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Message par Admin Ven 11 Déc - 10:14

Ce qui est clairement établi :

- L'Espace de transformation est défini dans sa composition et ses limites,  par le "Nombre" seul   et,  le couple  " Nombre & Combinatoires " . le Nombre est défini entre deux limites :  l'une  positive l'autre négative, d'un infini mathématique unique.

Et pour courbe de définition ;  la dérivée  de l'espace "Puissance et factorielle de la Puissance"   en chaque point de la droite de dérivation continue des Nombres.


est ainsi clairement établi :

La mathématique inspirée est la mathématique du continu et du combinatoire du Nombre sur lui même.





Jean claude LELONG-BONNARIC    en sa soixante et onzième année révolue

 copyright 11 Décembre 2015 11 h 15

Étude initié sur les bancs de la classe de 5 ième  institut  " Collège  la Croix Haute "  Carmaux commune du Tarn,  Professeur de Mathématique, Monsieur Goupil : poursuivie au Lycée Technique de Carmaux avec l'appui  soutenu de Monsieur Dupuy de Gouanne  qui m'a laissé le privilège de prendre son poste de professeur pour les cours de révisions.

Le lecteur est en droit de demander pourquoi autant de temps entre 1960 et 2015 ?  deux raisons à cela  ;  La première :  pas une seule autre personne du domaine de la Mathématique n'a accordé de crédit à ce changement brutal . Même les Grands Professeurs et Mathématiciens qui dans leur analyse soutiennent qu'il faudrait un retour en arrière pour avancer plus avant .  - La Seconde , l'aboutissement d'une recherche fondamentale nécessite : son propre vocabulaire son propre langage, toujours descriptif , souvent incompréhensible.  Seul l'aboutissement avec un résultat tangible ,  inverse et renvoi un moyen de comparaison. Cela n'en est pas moins la logique descriptive de la mathématique inspirée dans son application philosophique.


L’Équation de la courbe  dérivée de l'espace "Puissance et factorielle de la Puissance"  en chaque point de la droite de dérivation continue des Nombres, n'est pas donnée ici, elle fait l'objet d'un dépôt de Brevet en raison que : une fois connue de l'homme de l'Art, celui ci en construit la forme Géométrique d'un plan discret et volumique, suivant deux dimensions et une dimension constante.

j'ai dit.

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Message par Admin Sam 12 Déc - 18:01

L’Équation de la courbe dérivée de l'espace "Puissance et factorielle de la Puissance"  en chaque point de la droite de dérivation continue des Nombres.

"Puissance et factorielle de la Puissance"  Ces termes pourraient designer   l'espace/ temps de la Physique.  
Je devrais écrire et l’utiliser en Physique en tant que Courbe dérivée de l'Espace/Temps .

Cette courbe est inexistante en Physique. Alors que dans cette mathématique , c'est une fonction elle même variable d'une fonction de fonction dérivées  ou fonction de fonction de fonction.

Soit :  trois niveaux de fonction : le point, la courbe, la surface.

Il devient possible de, dériver le point, le long d'une courbe  et, de dériver la courbe dans la surface ainsi que dériver,  la surface incluse dans une surface plus grande. Cela en ayant un plan de dérivation constant et sans autre limite que infini +et -  est pour un seul état de l'espace, celui du plan constant.

La fonction dérivées ou la dérivé de l'intégrale  si le plan est constant,  l'intégrale est obligatoirement limitée , par la courbe dérivées en ses extrêmes. La raison :   la variation de la courbe est simultanée en tous ses points. C'est le développement de polynômes de degré (n) qui en permet la démonstration.   la Variation non simultanée ne peut avoir de sens que dans le cas de limites inférieures à celle du constant. C'est une autre forme d'analyse qui est dans le discret et non dans le continu. Ce sont les courbes en forme de cloches qui passent par un maximum, les dépassement de limites ne sont pas contrôlables. Et cela  n'a aucune image possible avec le combinatoire, qui sert à la démonstration par le graphe, que toutes variations d'une variable est une séquence inductive dont l'influence n'est pas limitée à une partie d'un polynôme,  mais incidente à toutes les parties dans un ordonnancement immuable et défini.

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Message par Admin Lun 14 Déc - 14:52

La fonction dérivées ou la dérivé de l'intégrale  si le plan est constant,  l'intégrale est obligatoirement limitée , par la courbe dérivées en ses extrêmes.
Entre 0 et n de la puissance au constant du plan, la limite n'est pas encore la factorielle (n)  mais une limite tendant vers la factorielle. Cette limite possède ses points de définition, et cela pour chaque constant. En admettant que la factorielle soit définie comme une limite , la courbe dérivée de l'espace "Puissance et factorielle de la Puissance" en est cette limite à la fois sur le continu pour le supérieur  et ce qui peut être donnée comme variance de la courbe dérivée de l'espace "Puissance et non factorielle de la Puissance".  "Puissance et non factorielle désignant ici que l'extrémité opposée à la puissance  sur cette courbe n'est plus la factorielle . Constant à la puissance 0 à  constant à la puissance n-1  du plan, se situe une courbe de jonction à la factorielle. Dont tout les points dérivées de son polynôme de définition sont  définissables  suivant deux méthodes.

La première, est issue de la Régression Différentielle le nouvel outil , opératif  à la fois sur : le point , la courbe , la surface cela rapport à une partie de courbe exponentielle.
La second  est issus de la logique descriptive , la surface sus-dite est aussi faite de courbes dérivées  renversées en quadrature, et là  la dérivée au point la courbe de jonction factorielle en est la limite  inférieure alors que la limite supérieure est infini.  Or cette courbe de jonction rencontrant la courbe des factorielles rejoint l'infini par les factorielles, ce qui tend à justifier que c'est le même infini et cette courbe rejoint le 0 son point de départ , ce qui tend à justifier que le 0 borde l'infini .

Il devient possible de faire partir la courbe des factorielles du point 0 et non du point 1, c'est la zone de jonction de l'origine à la courbes des factorielles , cela pour tout constant , cette zone est la surface sous la surface des factorielles dans le plan constant.
Cette zone surface est continu , constructible, si partant d'un axe fictif  des puissance d'un constant  tel que pour toutes puissances de n-1 à n= 0 est fait le saut de continuité  à n et de n ---> infini.

La continuité contient sa propre rupture c'est un saut dans la courbe, ou une inflexion voire une torsion, cela n'est visible que que par un offset à chaque plan d'un constant . Or la progression de constant +1 , donne à la suite des courbes successives la forme tunnels , et la forme des courbes de toutes les jonctions, une courbe en cloche d'une extrémité  0  un maximum , une extrémité l'une des factorielles en rapport. Or , là se retrouve dans l'Espace de transformation du plan des constants , une inversion à 180 ° suivi d'une inversion à 180° alors qu'il y a continuité de la courbe .

Pour résumer:

La fonction factorielle possède une fonction complément à 0 pour chacun des Nombres entre - infini et + infini. Cette fonction prend la dénomination : fonction dérivées des compléments factorielles.


L'infini est le même, c'est la courbe bordant l'infini qui est dérivée pour aboutir au 0, tout les points sans exceptions sont uniques . La jonction entre le 0! et le 0 est établi pour chaque constant , indiquant une replis fait d'une seule onde de forme en cloche.

pour chaque constant  pris comme référentiel  "la courbe de la puissance" de ce constant allant vers un l'infini + - , jointée à la courbe, "fonction dérivées des compléments factorielles" laquelle est jointée à "la courbe factorielle" : les extrémités  de "la courbe de la puissance" sont l'un est l'autre la  limite extrême de la transformation de,  l'infini -1  de l'un en infini - 1 de l'autre et vice versa par une dérivation continu de + ou - 1.

Cette courbe de dérivées, forme un triangle rectangle , de hauteur, puissances (n = infini -1) du constant , d' hypoténuse factorielle (infini n-1) et de petit coté = à la courbe fonction dérivées des compléments factorielles au constant .  

Cette forme sous tend à justifier ,  le terme de structure Tri-Orthogonale, qui pour un Nombre défini  est le triangle Factoriel de transformation de la puissance en factorielle dont chaque n'est pas moins que le combinatoire désigné Combinatoire Recombiné .

Or ce Combinatoire Recombiné, soustrait de lui même reporté en symétrie, n'est pas moins que le Combinatoire de la courbe dérivées +1 , soit la courbe suivante.

Peut on dire ,  la courbe portée en symétrie  différenciée d"elle même, construit la courbe suivante  ?

tout porte à le croire.

Jean claude LELONG-BONNARIC copyright 14 Décembre 2015 15 h 50

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Message par Admin Mar 15 Déc - 13:02

La fonction factorielle possède une fonction complément à 0 pour chacun des Nombres entre - infini et + infini. Cette fonction prend la dénomination : fonction dérivées des compléments factorielles

la courbe des dérivées du complément factoriel lié à chaque constant , additionnée de la courbe des factorielles , la Somme constituée des deux courbe en une seule a pour limite inférieure  0 et limite supérieure   l'infini

Soit N un nombre quelconque défini constant compris entre - infini et + infini, la fonction de transformation l'exposant  puissance (n) (compris entre - infini et + infini)   en factorielle de Nombre n! est une courbe limitée entre 0 et l'infini, lorsque la courbe factorielle inversant le nombre de ses dérivées dérive  sur elle même  

la limite supérieur de toutes courbes de transformation de la Puissance en factorielle de Puissance  est  [n !] =  constant   ;  la limite inférieur est une courbe variable fonction de n . C'est la courbe dérivée de la courbe lorsque  n de  [n !] tendant  vers 0 ,  Chaque polynôme dégressif  du fait de n variable (n-1) à 0 , la partie opposée à la puissance devient une transformation de la Puissance en non factorielle de Puissance indicée de (n-1 à à n= 0)

La Somme de chacune des parties indicées est devenu limite de bordure .

Partant de la limite supérieur dont le point est la factorielle produite par l'exposant puissance d'un constant dont il est clairement établi que au delà de cette limite pour un constant donné la limite devient constante,  dériver de polynôme dont est construit la limite n! et en extraire les limites de chacun des polynômes dérivés c'est construire  la courbe des points limites jusque à 0 de chacune des factorielles n!

Chaque factorielle (n!) est limite supérieur d'une courbe dont la limite inférieure est 0
Puisque n! est limite constante vers l'infini  pour un constant  N,  il est possible de dire que pour tout N  n! est sa limite. Et que , la dérivation de la limite n! est la courbe dérivée d'un fonction limite fonction de n.

Conclusion : la Factorielle est auto-limitative



La fonction factorielle ne peut être que limitative. Et existe dés lors un ensemble N de fonctions qui est son complément à 0.


L'ensemble constitué des deux fonctions :  factorielle et complément factorielle  constitue un ensemble complet  limité inférieure en 0 commun,  et limite supérieure  n!  puis constant de   n!.

pour tout N  ,   n! +1 -->  infini   puisque n! est la limite supérieure de N  ,  la limite inférieure  de N +1 est 0


Or, lorsque n devient > à N dans la courbe des puissances de n,   n! étant constant la dérivée n! -n! devient nulle = 0

0 et infini sont confondus par les dérivées des limites  .



Conclusion:

Pour tout N , et quelque soit n= ou > à N, la dérivée de la courbe des limites suivant n! devient nulle et pour tout n < N la dérivée de la courbe limite des compléments non factoriel est =/= 0 . Cette dernière est une courbe limite d'inversion entre deux ensembles définissables et fonction du signe positif ou négatif de l'exposant puissance.


Jean claude LELONG-BONNARIC copyright 15 Décembre 2015 14 h 00

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Message par Admin Mar 15 Déc - 18:25

Pour tout N , et quelque soit n= ou > à N, la dérivée de la courbe des limites suivant n! devient nulle et pour tout n < N la dérivée de la courbe limite des compléments non factoriel est =/= 0 . Cette dernière est une courbe limite d'inversion entre deux ensembles définissables et fonction du signe positif ou négatif de l'exposant puissance.

Entre - n et + n  l'exposant de N ainsi que - N et + N  pris pour constants de la courbe limite factorielle et sa continuité à 0 , admettant une courbe pure issue de N et de n , la variation de cette continuité prise entre 0 et infini  obtenue  de la fonction sur les signes suivant cette loi , ajoute 3 nouvelles courbes limites soit, au total : 4 courbes différentes pour  ( n   et  N ) compris entre  0 et infini .   ( 0 étant la dérivée de la courbe des limites , la courbe des limites avant variation est obligatoirement supérieur à 0 . Le point euclidien étant un point vide, les 4 courbes différentes, ne pouvant avoir de point en communs par la variation sur les signes . Le point 0 est ceint d'une couronne formée par les inversions de signes sur la même courbe des limites de N  

admettant  le point infini similaire au point 0 , les 4 courbes limites de N sont connectée et connexes par la couronne du 0 et par la couronne de l'infini. Comme il vient d'être mentionné que les 4 courbes des limites de N  ne peuvent avoir de point commune alors qu'elles sont la continuité.  

la fonction suivant les signes apparait comme une fonction de transformation aussi importante que  la fonction de transformation  Puissance factorielle de Puissance,  il est possible de joindre au signe :  soit le multiplicateur 1  soit l'additif 0   qui ne changerons pas la valeur d'une dérivée de la courbe des limites de N , mais changeront seulement la direction de la courbe .

Petit à petit,  se construit pour tout N,  la courbe finale de ses limites  suivant laquelle, sa dérivée devient nulle .


Jean claude LELONG-BONNARIC copyright 15 Décembre 2015 19 h 25

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Message par Admin Mer 16 Déc - 10:49

La puissance  -n d'un nombre N  revient à  l'inverse du Nombre N à la puissance n ; le signe  - sur la puissance, inverse le Nombre et,  le signe - de N  est équivalent à le multiplier par  (-1) ( 1/N^n) .
Le signe - ou le multiplicateur (-1) de  N  inverse l'ensemble de la structure de construction de cette courbe des limites, sous la forme d'un déplacement que je nomme onde multiplicatrice (-1).
Ressort de cela :
- La fonction facteur (-1) est une fonction multiplicatrice produisant une variation inverse lorsque elle est active sur N
- La fonction facteur (-1) est une fonction multiplicatrice produisant une variation inverse lorsque elle est active sur n ; mais n étant une fonction de N , la résultante en est un double inversion .

Cette double inversion est la base de cette mathématique appliquée dans sa Géométrie


note : tout lecteur curieux, trouvera dans la séquence  résultant de la division de 1 par un Nombre entier,  principalement premier ; 1 - une séquence finie ;  2 - une symétrie par les compléments à la base utilisée ;  et, un ordonnancement dans la séquence unique ment visible dans les restes des divisions successives , lesquels font le renouvellement de la séquence.  Ce qui a permis de conclure : au cyclique par groupe constitué    

Ce n'est pas moins que l'application de cette fonction de double inversion appliquée sur les Groupes .

La fonction multiplication appliquée à cette fonction "double inversion",  laisse inchangé l'inversion.  multipliant seulement le dénominateur -->  la puissance négative de N ^-n ; sauf si N est - ; auquel cas la multiplication  (-1) (-1) sur N  inverse sans changer le signe de n.

Résulte de cela  une variation de la fonction double inversion ; mais des variations limitées par les signes  - et + et la position de ce signe dans l’expression de la puissance d'un Nombre. cela est traduit graphiquement par  ;  Rotation & Basculement  ; rotation changement de sens directionnel , par le signe pour N , basculement changement de sens par le changement de signe sur la puissance.  le changement  de signe sur N  et le changent de signe n  la combinaison des deux , au total 3 variations possibles pour 4 états constants.

Cette remarque, aboutit à la même observation qui est faite sur les courbes des limites . Cela a été vu , 4 courbes  qui sont les variations d'une même courbe suivant les signes de N et de n.

la variation sur les signes est limitée , la variation des limites de N par les puissances de n  est limitée , leur combinatoire est limité , chaque N est un ensemble fini. Et, chaque limite un point d'inversion.


Pour rappel :


C'est la fonction factorielle n! complétée de la fonction complément non factorielle courbe des  derivées > 0   et < infini  qui est cette fonction des limites de N , dans un combinatoire de la fonction 0nde des signes  définie par la variation de la combinaison du signe + et -  , appliqué à N et n  .




Cela n'est que à partir de cette connaissance que le Nombre prend des formes différentiables, différente des entier.

Jean claude LELONG-BONNARIC copyright 16 Décembre 2015 12 h 00

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Message par Admin Mer 16 Déc - 18:00

Ce qui m'a toujours intrigué et surpris , tient au fait que Pi qui est défini comme transcendant soit aussi défini  par un produit de fraction , alors qu'un produit de fraction est sur et certain cyclique , c'est mode procédural de la division qui en fait la démonstration et cela avec les Nombres Premiers , qui n'ont pas de diviseur entier. D'où la certitude du cyclique.

Il doit manquer un paramètre , par ce que si non, c'est illogique , aussi pourrait on supposer comme cela est fait avec les Nombres Premiers , mais de séquence fini , un fin avant la fin de la séquence complète. Or ceci ne serait pas de la transcendance mais une sorte indéfini  relié à une cause infini .
La cause à cela : aussi grand que soit N même infini ; son domaine de définition par toutes les variations qui en font la composition, est limité ;  la courbe des limites de N  par n est clause est finie .
N très grand +1  devient infini  la dérivée entre deux limites est nulle. cela a  été établi.

Aussi grand que soit N il est toujours limité. L'infini est limité par une bordure et ne se trouve qu'une limite connue, c'est N antérieur à N+1 soit  N , dont il est établi que lui même est fini et délimité
La binaire est : fini et infini.  Cela sous tend que l'infini est limite du fini et inversement le fini a pour limite l'infini.

Le fini est pour le moins 1 objet mathématique. le plus petit objet mathématique identifié et défini, est le point euclidien  ou le point défini dans les Éléments d'Euclide. La première définition s'applique au point. Euclide le définit comme étant « ce dont la partie est nulle », c'est-à-dire qu'un point n'a ni largeur, ni longueur, ni hauteur. Sa dimension est donc zéro. Il forme un tout ; il est indivisible. C'est donc qu'un point est un élément premier, un constituant primitif..



S'en tenant à la définition du point, la Courbe des limites de N+1  issue des dérivées de la courbe des limites de N  égalant chacune à 0, la Somme de toutes les limites  = 0  , il y a effondrement  l'infini et le 0 sont confondu. Or, N sa limite est la conséquence de  n!  d'où   n! +1 égale infini, ou le cyclique renouvelé puisque infini  = renouvellement de cycle.

j'informe le lecteur, c'est exactement ce renouvellement de cycles pour tout N , que le graphe permet l'observation de la construction des Nombres Premiers. Ce sont les seuls Nombres qui de 0 à leurs limites n! , sont sans aucune rupture dans la courbe allant de 0 à l'infini.  tout autres Nombres a au moins une rupture de continuité.

Avant de revenir sur les effets de la fonction onde de signe , pour la discuter.

Cette mathématique accorde pour définition du Nombre Premier par les dérivées :  Un Nombre est Premier, si la surface délimitée par les 4 fonctions limites du Nombre, peut être traversée par une courbe de dérivation non nulle.


Réciproque sur les dérivées nulles
 


Un nombre est divisible par chacun des nombres qui le précède y compris lui même, si  la surface délimitée par les 4 fonctions limites du Nombre, est traversée par une courbe de dérivation nulle.




Jean claude LELONG-BONNARIC copyright 16 Décembre 2015 19 h 00


La réflexion sur le sujet, fait dire : la somme de dérivées nulles, fait une courbe de partage en deux surfaces différentiées .

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Message par Admin Jeu 17 Déc - 16:59

Suivant les précédentes informations et notamment , celle relative à : "C'est la fonction factorielle n! complétée de la fonction complément non factorielle courbe des  derivées > 0   et < infini  qui est cette fonction des limites de N , dans un combinatoire de la fonction 0nde des signes  définie par la variation de la combinaison du signe + et -  , appliqué à N et n. ".

Cela est devenu possible de donner une définition précise qui a valeur dans cette mathématique inspirée comme dans la mathématique actuelle.

Soit  :  l'ensemble de tous les Nombres définis chacun dans leur domaine de définition et chacune de leurs parties respectives. Cet ensemble n'est limité que par les définitions inhérentes à chacun des domaines ;  

Soit :  une hiérarchisation  fonction appliquée autant dans les Domaines de définition que dans les parties de chaque domaine ;

L'application d'une hiérarchisation , est une loi de transformation d'un opérateur de classement sur chacun des parties d'un domaine ; loi faisant elle même partie de la définition du domaine pour en différencier les parties ;

La loi est inductive d'un sens hiérarchique par  définition de calcul ( plus grand  ou plus petit que la partie opérande de comparaison ) ou bien suivant un sens de variation d'une partie ; le signe  ( +  ou -) est l'opérateur de sens ;

Soit : un constant défini partie exclusive de l'un des domaines des Nombres ;

L’environnement est défini : dans ses ensembles , ses lois internes, et terme ,

La fonction triple peut être défini . En effet : la fonction triple est une fonction de transformation d'un constant en ses puissances positives et négatives limitées aux valeurs  >  0  = <  à  la factorielle du constant et dans tout le sens de sa hiérarchie.

La fonction Triple appliquée au constant a pour résultat défini : une courbe des limites à l'ensemble des variations.


Jean claude LELONG-BONNARIC copyright 17 Décembre 2015 18 h 00

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Message par Admin Ven 18 Déc - 9:39

Cela est devenu possible de donner une définition précise qui a valeur dans cette mathématique inspirée comme dans la mathématique actuelle. Toutefois cela remet en cause, la Théorie des Ensembles. En effet, l'ensemble de tous les Nombres définis chacun dans leur domaine de définition et chacune de leurs parties respectives , peut être mis en bijection avec un ensemble dont les parties sont un constant différent.  
Or,

cet ensemble est sous ensemble de tous les ensembles. il est à la fois ensemble et sous ensemble ce qui est un cas contradictoire de  la théorie des ensembles de Zermelo et de Zermelo-Fraenkel.


Outre cela.

Dans l'ensemble des nombres entiers comme dans l'ensemble de tous les Nombres définis chacun dans leur domaine de définition et chacune de leurs parties respectives. la hiérarchisation est inductive d'inclusion des parties entre elles. En effet, avec  les constants différents, la hiérarchie sur les constants différents entraine une même hiérarchie dans les sous ensembles dont le constant la représentation. Cela induit pour des constants différents, une inclusion des sous ensembles finis . Exactement comme le sont les poupées Russes dans leur ensemble et comme il en est de la Poupée visible.

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Message par Admin Ven 18 Déc - 14:00

L'espace limite de chaque Constant, est défini par le constant suivant deux fonctions , la fonction puissance et la fonction factorielle . Il suffit que : dans chacun des domaines de l'ensemble de tous les Nombres définis chacun dans leur domaine de définition et chacune de leurs parties respectives , les  définitions de puissance et de factorielle soient des définitions communes.

Dés lors:

La fonction Triple est une fonction applicable à l'ensemble lui même, c'est à dire à l'ensemble de tous les Nombres définis et indéfinis.


Réciprocité

Si à tous les sous ensemble d'un ensemble est applicable une même fonction , cette fonction est aussi partie de l'ensemble dans laquelle elle est définie.


L'ensemble des définitions et l'ensemble des applications, est génératif sur les parties de l'ensemble des définitions.  

Avec cette mathématique inspirée cela peut être défini en tant que propriété de  "Latence"  qualité d'une propriété dissimulée amenée à apparaître ultérieurement.

l'introduction de la propriété de latence en tant que définition d'une propriété d'un ensemble, est le sous ensemble complément à l'infini des propriétés nouvelles à l'ensemble sans limitation des définitions.  l'Ensemble est délimité par ses définitions.



Jean claude LELONG-BONNARIC copyright 18 Décembre 2015 15 h 00

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Message par Admin Ven 18 Déc - 14:04

L'espace limite de chaque Constant, est défini par le constant suivant deux fonctions , la fonction puissance et la fonction factorielle . Il suffit que : dans chacun des domaines de l'ensemble de tous les Nombres définis chacun dans leur domaine de définition et chacune de leurs parties respectives , les  définitions de puissance et de factorielle soient des définitions communes.

Dés lors:

La fonction Triple est une fonction applicable à l'ensemble lui même, c'est à dire à l'ensemble de tous les Nombres définis et indéfinis.




Réciprocité

Si à tous les sous ensembles d'un ensemble est applicable une même fonction , cette fonction est aussi partie de l'ensemble dans laquelle elle est définie.




L'ensemble des définitions et l'ensemble des applications, est génératif sur les parties de l'ensemble des définitions.  

Avec cette mathématique inspirée cela peut être défini en tant que propriété de  "Latence"  qualité d'une propriété dissimulée amenée à apparaître ultérieurement.

l'introduction de la propriété de latence en tant que définition d'une propriété d'un ensemble, est le sous ensemble complément à l'infini des propriétés nouvelles à l'ensemble sans limitation des définitions.


 l'Ensemble se  délimite par ses définitions.



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Message par Admin Sam 19 Déc - 13:11

l'Ensemble se délimite par ses définitions. Les définitions ne sont pas limitées , l'ensemble n'est pas limité . C'est de la simple logique déductive.

Paradoxe du Barbier

« Un habitant de Séville est rasé par le barbier de Séville si et seulement s’il ne se rase pas lui-même. Alors, est-ce que le barbier de Séville se rase lui-même ? » S’il se rase lui-même, il ne peut être rasé que par le barbier de Séville, donc il ne se rase pas lui-même ; mais s’il ne se rase pas lui-même, il est rasé par le barbier de Séville, donc il se rase lui-même.

Ce trouve là un action appliquée sur deux parties d'un ensemble . celui des barbiers et des Non barbier ,  avec celui de la population qui  se rase elle même et qui ne se rasent pas elle même;  cela forme un ensemble  de parties qui  sont complémentaire deux à deux  mais aussi disjointe deux à deux  ; chaque partie et son complément forme un sous ensemble complet

l'ensemble contient deux sous ensembles  qui ne sont pas encore relié. Si, est parcouru en ses parties le sous ensemble recevant une l'application de l'autre ou ne  recevant pas cette application , le parcours des parties n'en change pas le résultat .

En est de même pour le sous ensemble Barbier  ; si est parcouru en ses parties le sous ensemble  de laquelle vient l'application à donner  à l'autre , ou ou ne la donnant pas ,  le parcours des parties n'en change pas le résultat .

le résultat par les deux parcours ne change pas  les résultat de chacun

Poser la question, c'est créer un sous ensemble ( troisième)  ayant une inclusion dans chacun des deux sous ensembles pour en établir la relation.  

Si est parcouru en ses parties  le premier sous ensemble , le parcours passe par au moins une partie de l'autre sous ensemble (second)
Si est parcouru en ses parties le second sous ensemble , le parcours passe par au moins une partie  de l'autre sous ensemble (premier)

le résultat par les deux parcours, ajoute  (2 fois ) ( 1 partie du troisièmement sous ensemble ) ;

le résultat a changé et modifié la limite de parcours chacun des sous ensembles.

La question ne devrait pas se poser .

Faire un ensemble suivant deux parties disjointes revient à établir "l’unité comparable"

Le paradoxe du barbier conduit à conclure  :

Les définitions d'un ensemble doivent inclure :  l’axiome de  la notion de Groupe Unitaire ;

 Ensemble = 1 + Groupe
Groupe = deux parties disjointes.
1 = l'ensemble de liaison entre des parties disjointes

.



Comme tout ensemble, l'ensemble de liaison : son premier élément est vide.
l'Ensemble de liaison en sa partie vide, est l'application de l'axiome de  " la latence".

l'axiome sur la Notion de Groupe Unitaire est  inductif de l'axiome relatif à " la Latence " .

La Base axiomatique de la Théorie des Ensembles peut être complétée  de deux axiomes : l'axiome Groupe Unitaire,  et l'axiome de la Latence.



Jean claude LELONG-BONNARIC copyright 19 Décembre 2015 14 h 15

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Message par Admin Lun 4 Jan - 16:59

Il est toujours aussi difficile de discuter un sujet qui n'est pas encore reconnu et accepté. Toutefois si est considéré une suite définie suivant la hiérarchie de termes  portés à une puissance donnée.
Il existe une relation directe entre le différentiel de deux termes consécutifs élevé à la dite puissance (n) et cela de par la forme d'un Polynôme de degré (n)  et  chacun des termes de la suite. S'en suit un moyen de comparaison terme à terme de la suite avec chacune des sommes du polynôme.
D'où : la variation des indices des polynômes,  l'une montante l'autre descendante peut être transformée en une suite de variables, suivant une hiérarchie, et elles même définies à la même puissance.

C'est en quelque sorte , la forme expansive d'une série dans sa transformation en ensemble fini et complémentaire  dans  le combinatoire des termes de la suite.

La réciproque est vrai.

Un polynôme de degré (n)  est assimilable à une suite de (n) variables à la puissance (n ).
Or n variables à la puissance (n)  c'est exactement considérer  la factorisation  (1+a) (1+b) (1+c)  ..................... qui constitue au final  un polynôme recomposé  de la somme des produit  des combinaisons de toutes les variables .

Admettant X égale ici 1 , admettant  Y  égal à  (a ,b,c, ...............)  le lien est établi  entre  (X +ou - Y)^n  et  la décomposition de la variable Y en une suite de variable à la puissance (n) . Dés lors X peut être assimilé au constant.

Admettant Y égale ici 1 , admettant  X  égal à  (a ,b,c, ...............)  le lien est établi  entre  (X +ou - Y)^n  et  la décomposition de la variable X en une suite de variable à la puissance (n) . Dés lors  Y peut être assimilé au constant.

Il faut visualiser dans son esprit , l'espace Puissance Factorielle de la Puissance,  pour voir que X et Y sont deux plans de constant //  correspondant aux extrêmes entre lesquels sont d'autres plans de constant.

Ainsi tout l'espace entre ces deux "constant" ,  contient toutes les combinaisons et variations possible entre les deux décompositions de variables faite de X et de Y . En fait j'ai pu établir l’ensemble de tous les cas possibles de variation , c'est à dire une autre polynômes correspondant à des groupes de variations et leur imbrication entre eux  . Dont chaque Constant  est un groupe de variables.  

Il est devenu possible, de donner à un ensemble de variables la notion de Groupe, et du même temps pouvoir considérer les  polynômes comme des puissances de parties de Groupes.

Dés lors , un Groupe de plan  //  entre deux constant (différent) reconstitue un ensemble de combinaisons de variations des parties de chacun des Groupes . Et en ce cas , une ensemble limité de cas possibles entre deux plans de constant  , soit un volume de points ayant une définition précise et exacte.




Jean claude LELONG-BONNARIC copyright 04 janvier 2016 18 h 00

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Message par Admin Jeu 25 Fév - 12:51

Ce lieu nous tient lieu de mémoire

Nous avons défini : l'équation "multi-polynomiale", la somme de deux équations polynomiales. Qu'en sorte : équation A + équation B =  équation C

 équation A + équation B - équation C  = 0

Forme multi-polynomiale de la division non euclidien (sans reste ) = 0


Jean claude LELONG-BONNARIC copyright 25 février  2016 13 h 51

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Message par Admin Lun 29 Fév - 8:40

Entre 1992 1993 nous avions défini une Nombre Universel qui est à la fois logique et analogique par suite d'un mode opératoire multiple ce qui est différent de la mathématique classique. Nous en avons le dépôt sous enveloppe scellée. Nous l'avons exploité pour vérifier la conjecture de Pierre de Fermat son utilisation confirme cette conjecture; dés cette époque.

Nous n'avons pas abandonné les travaux sur le Nombre Universel , nous avons seulement cherché une autre voie;  une voie  pouvant être plus explicative. Et bien nous en à pris puisque nous avons pu lier cela aux élément d'Euclide .

Rappelons la définition de ce Nombre Universel , c'est une Expression Paramétré du Nombre, récursive sur elle même ayant
4 paramètres et 4 facteurs :  le facteur (puissance positive ou négatives de 1)  le facteur (puissance positive ou négatives de - 1)  le facteur (rapport de base (rB)) , le facteur (rapport d'indice (R i)). Les paramètres  - (indice exposant puissance ) - (indice de la Base)  - (indice exposant dans la Base ) - (indice position dans la Base).

Les paramètres  étant des nombres il sont exprimables suivant la même expression.

Ceci mis pour rappel mémoire d'un dossier complet ; de première approche , se trouve une analogie avec le Nombre Univers défini avec les symétrie et super symétries ainsi que le récursif et super récursif. Ce qui ferait la différence est l'un utilise une Bases numérales Universelle , l'autre utilise le Combinatoire.


Si il advient de pouvoir établir  une bijection entre ces deux ensembles d'expressions différentes des Nombres, et cela ne présente aucune difficulté, il devient possible de combiner l'Expression universelle du Nombre et les Nombres Univers.



Nous devons obtenir un Nombre qui fonction de ses états Combinatoires a en rapport une expression analogique .

Cela peut être fort intéressant puisque se trouvant avec les valeurs numériques de coefficients binomiaux , ceux ci peuvent trouver  là un moyen de transformation.


Nous avons le souvenir d'avoir rencontré des termes de polynômes sans les coefficients binomiaux ,  ou contenus in-dissociés de leur variables . Peut être ce trouve t il là une résolution possible .

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Message par Admin Sam 5 Mar - 12:58

Il nous aura fallut longtemps pour trouver le lien direct de cette mathématique avec la mathématique universitaire. Nous avons acquis la certitude qu'elle est un cas particulier des Surfaces de Bernhard Riemann, si particulier qu'il produirait le fini . Nous avons lu plusieurs livres " INITIATION AUX SURFACES DE RIEMANN" de J. Sauloy ainsi que INTRODUCTION AUX SURFACES DE RIEMANN  Nicolas Bergeron et Antonin Guilloux . Aucune équivoque possible. C'est juste que le cas apparait impossible, alors que nous l'avons rendu possible par une approche totalement différente de la mathématique et que sachant à présent, où  et par où cela est rendu possible, nous nous rendons compte que nos mathématiques du niveau élémentaire sont devenues des mathématiques de très haut niveaux , par la création de Nombres Univers. De loin bien supérieur aux Nombres Complexes.

Et pour parachever le tout , nous venons de comprendre comment le terme d'un polynôme de degré (n)  peut être comparable à un intervalle, à un angle, dont la solution unique est un point sur l'arc .

Nous pourrions expliquer que actuellement les solutions sont des intervalles sur les sinus ou bien des intervalles sur les cosinus des angles . Alors que notre mathématique exprime, le point exact . La coordonnée angulaire du point sur la sphère par un Nombre Univers, ayant un multiple et ses sous multiples et sa division est non euclidienne, ayant aussi les modes opératoires de la trigonométrie .

La cause et raison essentielle, la division non euclidienne,  crée le fini .

Ce qui change toute la résolution des équations de degré (n), en effet , chaque terme sommé est un nouveau polynôme de degré inférieur au degré du terme. In fine , c'est l'équation d'une droite dans le plan.


le terme d'un polynôme de degré (n)  peut être comparable à un intervalle, à un angle, dont la solution unique est un point sur l'arc ; mais également l'équation d'une droite dans le plan.

Ce qui laisse supposer qu'un polynôme, dans le plan, devient une géometrie d’intersection de droites dans le plan de la forme  Y = a X + b , mais ici de la forme  :
 
  Y (i)   =   a (i) X  + b (i) avec  (i = au degré du polynôme ) : un forme polygonale de cotés non constant


Jean claude LELONG-BONNARIC copyright 05 Mars  2016 13 h 57

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Message par Admin Lun 7 Mar - 12:02

Le livre " INITIATION AUX SURFACES DE RIEMANN" de J. Sauloy page 38 et 39 montre des figures géométriques de surfaces de Riemann . la figure 6 (i),  nous retrouvons cette figure dans notre mathématique cela si nous commettons l'erreur de deux variations Trigonométriques qui ne soient pas dans le même sens direct trigonométrique. En effet les cercles sont l'un au dessus de l'autre et cela semble produire un croisement et une intersection. Et cela fausse tous les résultats prés du zéro. Ce n'est plus pure trigonométrie. De plus cela change la Topologie qui devient une enveloppe fermée et deux trous communicant avec l'intérieur que l"on peut admettre une entrée une sortie).



Dans notre mathématique cela n'est pas gênant, de par le troisième théorème, toutes superpositions crée un ensemble primitif complet (un vide départageant deux limites extérieures), ce dont tient compte tout calcul.

Cela correspond à la problématique que pose la conjoncture de Bernhard Riemann. En effet nous somme sur la ligne +\- 1/2 des sinus de l'angle pour laquelle le cosinus ne peut atteindre 0 du fait de la rupture et la reconnexion.  En fait notre mathématique donne : cosinus angle = 0 seulement entre   :  sinus - 1  et < - 1/2 sinus   et entre,   sinus + 1  et  > + 1/2 sinus ; en effet, pour l'angle sinus 1/2,   sinus 1/2 étant équivalent au point de centre , un point euclidien , il est vide .


La trigonométrie bidimensionnelle du plan peut être développée en trigonométrie tridimensionnelle en modifiant  les limites du cosinus de l'angle en fonction du sinus.


Jean claude LELONG-BONNARIC copyright 07 Mars  2016 13 h 00

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Message par Admin Sam 12 Mar - 15:01

En 17 feuillets nous venons de reprendre la transformation de la trigonométrie bidimensionnelle pour la développer en trigonométrie tridimensionnelle. Cela fait nous sommes repartie de la tridimensionnelle vers la bidimensionnelle, et par le jeux des symétries de positions et les symétries de bascules, nous avons retrouvé le cercle Trigonométrique avec cette différence que nous y avons amené, les puissances et les factorielles, dont nous connaissions par notre mathématique l'emplacement exact, lieu où il faut les disposer pour que dans une transformation continu elles n'en soient pas perdue.

Nous avons donc remarqué, deux continuités et deux ruptures (de 2 1/2  points  intervalles = 1  chacune) et avons remarqué, mais nous le savions déjà depuis 40 ans, (c'est une géometrie découverte lors de l’étude sur la trisection de l'angle, toutes les puissance positives ou négatives d'un même Nombre ( 1 + ou - 1/n) sont définies sur une même droite, passant par 0 et suivant un angle constant quelque soit n compris 0< n >1 . Et quelques soit la puissance positive ou négative comprise entre - infini et + infini , qu'en sorte, de par la géometrie si nous avons connaissance de l'unité, en trois droites nous connaissons (n) par inversion des diagonales du trapèze qui possède la petite base égale à son coté. La démonstration est géométrique et algébrique les cours de seconde de lycée suffisent). Cette continuité est entre  X^n  et  1 / X^n  à condition qu'il aient mêmes signes dans le cas contraire est une rupture entre les deux. Ce qui est logique puisque la droite passe par zéro et l'infini .

Nous avons déjà la confirmation de cela.

Mais, cela nous a amené bien plus loin, à la définition exacte de notre Nombre Univers, que nous pourrions également nommer le Nombre Pi . En effet, nous pouvons compter avec ce nombre, et faire les diverses opérations arithmétique ( ainsi que la division non euclidienne )  , autant sur les Nombres entiers, que les fractionnaires de Pi ; nous pouvons leur apporter une notion de binaire, et affecter à ce binaire 2^n une partie fractionnaire du Nombre Pi. (nous avons déjà exprimé cela, sous la forme d'une transformation d'une Puissance en Factorielle).

Et ce matin tenant compte de toutes ses observations nous avons tracé à la main la courbe de transformation du cercle trigonométrique  tridimensionnel d'unité de 1/2 rapport au cercle Trigonométrique  bidimensionnelle d'unité  1 et avons remarqué : la transformation implique une torsion (ce dont nous savions déjà  à la  suite d'un essai en physique suivant les tenseurs qui s'appliquent d'eux même avec une  eau savonneuse appliquée à la géometrie du double repli du plan). Mais ce dont nous ne savions pas et que nous venons d'inventer : c'est une géometrie de transformation qui de 1/2  passant à  1 par rotation rotation angulaire de o° < à < ou = un droit 90° , nous avons défini  la mesure exacte et finie de la diagonale du carré en fonction de son coté. ( Nous l'avions déjà rencontré avec la division non euclidienne sans encore avoir eu le temps de trop approfondir).

La géometrie du double repli du plan, par variation continu de la transformation du cercle 1/2 unité en cercle 1 unité, construit la diagonale du carré d'une unité de côté.  Cela  par la variation conjointe du rayon de  1/2 --> 0 et  du Rayon de 0--> 1   :  l'angle forme un triangle rectangle continu et permanent lequel , fixe, un point  par le doublement de l’hypoténuse en son prolongement de chacun des triangle rectangles. Tous les points obtenus sont sur une même droite, laquelle, est le triangle rectangle isocèle inscrit dans le demi cercle unité.

Conclusion , la diagonale du carré se construit d'une longueur finie , et sur le plan polynomial, nous pouvons déterminer sa longueur exacte comme la somme d'un polynôme, et in fine, ce produit par la torsion résultante de transformation : le twist.


Tous les éléments en notre connaissance, ( dont il existe une grande analogie avec le twist du magnétisme ) , nous porte à dire que nous pourrions avoir là une équation particulier du Twist sur un droit, En effet la géometrie du double replis du plan dispose de 4 fois des cercles de 1/2, ce qui par variation simultanée provoque  une rotation de 4 fois un droit soit 1 tour complet et de fait un mouvement en hélice de la seule augmentation d'un Nombre Pi suivant ses sous multiples.

Des lors que l’augmentation du Nombre Univers Pi, est plus +1 ses sous multiple augmentent d'autant.  In fine  C'est une onde qui se déplace d'un point de centre . Résulte : deux trous ,  les points de centre des cercles 1/2 de part et autre  (une symétrie ) et une onde circulaire .
laquelle est totalement paramétrée en chacun des points de son espace plan ( suivant des puissance de Nombres et auquel nous pouvons y joindre le factoriel,  ce qui n'est plus nécessaire avec le Cercle Trigonométrique. Mais également : un à un , tous les nombres entiers de la table des divisions non euclidiennes qui sont l'intervalle de chacun des sous multiples des Nombres Univers "Pi" ( Notre structure Tri-Orthogonale en tous ses points).



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Message par Admin Dim 13 Mar - 23:02

Tous les jours nous découvrons des propriétés nouvelles aux Nombre Univers ( Pi) dont nous avons faite l’invention. Aujourd'hui, ce soir même, nous venons d'observer que le nombre univers  (Pi) contient le cyclique pour sa base numérale,  mais également pour la base 10. Qu'en sorte nous retrouvons tous les éléments de la table abaque Nombre / (cyclique des nombres) que nous avons crée pour extraire les Nombres Premiers de la Base 10 . Nous allons pouvoir, trouver un moyen arithmétique, puisque nous possédons à présent, plusieurs moyens de variations dans deux bases différentes la Base 10 et la Base Nombre Univers (Pi). Et cela est d'autant plus intéressant que nous disposons d'un plan sur le discret et d'un plan sur le continu . Chaque Nombre Premier ne pouvant être alors que l'invariant entre  le continu et le discret soit à l'intersection.

Ce qui est encore plus surprenant, nous avions trouvé la nécessité d'un multiplicateur de position lorsque nous utilisions le Nombres décimaux , et ce multiplicateur correspondrait aux sous multiples d'un Nombre Universel Pi ; qu'en sorte en combinant : Nombres Univers Pi et Nombres Décimaux, nous disposons à la fois d'indices référentiels  et de valeur en nombre décimaux sur lesquels nous pouvons en combiner les calculs suivant tous les mode opératoires .

Nous pourrions voir cela non plus comme des opérations dans un plan, mais des opérations dans un espace tridimensionnel. 






Jean claude LELONG-BONNARIC ©  copyright 14 Mars 2016 00 h 00

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Message par Admin Mar 15 Mar - 18:25

Nous venons de faire un observation à la suite de la géometrie du double replis du plan.  Elle vaut ce qu'elle vaut !!!!
Mais elle correspond à des constructions.

Si nous sommes dans ou sur le plan  (c'est à dire un point de ce plan, nous avons un endroit et un envers ( double) et un sens directionnel qui peut s'inverser (double ).

Si Nous somme extérieur à cette géometrie et que nous l'observions . Nous ne pourrions rien observer tous les points ( et cela en tout lieu ) sont nuls ou plus tôt s'annulent de par eux même.

Conclusion : il ne peut y avoir de relativité générale par rapport à un point extérieur à la géometrie du double repli du plan. il ne peut y avoir qu' une relativité rapport à une origine générale ou rapport à un point situé dans de cette géometrie .


C'est normal , la partie extérieure est soit infini soit zéro soit vide.




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Message par Admin Mer 10 Aoû - 15:50

Nous augmentons la réflexion que nous avons poursuivi sur le sujet . Ayant pour cela découvert que nous pouvions sans erreur , pour chaque puissance, combler la variation de X ^n à X^ (n- 1 ou +1)  par un polynôme d'un même nombre de terme que les polynômes de transformation  X ^n  --> factorielle n  ou  (X-1 ou +1) ^ (n) , --> factorielle n.

Ainsi, nous avons découvert comme refermer la surface de cet espace plan . Soit : le prolongement des polynômes ;  deux concernant la variation de transformation entre  puissance de X^n  vers --->  n!   soit encore  la variation de transformation entre  puissance  ( X-1 ou +1)  ^n  vers ---> n! , et  aux quelles s'ajoute à présent : la variation de transformation entre X^n  vers ---> ( X-1 ou +1)  ^n.

Trois polynômes de transformation referment la surface de variation pour toutes variations de X à une puissance donnée . Cela est intangible quelque soit le sens de variation quelque soit le signe de la puissance . La démonstration ce fait par la matrice de transformation ; le polynôme,  se définit  par les termes  de  (X + Y)^n ,  éliminé de ses coefficient binomiaux. En  effet  Y étant pris pour  (X -1 ou +1).   Nous devons considérer que X et X-1 ou +1 étant parallèles ( puisque termes  d'une suite),  c'est en les transposant sur un axe quadrant entre eux  qu'ils peuvent être analysés.

Nous pouvons par ailleurs définir la courbe de jonction la courbe diagonale, comme étant la diagonale d'une somme à la puissance n. Le nombre de terme est identique , seule la valeur du terme diffère ; or , ce que nous savons pour un terme donné  : celui ci est divisible entier ,  soit par X soit par Y , jamais les deux ;   Y est =/= X, ce qui est le cas, le cas X = Y est  évidemment impossible puisque nous sommes sur la différence d'une variation.

Le terme du polynôme diagonal , est le résultat  du produit des coordonnes Y X , dont l'unité est le multiplicateur ,  et donc résulte que chaque terme est la différence . Le multiplicateur reste constant ( unité ) , c'est l'incrémentation de la puissance qui varie .

Ce que l'on peut constater, dans le factoriel , c'est l’incrémentation de l’unité qui est le multiplicateur qui varie.

La variation de la puissance  peut être vu comme un factoriel  sur l'indice de puissance .

Or , c'est bien ce dont il s’agit, le factoriel et la puissance sont dans la même continuité , pour cause,  c'est la même fonction transformable .

Étant donné que Y correspond à ( X-1 ou +1)  le produit X Y  correspond à X² + ou - X   pour chaque terme du diagonal . Qu'en sorte et bien que le terme soit un produit des  puissances  X et Y , cela revient à avoir   (X indice n) ² + X indice n  =   (X indice n +Y indice n ) ^n et de fait  :

(X indice n) ² + X indice n - ( (X indice n +Y indice n ) ^n ) = 0  c'est une équation du second degré malgré  ( (X indice n +Y indice n ) ^n )  qui est l’équivalent au Produit de ses Racines , ce qui est bien le cas présenté ci dessus .

Dans l'équation    x² -Sx  + P = 0 ,  P peut être aussi un polynôme de degré (n) sans changer le degré de l’équation. Nous enfonçons une porte ouverte. Peut être pas ouverte : nous montrons qu'un polynôme de quelque degré qu'il soit , chacun de ses termes est décomposable en une autre polynôme.

En résumé, la plus petite partie de cet Espace trois modes différents de variation, est le point : intersection de trois plans

Mais nous avons trouvé  la plus petite partie volumique, ce qui n'est plus le point, mais un volume de variation, lequel est un sous - Espace suivant le même modèle. Et avons fait une découverte majeure:  " ces volumes sont des surfaces empilées , accolées entre elles , par des génératrices apparente sur un cône, et communes sur leur contour. Celles ci sont  rectilignes ou courbes ou spiralées ".




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Message par Admin Mer 10 Aoû - 17:05

Ce courrier est envoyé par la relation d'un ami ; il y a déjà fort longtemps
----------------------------------------------
Mon ami,
J’ai pris connaissance des deux fascicules que tu m’as envoyé, ceux-ci ayant pour but une
recherche sur des mathématiques débouchant sur des théories probatoires pouvant entraîner
une ou plusieurs modifications dans la manière de résonner et résoudre certains problèmes et
particulièrement ceux dont s’occupe l’auteur.
J’ai donc à ta demande étudié de façon très sérieuse les documents en question.
Les connaissances en matière de mathématique de ton ami sont absolument indéniables.
Cela prouve de sa part, une étude et une recherche longue et extrêmement délicate.
Toutes les théories et théorèmes dont il se sert pour effectuer ses recherches figurent sur des
études dites de troisième cycle (préparation à des thèses).
On peut penser, en regard de certaines formules énoncées, que les recherches porteraient
sur une possible analyse différente que celles utilisées normalement pour des calculs
concernant la géométrie plane.
Ma culture est celle d’un technicien et mon rapport avec les mathématiques sont très différentes
des siennes.
En effet je me sert de celles - ci que comme des instruments qui me servent à résoudre des
problèmes strictement mécaniques.
A savoir les calculs portant sur la construction aéronautique.
En fait j’évolue dans un domaine totalement technique.
Sa démarche est incontestablement celle d’un chercheur et la manière dont il s’exprime
reflète à coup sur, une approche très philosophique du traitement des mathématiques.
Je ne me permettrais donc pas de formuler une analyse sur un sujet que je ne maîtrise
absolument pas.
Bien que particulièrement intéressant ; je ne suis pas en mesure de porter un jugement sur ce
travail de titan ; n’ayant pas les capacités et les connaissances nécessaires.
Très amicalement .
Henri.

---------------------------
Depuis nous avons  mis des photos et des explications sur notre page Facebook. simplement pour montrer que c'est une réalité faite et non pas une théorie imaginaire.
Nous avançons prudemment, pour ne point passer à coté de choses , qui sont des découvertes pures.

Avoir pu extraire du modèle lui même, sa plus petite partie, en ayant exactement les mêmes caractéristiques, ouvre la théorie sur la résolution  de variations sur trois axes , n’étant plus sur des Surface, comme les Surfaces  Intégrales de Bernard Riemann , et tous les autres Mathématiciens mais sur des Volumes  Des Intégrales d'Intégrales  soit des chemins de surfaces closes .

Sachant à présent que chacune des surfaces sont constituées de trois courbes en prolongement l'une de l'autre et clos .

Nous nommons ces intégrales, les Intégrales de chemins.

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Message par Admin Jeu 11 Aoû - 9:31

Nous poursuivons cette réflexion par un état des lieux de cette connaissance
- Nous avons défini , un  Espace en trois dimensions , constitué de la double qualité mathématique :  à la fois géométrique et analytique.
-Nous l'avons conçu suivant trois modes différents de variation ; un mode de variation suivant chacun des axes apportant à ceux ci : son unité spécifique. A savoir : l’incrémentation simple et  l'incrémentation  multiplicative. cette dernière ayant deux effets possibles en rapport de l'action de l’incrément . L'incrément agit interne au facteur multiplicatif , la multiplicité produira un accroissement multiplicatif " le factoriel ". L'incrément agit externe  au facteur multiplicatif ,la multiplicité produira un accroissement multiplicatif  " l'exponentiel  ". En résumé , nos trois mode différent de variations seront ;  l'accroissement linéaire , l'accroissement exponentiel , l’accroissement factoriel , cela pour chacun des trois axes .

Le terme variation , impliquant : un accroissement, un décroisement , ainsi que  : un origine et une fin c'est à dire deux limites, cela afin que soit définissable la Géométrie et l'Analyse mathématique de la variation.

Nous pourrions nous arrêter dans cette description et dire en cet instant de notre explication  : ci dessus est toute la base la plus stricte de cette mathématique dont découle une autre forme de la mathématique, par l'observation et le raisonnement.

Nous avons peu dit et,  pourtant nous avons tout dit .

En effet, notre Espace se modélise de lui même à condition de connaitre les modes opératoires pouvant affecter les variations. Celles ci sont géométriques mais également pour pouvoir être analytiques, sont définies suivant une valeur rapport à une unité.

Et dans cet Espace nous avons trois modes d’unité , rapport à :  l'incrément correspondant à chacun des axes .

Si notre Espace est parfaitement Géométrique  , il ne peut être parfaitement Analytique que si chacune des unités ou des dimensions réelles à chacun des axes sont interprétable ou définissable suivant l'unité des deux autres.

Nous dirons alors : c'est dans la transformation de la dimension d'une variation devant être interprétable suivant l’unité de chacun des autres axes que réside toute cette nouvelle mathématique. Et uniquement en cela.

Jusque ici nous somme en parfait accord avec la mathématique  du  premier,  second  et , troisième cycles des Universités. c'est " la transformation de la dimension d'une variation devant être interprétable suivant l’unité de chacun des autres axes " qui n'est pas étudiée avec suffisamment de rigueur.

En effet , cette absence de rigueur est la cause essentielle à l'incertitude des calculs avec toute son incidence sur les Sciences dont la Physique. Nous avons employée ici le terme au sens de recherche close par acceptation d'un résultat donnant une satisfaction suffisante aux problèmes soulevés dans l'étude des Sciences. Leur évolution ayant conduit vers ce qui semblerait être les limites explicatives alors que le raisonnement laisse supposer et même entrevoir un surpassement au delà duquel la mathématique utilisée interdit ou fait un blocage.

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Message par Admin Ven 12 Aoû - 21:17

Dans la poursuite de de l'analyse sur notre réflexion,  nous pensons que nous pourrions blesser le Mathématicien avec l'emploie du terme Mathématique différente, qui présuppose des outils similaires utilisés différemment. Ce qui bien sur ne saurait être le cas, car cela ne pourrait être : que source d’ambiguïté. Ambiguïté de langage pour commencer et ambiguïté d'utilisation et ainsi apparaitre source d’incompréhension. Henri, l'auteur du courrier précédemment cité,  trouve les mots justes en son argument : " Sa démarche est incontestablement celle d’un chercheur et la manière dont il s’exprime reflète à coup sur, une approche très philosophique du traitement des mathématiques." , aussi ferons nous notre l’argument, ceci pour définir d'un autre qualificatif cette mathématique.

Un autre argument serait  en faveur de notre de la nouvelle dénomination  " Mathématique Expérimentale ".  Cet argument est également le reflet pour ainsi dire exact , d'une recherche Philosophique, rapport au fait que  à aucun moment  nous n'avons voulu construire un ou plusieurs outils spécifiques à la résolution de problème autre que ceux de la mathématique pure. En effet , en tout instant nous avons disserté autour d'un sujet ouvert , et c'est seulement après que nous avons observé  que cela semblerait avoir une utilité  pour des calculs dans le domaine des Sciences. Avant de nous engager dans cette dernier phase d'analyse, nous tenions à cerner l'ensemble de nos recherches par tous les recoupements qu'il nous semblaient possibles afin de limiter les parties dans l'ombres.

Dés lors que nous reprenons l'Espace trois modes différents de variations pour en donner une explication simple de sa conception géométrique suivant une analyse des éléments introduits dans le modèle il nous sera possible de justifier les parties que l'on peut admettre comme outils de résolution pour un système . Et éventuellement pouvoir en faire une comparatif avec un outil déjà existant dans au moins une ou plusieurs des propriétés.

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Message par Admin Sam 20 Aoû - 9:52

Cette Mathématique Expérimentale n'aurait d'attribution le qualificatif  " d’expérimental "  que par le nom si elle ne devait avoir :  qu'une notion d'Espace , pour différence. Il s'avère que par construction puis analyse nous avons découvert la formation d'un Nombre présentant de nombreuses caractéristiques de par la définition actuelle des Nombres avec toutefois une différence majeure pour les sous multiples . Nous le verrons par la suite , l'Espace trois modèles différents de variation se combine avec une forme particulière des Nombres : les sous multiples de ces Nombres ont une limite. En effet , si nous définissons un objet mathématique applicable à lui même , pour lesquels sa subdivision est essentielle à une fonction calcul , cette subdivision ne peut être comprise que dans la limite de l’intervalle de sa construction.

Nous avons : un Espace trois modèles de variation  concrétisant , la Géométrie.
Nous avons : un  Nombre nouveau auto-limité en ses sous multiples , concrétisant le moyen Analytique de cet Espace.

Le caractère expérimental de ces mathématiques serait incomplet si l'Espace trois Modèles différents de Variations , ne pouvait avoir de lien avec un Espace Géométrique ayant fait l'objet d'une étude incontestable ou du moins relié à la Base de la Mathématique : les Eléments d'Euclide .

Nous avons , analysé  les postulats d'Euclide et dans les termes y avons observé , l'absence totale d'incompatibilité , ou si nous devons l’écrire autrement , l'Espace trois Modèles différent  de Variations est totalement compatible sans exception avec la Géométrie et les Postulats définis par Euclide ;  cela en tous ses Éléments.

Dés lors en ces précédents articles et notre dernier paragraphe , nous apportons le moyen de qualifier cette Mathématique d'Expérimentale .  En effet : nous disposons  d'un Espace construit ; nous avons : le Nombre Nouveau qui en fait la construction ; nous disposons  d'un moyen d'Analyse reliant le Nombre Nouveau  à la Géométrie de l'Espace ; et avec  la base universelle de la Géométrie " les Eléments d'Euclide " , nous disposons :  du moyen de liaison de cette Mathématique Expérimentale  avec la Mathématique du premier, du deuxième et du troisième des cycles Universitaires .


- Ceci correspond à une première partie consistant à la création complète,  d'un Espace Contrôlé  et de son Environnement Analytique .
- La deuxième partie doit consister à en définir son utilité pratique pour les Sciences.



Il faut voir ce Nombre qualifié de nouveau , comme une progression suivant laquelle le sous multiple d'un entier,  ne peut être exprimé par un nombre supérieur à l' Entier;   par exemple  :   2,3  ;  3 étant > 2 , ce nombre n'est pas dans la norme de cette Mathématique Expérimentale ; la partie sous multiple est  > à la subdivision  ; autre exemple :   235 , 230   la partie sous multiple est  < à la subdivision ce nombre est normalisé.


En terme Mathématique nous dirions que le nombre normalisé suivant cette Mathématique Expérimentale est fini en ses subdivisions. 

Nous avons de ce fait défini un modèle de calcul avec un nouvel opérateur :  " La division non euclidienne " . Sachant que tous les autres modes de calculs sont utilisables sans réserves. 


Jean claude LELONG-BONNARIC ©  copyright 20 Août  2016 11 h 52

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