitude entre 1 et 1/2.
J'ai comme l'impression de décrire le Quantique sous une autre forme !!!!!!!
copyright Jean-claude LELONG-BONNARIC 02 Mars 2015 13h40
Page 5 sur 10 • 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10
Page 5 sur 10
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|