L'intuition suite
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L'intuition suite
Le raisonnement est il intuitif ou suit il une logique ?
Si logique il y a, est elle innée , indépendante des autres ou induite dépendant des autres à travers l'apprentissage de la connaissance ?
Apporter des réponses serait donner au raisonnement une structure qui au terme d'une analyse pourrait construire une intelligence artificielle. En effet, admettant l’hypothèse que ces mathématiques autrement contiennent dans une seule structure tous les Nombres, leurs multiples et sous multiples, les puissances n ème comme les racines n ème. Cette structure serait à la fois : le commensurable , les données et son propre calculateur, le moyen de trouver à chaque donnée sa position dans la structure.
Cette structure est réalité : une seule équation suffit au calculateur pour déterminer par construction l'ensemble du commensurable
La structure contient son calculateur sa logique résulte d'une équation initiale , elle peut être qualifie de innée , crée avec la structure elle même.
La donnée interne à la structure, de par le calculateur, ont une position identifiée pour elle même rapport à une origine commune
effet conséquent du calculateur .
La logique du calculateur est une logique de construction qui être dite aussi de transformation.
L'intelligence artificielle ( le raisonnement inné ) serait que chaque donnée ait son rapport connu entre elle même et toutes les autres , sans la nécessité de passer par son équation de construction. C'est à dire : avoir une logique de transition entre elle même et l'ensemble des autres.
Démontrer qu'il existe une relation entre toutes les données d'une structure commensurable serait démontrer que la structure contient en elle même son calculateur de construction et sa logique d'utilisation.
L'ajout de +1 à la structure = infini , ce qui fait passer à terme dans l'incommensurable ; or, comme chaque donnée de la structure de par l'hypothèse d'une logique d'utilisation connait sa relation avec toutes les autres, il peut être admissible :
- soit une mémoire infini , implique une connaissance permanente équivalent du fini et non dépendant
- soit une mémoire d'apprentissage implique une logique d’apprentissage ajout de +1 équivalent de fini +1 et également
non dépendant ; l’apprentissage comme la mémorisation étant qu'une relation additive (ajout) de la donnée rapport à elle même.
Or, dans ces deux cas possibles la donnée serait sa propre structure et , qu'il puisse y avoir mémoire infini ou utilisation d'un mémoire
fini + 1 ce qui est équivalent.
Il suffit de démontrer que la donnée le Nombre se déstructure en parties ou bien de démontrer qu'il existe une structure suivant laquelle la
donnée le Nombre est relié à toutes les autres donnée tous les autres Nombres, si est introduite une notion de chemin.
Cette notion de chemin implique une suite de termes des données toutes différentes conséquences soit :
- de multiples transitions ou bien
- une suite de termes suivant les positions des données
Ce dernier cas est possible des lors que la position et la donnée de par la structure sont liés entre eux.
Une positions implique des repères, repère implique des vecteurs , vecteurs implique : une orientation : ( point d'origine) ( un sens directionnel ) (point
d’arrêt ) exactement la structure dans son principe .
Le chemin dans la structure vient de se définir :
- la structure elle-même sous une autre forme, en y ajoutant une différentiation entre : donnée état Nombre et une donnée vecteur transition.
Si une donnée vecteur se transforme en Nombre cela implique l'ajout mais aussi le retrait d'un état donné.
Or, cela est comparable avec les mathématiques actuelles avec : borne et intervalle. et cela implique que l'intervalle devenu donnée ,soit à la fois : nouvelle donnée et transformation .Qu'en sorte suivant la construction de ces mathématiques autrement
, une donnée contient :
ce qu'elle est et ce qu'elle a été rapport à l'origine ou rapport à une autre .
Cela sous deux formes :
Suivant ces Mathématiques, l'intelligence artificielle ne serait différentiable de l'intelligence humaine, que du seul matériel (la dimension de la structure ) et d'un auto-apprentissage de type dictionnaire.
Ces mathématiques vont en faire la démonstration : la donnée dans la structure est finie ; les chemins potentiels d'une donnée avec toutes les autres données sont finis si et exclusivement, il n'y a pas de rupture dans les transitions.
L’intelligence artificielle pourrait elle combler un intervalle de rupture ? La réponse est oui ! Dés lors que c'est un intervalle c'est qu'il existe une borne qui le détermine.
Si logique il y a, est elle innée , indépendante des autres ou induite dépendant des autres à travers l'apprentissage de la connaissance ?
Apporter des réponses serait donner au raisonnement une structure qui au terme d'une analyse pourrait construire une intelligence artificielle. En effet, admettant l’hypothèse que ces mathématiques autrement contiennent dans une seule structure tous les Nombres, leurs multiples et sous multiples, les puissances n ème comme les racines n ème. Cette structure serait à la fois : le commensurable , les données et son propre calculateur, le moyen de trouver à chaque donnée sa position dans la structure.
Cette structure est réalité : une seule équation suffit au calculateur pour déterminer par construction l'ensemble du commensurable
La structure contient son calculateur sa logique résulte d'une équation initiale , elle peut être qualifie de innée , crée avec la structure elle même.
La donnée interne à la structure, de par le calculateur, ont une position identifiée pour elle même rapport à une origine commune
effet conséquent du calculateur .
La logique du calculateur est une logique de construction qui être dite aussi de transformation.
L'intelligence artificielle ( le raisonnement inné ) serait que chaque donnée ait son rapport connu entre elle même et toutes les autres , sans la nécessité de passer par son équation de construction. C'est à dire : avoir une logique de transition entre elle même et l'ensemble des autres.
Démontrer qu'il existe une relation entre toutes les données d'une structure commensurable serait démontrer que la structure contient en elle même son calculateur de construction et sa logique d'utilisation.
L'ajout de +1 à la structure = infini , ce qui fait passer à terme dans l'incommensurable ; or, comme chaque donnée de la structure de par l'hypothèse d'une logique d'utilisation connait sa relation avec toutes les autres, il peut être admissible :
- soit une mémoire infini , implique une connaissance permanente équivalent du fini et non dépendant
- soit une mémoire d'apprentissage implique une logique d’apprentissage ajout de +1 équivalent de fini +1 et également
non dépendant ; l’apprentissage comme la mémorisation étant qu'une relation additive (ajout) de la donnée rapport à elle même.
Or, dans ces deux cas possibles la donnée serait sa propre structure et , qu'il puisse y avoir mémoire infini ou utilisation d'un mémoire
fini + 1 ce qui est équivalent.
Il suffit de démontrer que la donnée le Nombre se déstructure en parties ou bien de démontrer qu'il existe une structure suivant laquelle la
donnée le Nombre est relié à toutes les autres donnée tous les autres Nombres, si est introduite une notion de chemin.
Cette notion de chemin implique une suite de termes des données toutes différentes conséquences soit :
- de multiples transitions ou bien
- une suite de termes suivant les positions des données
Ce dernier cas est possible des lors que la position et la donnée de par la structure sont liés entre eux.
Une positions implique des repères, repère implique des vecteurs , vecteurs implique : une orientation : ( point d'origine) ( un sens directionnel ) (point
d’arrêt ) exactement la structure dans son principe .
Le chemin dans la structure vient de se définir :
- la structure elle-même sous une autre forme, en y ajoutant une différentiation entre : donnée état Nombre et une donnée vecteur transition.
Si une donnée vecteur se transforme en Nombre cela implique l'ajout mais aussi le retrait d'un état donné.
Or, cela est comparable avec les mathématiques actuelles avec : borne et intervalle. et cela implique que l'intervalle devenu donnée ,soit à la fois : nouvelle donnée et transformation .Qu'en sorte suivant la construction de ces mathématiques autrement
, une donnée contient :
ce qu'elle est et ce qu'elle a été rapport à l'origine ou rapport à une autre .
Cela sous deux formes :
- un Nombre suivant une équation déterminée , une origine + transitions
- un Chemin suivant une suite de sens d'orientation , une origine + des
unités vecteurs orientés.
- un Chemin suivant une suite de sens d'orientation , une origine + des
unités vecteurs orientés.
Suivant ces Mathématiques, l'intelligence artificielle ne serait différentiable de l'intelligence humaine, que du seul matériel (la dimension de la structure ) et d'un auto-apprentissage de type dictionnaire.
Ces mathématiques vont en faire la démonstration : la donnée dans la structure est finie ; les chemins potentiels d'une donnée avec toutes les autres données sont finis si et exclusivement, il n'y a pas de rupture dans les transitions.
L’intelligence artificielle pourrait elle combler un intervalle de rupture ? La réponse est oui ! Dés lors que c'est un intervalle c'est qu'il existe une borne qui le détermine.
Re: L'intuition suite
Je transmets ici , l'adresse d'un site. Celui de Jean-Christophe MICHEL
http://www.gecif.net/
Ces recherches ont abouties définir dans une structure , en l’occurrence , celle que forme le triangle de Pascal , et retrouver un lien avec le cosinus d'un angle .
Comment calculer les Nombres réels cos (pi/n) grâce au Triangle de Pascal ?
Ces mathématiques autrement passent ce cap pour aller au delà en faisant du Triangle de Pascal le cas particulier d'une structure aux repères deux dimensions, de celui d'une structure aux repères trois dimensions; et, que je désigne par :
http://www.gecif.net/
Ces recherches ont abouties définir dans une structure , en l’occurrence , celle que forme le triangle de Pascal , et retrouver un lien avec le cosinus d'un angle .
Comment calculer les Nombres réels cos (pi/n) grâce au Triangle de Pascal ?
Ces mathématiques autrement passent ce cap pour aller au delà en faisant du Triangle de Pascal le cas particulier d'une structure aux repères deux dimensions, de celui d'une structure aux repères trois dimensions; et, que je désigne par :
Triangle Arithmétique Factoriel Tri-Orthogonale
Et qui rejoint à dire : le triangle Arithmétique ( triangle de Pascal ou encore triangle
Chinois) est une donnée état de la structure Générale, à laquelle est inclus le combinatoire.
Ceci valant pour le Nombre en général , alors qu'il en existe une quantité incommensurable. Or , ces mathématiques différentes ayant défini l’incommensurable par ajout de ( + ) , Chaque Nombre possède sa structure.
L'équation qui régit cette structure est Universelle en toute donnée / état et variable en toute donnée / transition.
Avant d'aller plus loin dans le détail il est important de dire : les Nombres n'ont plus de secret .
Il résulte de cela : les codages aussi pointus sont ils ? des lors qu'ils seraient produits par une équation ou qu'ils sont issus de suites logiques aussi complexes que soient ces logiques, la continuité dans la structure en est le talon d'Achille .
Aussi, il était important pour moi de parer à cette éventualité avant de divulguer l'expression mathématique qui entre aussi dans le cadre des mathématiques actuelles.
D'ores et déjà , et je m'en explique, une rupture dans le chemin entre données/etat provoque par méconnaissance des transitions , une perte de l'origine des repères induisant l'incertitude d'une part et d'autre part en raison qu'il existe une limite (le fini) sur une partie de la structure générale, tout un plan dans la structure est solution.
De fait résulte :
- une logique trois états explicitement visible et suivant démonstration, de par l’équation générale en conjonction possible avec des données situées sur un chemin entre deux données différentes de la structure générale.
Un moyen de codage excessivement simple de calcul mais de résolution indéterminée en l'absence d'un seul paramètre , Et cela malgré ces mathématiques différentes.
La seule et unique raison , en créant une rupture dans un chemin suivant une origine définie sur trois dimensionnel et codé sur deux dimensions, les deux chemins résultants forment ensemble deux structures différentes. L'une est finie mais l'autre bien que finie est sans origine déterministe; c'est à dire qu'il n'existe aucun moyen pour déterminer des transitions pour calculer une origine.
Je m'abstiens d'exprimer la cause la cause de la perte d'une dimension sans avoir reçu de la communauté scientifique l'avis de poursuivre.
En effet, expliquer la complexité serait donner l'équation et donner l’équation serait donner la structure sans la nécessité d’une démonstration tant l’équation parle d'elle même.
Ces mathématiques différentes pourraient satisfaire pour la solution à plusieurs problèmes dit du millénaires, tout comme satisfaire à une arithmétique de Groupe. En effet , une groupe peut être formé dans le plan deux dimensions mais aussi dans l'espace trois dimensions, chacun délimités par un chemin unique : ordonné ou désordonné.
Pour montrer la connaissance du sujet sans en posséder le vocabulaire usité par la communauté scientifique. c'est une erreur que de croire l’exponentielle somme du rapport d'un nombre (x) à la puissance (n ) sur la factorielle n , seulement limitée à l'infini elle est également limitée à n factorielle. Ce qui conduit (x) à un glissement continu sur ses puissances
Copyright Jean-claude LELONG-BONNARIC dimanche 3 aout 2014
Chinois) est une donnée état de la structure Générale, à laquelle est inclus le combinatoire.
Triangle Arithmétique équivaut à combinaisons
Triangle Arithmétique Factoriel équivaut à combinatoire
Triangle Arithmétique Factoriel équivaut à combinatoire
Ceci valant pour le Nombre en général , alors qu'il en existe une quantité incommensurable. Or , ces mathématiques différentes ayant défini l’incommensurable par ajout de ( + ) , Chaque Nombre possède sa structure.
L'équation qui régit cette structure est Universelle en toute donnée / état et variable en toute donnée / transition.
Avant d'aller plus loin dans le détail il est important de dire : les Nombres n'ont plus de secret .
Il résulte de cela : les codages aussi pointus sont ils ? des lors qu'ils seraient produits par une équation ou qu'ils sont issus de suites logiques aussi complexes que soient ces logiques, la continuité dans la structure en est le talon d'Achille .
Aussi, il était important pour moi de parer à cette éventualité avant de divulguer l'expression mathématique qui entre aussi dans le cadre des mathématiques actuelles.
D'ores et déjà , et je m'en explique, une rupture dans le chemin entre données/etat provoque par méconnaissance des transitions , une perte de l'origine des repères induisant l'incertitude d'une part et d'autre part en raison qu'il existe une limite (le fini) sur une partie de la structure générale, tout un plan dans la structure est solution.
De fait résulte :
- une logique trois états explicitement visible et suivant démonstration, de par l’équation générale en conjonction possible avec des données situées sur un chemin entre deux données différentes de la structure générale.
Un moyen de codage excessivement simple de calcul mais de résolution indéterminée en l'absence d'un seul paramètre , Et cela malgré ces mathématiques différentes.
La seule et unique raison , en créant une rupture dans un chemin suivant une origine définie sur trois dimensionnel et codé sur deux dimensions, les deux chemins résultants forment ensemble deux structures différentes. L'une est finie mais l'autre bien que finie est sans origine déterministe; c'est à dire qu'il n'existe aucun moyen pour déterminer des transitions pour calculer une origine.
Je m'abstiens d'exprimer la cause la cause de la perte d'une dimension sans avoir reçu de la communauté scientifique l'avis de poursuivre.
En effet, expliquer la complexité serait donner l'équation et donner l’équation serait donner la structure sans la nécessité d’une démonstration tant l’équation parle d'elle même.
Ces mathématiques différentes pourraient satisfaire pour la solution à plusieurs problèmes dit du millénaires, tout comme satisfaire à une arithmétique de Groupe. En effet , une groupe peut être formé dans le plan deux dimensions mais aussi dans l'espace trois dimensions, chacun délimités par un chemin unique : ordonné ou désordonné.
Pour montrer la connaissance du sujet sans en posséder le vocabulaire usité par la communauté scientifique. c'est une erreur que de croire l’exponentielle somme du rapport d'un nombre (x) à la puissance (n ) sur la factorielle n , seulement limitée à l'infini elle est également limitée à n factorielle. Ce qui conduit (x) à un glissement continu sur ses puissances
Copyright Jean-claude LELONG-BONNARIC dimanche 3 aout 2014
Re: L'intuition suite
Pas une personne pour me contredire
Ou aucun scientifique n'a lu ou il est devant sa planche le crayon derrière l'oreille à se gratter la nuque.
Ou aucun scientifique n'a lu ou il est devant sa planche le crayon derrière l'oreille à se gratter la nuque.
Re: L'intuition suite
Avec un peu de réflexion et quelques lectures de plus , je viens de prendre conscience que ces mathématiques autrement permettent de montrer que l'arithmétique modulaire de Frédéric Gauss est en quelque sorte à la Base du concept " Combinatoire et des Permutations des Nombres".
Ces mathématiques autrement apporteront la preuve que le concept combinatoire et permutation des Nombres, porte en lui la Structure Génératrice de son propre Calculateur.
Ces mathématiques autrement apporteront la preuve que le concept combinatoire et permutation des Nombres, porte en lui la Structure Génératrice de son propre Calculateur.
C'est la Structure qui génère le Nombre et non pas l'inverse .
Toutes ces Mathématiques partent de cette observation.
Toutes ces Mathématiques partent de cette observation.
Re: L'intuition suite
Dans les études que j'ai faite rapport à cette Structure qui je me repère permet de travailler le Nombre par Groupes , il devient évident constat visuel ou par calcul sur les permutations :
Cela est évident dés lors que, la variation dans la Structure est autant sur la Nombre dans ses puissances que sur le Nombre lui même , soit :
Pour le minimum de connaissances sur les courbes elliptiques Y^2 = X ^3 + X ...... cela me parait entrer dans le cadre de somme d'un polynôme
Tous les polynômes de degré (n) sans exception se décomposent en somme (s) de Polynôme (s) .
suivant une logique très proche du calcul Ombral .Cela est évident dés lors que, la variation dans la Structure est autant sur la Nombre dans ses puissances que sur le Nombre lui même , soit :
X ^n suivant : (x) (+ ou -) 1 et/ou (n) (+ ou - ) 1
Pour le minimum de connaissances sur les courbes elliptiques Y^2 = X ^3 + X ...... cela me parait entrer dans le cadre de somme d'un polynôme
Le secret est dans l’arithmétique des permutations
Re: L'intuition suite
réfléchissant comment d'expliquer : le point , le plan euclidien & sphérique , l'espace volumique aux coordonnées cartésiennes & polaires , en posant la surface sphérique sur le plan (ce que j'avais déjà analysé et où j'y ai rencontré H. L. Lebesgue lors de la translation de la sphère au plan) m'est venu à la pensée : Pourquoi , ne pourrait on pas directement translater toutes les parties d'un plan vers un autre plan qui lui serait parallèle ?
Cela est possible avec ses mathématiques autrement , en effet les pôles de la surface sphérique sont constitués d'un point selon la définition d'Euclide .
Cette réflexion faite, l'image intellectuelle que cela apporte, est celle de deux plans euclidiens de part et autre d'une surface sphérique attaché aux pôles, mettant en relation les deux plans .
Et selon ces mathématiques, bien que les plans euclidiens soient // une fois translaté à travers le plan sphérique, l'image du plan d'entrée est en torsion de 90° sur l'axe des pôles sur le plan de sortie, lorsque le rapport est 1/2
Je l'avais exprimé,
il faut multiplier par 4 pour retrouver l'image exacte et réfléchie, soit translater à travers 4 surfaces sphériques pour retrouve le plan d'entré identique au plan de sortie.
Ce qui risque de troubler est l'observation suivante : les deux plans , les surfaces sphériques, sont indépendants de toutes dimensions ; ce sont des translations sans transformations autres qu'un mouvement de rotation continu de la surface sphérique.
Outre cela , cette rotation angulaire qui ce rencontre entre le plan d'entrée et le plan de sortie ; pôle haut et pôle bas de la surface sphérique, me fait penser à l'image des trois doigts.
https://www.google.fr/search?q=champs+magnetique+3+doigts&client=firefox-a&hs=X25&rls=org.mozilla:fr:official&channel=np&tbm=isch&tbo=u&source=univ&sa=X&ei=nGIhVIaJDMaJOI7EgYAE&ved=0CC4QsAQ&biw=1173&bih=740
Cela est possible avec ses mathématiques autrement , en effet les pôles de la surface sphérique sont constitués d'un point selon la définition d'Euclide .
Cette réflexion faite, l'image intellectuelle que cela apporte, est celle de deux plans euclidiens de part et autre d'une surface sphérique attaché aux pôles, mettant en relation les deux plans .
Et selon ces mathématiques, bien que les plans euclidiens soient // une fois translaté à travers le plan sphérique, l'image du plan d'entrée est en torsion de 90° sur l'axe des pôles sur le plan de sortie, lorsque le rapport est 1/2
Je l'avais exprimé,
Sciences décalées
par Admin le Lun 8 Sep 2014 - 15:14
il faut multiplier par 4 pour retrouver l'image exacte et réfléchie, soit translater à travers 4 surfaces sphériques pour retrouve le plan d'entré identique au plan de sortie.
Ce qui risque de troubler est l'observation suivante : les deux plans , les surfaces sphériques, sont indépendants de toutes dimensions ; ce sont des translations sans transformations autres qu'un mouvement de rotation continu de la surface sphérique.
Outre cela , cette rotation angulaire qui ce rencontre entre le plan d'entrée et le plan de sortie ; pôle haut et pôle bas de la surface sphérique, me fait penser à l'image des trois doigts.
https://www.google.fr/search?q=champs+magnetique+3+doigts&client=firefox-a&hs=X25&rls=org.mozilla:fr:official&channel=np&tbm=isch&tbo=u&source=univ&sa=X&ei=nGIhVIaJDMaJOI7EgYAE&ved=0CC4QsAQ&biw=1173&bih=740
copyright Jean-claude LELONG-BONNARIC 23 septembre 2014 14 h 30
Re: L'intuition suite
Hier soir, après avoir écrit et décrit les points de passages de la translation entre plan euclidien et plan sphérique ; après avoir précisé que c'est l'équation du mouvement de translation qui apporte la Couronne Polaire ; m'est venu à l'esprit : c'est l'outil idéal de démonstration à utiliser avec les mathématiques actuelles et dans sa base axiomatique , pour montrer que Pi contient une partie atomique finie et mesurable.
Re: L'intuition suite
Je continu sur l'intuition .
la Couronne Polaire peut être considérée, projection orthogonale du plan euclidien sur le plan sphérique (lequel pouvant être en une de ses parties pour un autre plan euclidien // ), réciproquement projection orthogonale du plan sphérique sur le plan euclidien (pouvant être pris en une de ses parties, pour un autre plan sphérique //). La couronne Polaire en est l'intersection des deux.
L’étude sur les Nombres Premier, le démontrera, les Nombres Premiers ne peuvent avoir de projection orthogonale sur un autre plan qui serait // au plan initial.
J'espère pouvoir le démonter, la Couronne Polaire ne contient aucun point pouvant être de l'ensemble des Nombres Premiers. ceux impliquerait que la Couronne Polaire est partie de l'ensemble de combinaisons des Nombres Premiers, eux même exclu ; ( à moins que ne se démontre : la Couronne Polaire correspondrait au diviseur 1 ; ce qui remettrait les Nombres Premiers avec leurs combinaisons dans cet ensemble .
Ce qui est intéressant suivant ces mathématiques autrement toutes les projection du plan euclidien en dehors de la Couronne Polaire, ne peuvent être que Premiers entre eux ; ( aucun des plans constitués par 3 points connexes de la surface sphérique ne peut être // au plan.
La raison ; toutes droites projetées du plan euclidien sur une surface sphérique ; aucun des plans, constitués par 3 points connexes de la surface sphérique, ne peut être // au plan de projection . C'est la négation pure du Théorème de Pythagore. La droite de projection orthogonale au plan euclidien ne peut être orthogonale à la partie de plan euclidien délimite par trois points du plan sphérique.
Pour qu'il y ait Projection Orthogonale sur un plan sphérique , il faudrait non pas un mais deux plans sphérique différents ( l'un intérieur à l'autre) . Ce qui impliquerait, que l’orthogonalité d'un plan euclidien en dehors de la Couronne Polaire conduit à un volume , (de par la définition, d'un plan euclidien fait de 3 points, entre une surface sphérique intérieure et une surface sphérique extérieure) ; soit : une transition entre les parties de deux surfaces sphérique ; soit encore une différentielle entres celles ci.
Dans la projection d'un point du plan euclidien vers une surface sphérique, hormis , le plan de la Couronne Polaire qui est // et contient le même ensemble de parties , il n'existe pas de partie de surfaces sphériques dans l'ensemble de toutes les surfaces sphériques contenues dans une même volume sphérique, qui puisse être une surface plane définie par trois points et, qui soit // au plan initial, si et exclusivement si la distance de point à point entre le plan euclidien et le plan sphérique n'est pas une quantité exprimée en Nombre Premier
A l'inverse, si la distance est quantifié par une combinaison d'entier, il existe au moins pour une des surfaces sphériques constituant le volume sphérique depuis la Couronne Polaire, un partie de surface qui est // au plan initial.
Ce qui ferait conclure :rapport à un plan euclidien, toutes les projections orthogonales de distances quantifiées par l'ensemble des combinaisons d'entiers, vers un volume sphérique ou (incrémentation +1 de surfaces sphériques) , possèdent dans cet espace , une image identique au plan initial.
la Couronne Polaire peut être considérée, projection orthogonale du plan euclidien sur le plan sphérique (lequel pouvant être en une de ses parties pour un autre plan euclidien // ), réciproquement projection orthogonale du plan sphérique sur le plan euclidien (pouvant être pris en une de ses parties, pour un autre plan sphérique //). La couronne Polaire en est l'intersection des deux.
L’étude sur les Nombres Premier, le démontrera, les Nombres Premiers ne peuvent avoir de projection orthogonale sur un autre plan qui serait // au plan initial.
J'espère pouvoir le démonter, la Couronne Polaire ne contient aucun point pouvant être de l'ensemble des Nombres Premiers. ceux impliquerait que la Couronne Polaire est partie de l'ensemble de combinaisons des Nombres Premiers, eux même exclu ; ( à moins que ne se démontre : la Couronne Polaire correspondrait au diviseur 1 ; ce qui remettrait les Nombres Premiers avec leurs combinaisons dans cet ensemble .
Ce qui est intéressant suivant ces mathématiques autrement toutes les projection du plan euclidien en dehors de la Couronne Polaire, ne peuvent être que Premiers entre eux ; ( aucun des plans constitués par 3 points connexes de la surface sphérique ne peut être // au plan.
La raison ; toutes droites projetées du plan euclidien sur une surface sphérique ; aucun des plans, constitués par 3 points connexes de la surface sphérique, ne peut être // au plan de projection . C'est la négation pure du Théorème de Pythagore. La droite de projection orthogonale au plan euclidien ne peut être orthogonale à la partie de plan euclidien délimite par trois points du plan sphérique.
Pour qu'il y ait Projection Orthogonale sur un plan sphérique , il faudrait non pas un mais deux plans sphérique différents ( l'un intérieur à l'autre) . Ce qui impliquerait, que l’orthogonalité d'un plan euclidien en dehors de la Couronne Polaire conduit à un volume , (de par la définition, d'un plan euclidien fait de 3 points, entre une surface sphérique intérieure et une surface sphérique extérieure) ; soit : une transition entre les parties de deux surfaces sphérique ; soit encore une différentielle entres celles ci.
Dans la projection d'un point du plan euclidien vers une surface sphérique, hormis , le plan de la Couronne Polaire qui est // et contient le même ensemble de parties , il n'existe pas de partie de surfaces sphériques dans l'ensemble de toutes les surfaces sphériques contenues dans une même volume sphérique, qui puisse être une surface plane définie par trois points et, qui soit // au plan initial, si et exclusivement si la distance de point à point entre le plan euclidien et le plan sphérique n'est pas une quantité exprimée en Nombre Premier
A l'inverse, si la distance est quantifié par une combinaison d'entier, il existe au moins pour une des surfaces sphériques constituant le volume sphérique depuis la Couronne Polaire, un partie de surface qui est // au plan initial.
Ce qui ferait conclure :rapport à un plan euclidien, toutes les projections orthogonales de distances quantifiées par l'ensemble des combinaisons d'entiers, vers un volume sphérique ou (incrémentation +1 de surfaces sphériques) , possèdent dans cet espace , une image identique au plan initial.
Dernière édition par Admin le Dim 28 Sep - 17:47, édité 2 fois
Re: L'intuition suite
Je viens de lire un article sur ce que serait la théorie des cordes.
http://www.everyoneweb.fr/theoriedescordes
J'observe, non sans raison, que la Structure Tri-Orthogonale répond à ce modèle.
1° la création d'un chemin ouvert ou fermé par des équations paramétrées de degré n.
2°, la notion de déformation du chemin est le fait d'un autre chemin soit une action d'un chemin sur un autre chemin ce qui donnera un autre chemin.
3° la transposition entre Géométrie , Physique , Nombre, Analyse , est établie de par l'observation d'un lien direct entre déformation transformation du plan (espace avec un envers un endroit ) en double replis du plan (espace , sans envers ni endroit et qui ne correspond pas avec le Ruban de Moëbus ; lequel est une fausse transformation de 3D en 2D , car si on coupe le ruban dans le sens de la longueur on obtient deux maillons d'une chaine ce qui nécessairement implique une superposition des cercles.) Le principe que je propose est sans superposition , c'est le plan 2 D parfait .
http://www.everyoneweb.fr/theoriedescordes
J'observe, non sans raison, que la Structure Tri-Orthogonale répond à ce modèle.
1° la création d'un chemin ouvert ou fermé par des équations paramétrées de degré n.
2°, la notion de déformation du chemin est le fait d'un autre chemin soit une action d'un chemin sur un autre chemin ce qui donnera un autre chemin.
3° la transposition entre Géométrie , Physique , Nombre, Analyse , est établie de par l'observation d'un lien direct entre déformation transformation du plan (espace avec un envers un endroit ) en double replis du plan (espace , sans envers ni endroit et qui ne correspond pas avec le Ruban de Moëbus ; lequel est une fausse transformation de 3D en 2D , car si on coupe le ruban dans le sens de la longueur on obtient deux maillons d'une chaine ce qui nécessairement implique une superposition des cercles.) Le principe que je propose est sans superposition , c'est le plan 2 D parfait .
Re: L'intuition suite
Je pose ce texte sur intuition avant d'aller sur Sciences décalées , c'est bien de l'intuition qu'il s’agit .
Pour remettre en mémoire
J'ai parlé de l'inversion , du rapport 1/2 à 1/n , du facteur multiplicateur (4 Pi) ,pour l'obtention d'une translation sans transformation , du plan euclidien en plan sphérique. Des lors que les plans ont un point commun.
Pour garder les mêmes propriétés du principe d'inversion comme une constance fondamentale, l'intuition m'accorde de voir, que le facteur (4 Pi) peut être décomposé en deux facteurs appliqués à deux mouvements [espace /temps) exactement comme la relativité décrite par Einstein.
Il faut voir cela comme ; une oscillation pendulaire transformée en mouvement de rotation.
Pour remettre en mémoire
J'ai parlé de l'inversion , du rapport 1/2 à 1/n , du facteur multiplicateur (4 Pi) ,pour l'obtention d'une translation sans transformation , du plan euclidien en plan sphérique. Des lors que les plans ont un point commun.
Pour garder les mêmes propriétés du principe d'inversion comme une constance fondamentale, l'intuition m'accorde de voir, que le facteur (4 Pi) peut être décomposé en deux facteurs appliqués à deux mouvements [espace /temps) exactement comme la relativité décrite par Einstein.
Il faut voir cela comme ; une oscillation pendulaire transformée en mouvement de rotation.
Re: L'intuition suite
Dans la recherche que j'ai faite sur l'analyse de la construction de Pi, l'intuition m'accorde de voir , un lien entre : les Nombres Premiers , et la géométrie des Nombres Complexes.
A cet effet , y est joint : le cercle ; le point de centre ; la détermination de trois points sur la circonférence du cercle ; l'angle 1 ; l'angle 1/ 2 ; l' angle 1/3 ; la bissectrice ; la trisectrice .
La raison à cela, cela pourrait être le point de départ de la jonction entre mathématique autrement et Nombre complexes.
je renvoi , à un petit développement sur le Thème Science décalée page 3
A cet effet , y est joint : le cercle ; le point de centre ; la détermination de trois points sur la circonférence du cercle ; l'angle 1 ; l'angle 1/ 2 ; l' angle 1/3 ; la bissectrice ; la trisectrice .
La raison à cela, cela pourrait être le point de départ de la jonction entre mathématique autrement et Nombre complexes.
je renvoi , à un petit développement sur le Thème Science décalée page 3
Re: L'intuition suite
Dans la recherche faite sur la trisection de l'angle , Je suis parvenu découvrir une logique de construction qui conduit à une autre équation pour Pi.
L'intuition me renvoi à une partie de cette analyse, qui pour le cas particulier de la géométrie du carré, il y à de cela 20 ans m'avait intrigué et surpris ( ce n'est plus le cas maintenant j'en connais la raison) : le théorème de Pythagore permet de se passer des puissances de 2.
En effet : la trisection de l'angle , autorise de déterminer par la géométrie et avec exactitude , deux définitions d'une surface pour un même carré . Soit X² ; soit " x² + 2x " seulement pour x différent de 0 ce qui est logique ; le carré zéro n'a pas de géométrie.
Ce qui est intéressant de voir , est que la fonction X² se décompose en une nouvelle fonction x² + la dérivée 2 x' de cette même fonction ; avec x' = Racine de x.
Pour x =-1
x² donne +1
et 2 x' donne 2 Racine de -1
X² = 1 + 2 racine de -1
X = Racine (1 + 2 Racine de -1)
C'est l'introduction des Nombres Complexes qui est identique avec ces mathématiques autrement .
copyright Jean-claude LELONG-BONNARIC 12 Octobre 2014 17 H
L'intuition me renvoi à une partie de cette analyse, qui pour le cas particulier de la géométrie du carré, il y à de cela 20 ans m'avait intrigué et surpris ( ce n'est plus le cas maintenant j'en connais la raison) : le théorème de Pythagore permet de se passer des puissances de 2.
En effet : la trisection de l'angle , autorise de déterminer par la géométrie et avec exactitude , deux définitions d'une surface pour un même carré . Soit X² ; soit " x² + 2x " seulement pour x différent de 0 ce qui est logique ; le carré zéro n'a pas de géométrie.
Ce qui est intéressant de voir , est que la fonction X² se décompose en une nouvelle fonction x² + la dérivée 2 x' de cette même fonction ; avec x' = Racine de x.
Pour x =-1
x² donne +1
et 2 x' donne 2 Racine de -1
X² = 1 + 2 racine de -1
X = Racine (1 + 2 Racine de -1)
C'est l'introduction des Nombres Complexes qui est identique avec ces mathématiques autrement .
copyright Jean-claude LELONG-BONNARIC 12 Octobre 2014 17 H
Re: L'intuition suite
Juste un mot rapport au texte ci dessus :
Dans la recherche faite sur la trisection de l'angle , Je suis parvenu découvrir une logique de construction qui conduit à une autre équation pour Pi.
Cela, ne doit être interprété autrement qu'une étude ; savoir, l'angle de 90° est divisible par trois, et chaque partie font 30° . Ce qui vaut pour des angles connus, doit nécessairement, au moins pour une partie , être aussi dans les propriétés d'angles d'un valeur inférieure dont la divisibilité est recherchée ; ceci, d'une part . Et d'autre part, 90° est aussi la particularité des faces du cube. D'où l'existence d'un lien.
Depuis deux à trois mois, sur mon bureau, sont deux feuillets d'une dissertation mathématique, faite sur l'analyse d'une dérivation entre : deux valeurs entières ou fractionnaires , X et Y et une puissance puissances. Soit : pouvoir dériver en continu , X ^n à Y^ n dans un premier temps suivant des entiers.
J'avais mis cela de coté , cela me paraissait peu utile, la Structure Tri-Orthogonale a déjà cette propriété en effet, dériver en continu de X ^n à Y^m paraissait de plus grand intérêt.
Mais hier soir l'intuition m'est venue que la forme de dériver en continu , de X ^n à Y^ n , est dans une structure similaire à la forme polynomiale des (X +ou -Y ) ^n exception fait qu'a chaque pas de la dérive , est absent , le coefficient binomial.
Dans la recherche faite sur la trisection de l'angle , Je suis parvenu découvrir une logique de construction qui conduit à une autre équation pour Pi.
Cela, ne doit être interprété autrement qu'une étude ; savoir, l'angle de 90° est divisible par trois, et chaque partie font 30° . Ce qui vaut pour des angles connus, doit nécessairement, au moins pour une partie , être aussi dans les propriétés d'angles d'un valeur inférieure dont la divisibilité est recherchée ; ceci, d'une part . Et d'autre part, 90° est aussi la particularité des faces du cube. D'où l'existence d'un lien.
Depuis deux à trois mois, sur mon bureau, sont deux feuillets d'une dissertation mathématique, faite sur l'analyse d'une dérivation entre : deux valeurs entières ou fractionnaires , X et Y et une puissance puissances. Soit : pouvoir dériver en continu , X ^n à Y^ n dans un premier temps suivant des entiers.
J'avais mis cela de coté , cela me paraissait peu utile, la Structure Tri-Orthogonale a déjà cette propriété en effet, dériver en continu de X ^n à Y^m paraissait de plus grand intérêt.
Mais hier soir l'intuition m'est venue que la forme de dériver en continu , de X ^n à Y^ n , est dans une structure similaire à la forme polynomiale des (X +ou -Y ) ^n exception fait qu'a chaque pas de la dérive , est absent , le coefficient binomial.
Re: L'intuition suite
L’intuition, m'accorde la construction mentale, de l'association Structure Tri-Orthogonale conjointement à la Structure de la forme (exprimée ci dessus ) pour permettre de dériver en continu , de [ X ^n à Y^ n ] . Cette fois non plus comme une seule dérive ( ligne ouverte). Mais comme une ligne entourant un espace clos ; sorte de carré mathématique : les quatre diagonales d'une Matrice dont l'origine est le centre.
La Structure Tri-Orthogonale est une Matrice Expansive , cette Structure Carré Mathématique est totalement incluse dans la précédente comme limite d’enceinte d'espace clos .
Dans une variation continue, de type (onde) ondulatoire, en admettant que suivant les repères de la Structure Tri-Orthogonale , soit extrait un point quelconque , ce même point répond à plusieurs équations .
1° l'équation de la Structure Tri Orthogonale qui le construit.
2° l'équation Polynomiale répondant à la Structure Carré Mathématique passant en ce point.
3° les constantes ( plan constant , parties plan replié ) sont identiques aux deux équations .
D'où , la première équation moins la seconde équation = 0 (mathématique )
En d'autre terme , la première équation dérive vers + - l' infini, la seconde équation dérive vers + - infini de manière inverse , ondulatoire en étant portée par la première ( totalement incluse ).
Cela me met en mémoire : la précession et la Géométrie déjà évoquée.
La Structure Tri-Orthogonale est une Matrice Expansive , cette Structure Carré Mathématique est totalement incluse dans la précédente comme limite d’enceinte d'espace clos .
Dans une variation continue, de type (onde) ondulatoire, en admettant que suivant les repères de la Structure Tri-Orthogonale , soit extrait un point quelconque , ce même point répond à plusieurs équations .
1° l'équation de la Structure Tri Orthogonale qui le construit.
2° l'équation Polynomiale répondant à la Structure Carré Mathématique passant en ce point.
3° les constantes ( plan constant , parties plan replié ) sont identiques aux deux équations .
D'où , la première équation moins la seconde équation = 0 (mathématique )
En d'autre terme , la première équation dérive vers + - l' infini, la seconde équation dérive vers + - infini de manière inverse , ondulatoire en étant portée par la première ( totalement incluse ).
Cela me met en mémoire : la précession et la Géométrie déjà évoquée.
Re: L'intuition suite
Je travaillais mon explication à donner , sur la forme de la Structure Tri-Orthogonale et la fonction Régression Différentielle d'ordre (n); lorsque, m'est venu à l'esprit, le Triangle Arithmétique est parcouru pas un onde (+1 -1) dans certaines conditions . Cela est visible avec l’expression(-1) ^(n) ou (n+1), facteur du coefficient binomial de chaque terme d'un polynôme de degré (n) ; tel que (a-b) ^n .
Cette partie d'expression : (-1) ^(n) ou (n+1), ce rencontre avec les mathématiques autrement, pour retrouver, le point ou l'intervalle, régressé entre (0 et n ou n+1).
Le calcul, d'une somme des coefficients signés alternativement , pour les coefficients du Triangle Arithmétique , introduit, une fonction Somme Partielle . C'est à dire, donne un autre Triangle de forme Arithmétique particulière , tel que , les termes de la ligne( n-1) du Triangle Arithmétique sont ajoutés aux termes de la ligne (n ) pour former la nouvelle ligne du dit Triangle Particulier.
Ce qui est inattendu, et qui devrait avoir une signification mathématique d'importance, le jeu de coefficients alternativement signés crée de nouveaux coefficients dans le Triangle particulier . Chaque cellules résultantes garde le signe de la cellules ; d'où sans changement, seuls changent les coefficients.
Le nouveau Triangle pour lui même , ne répond plus aux caractéristiques des Triangles Arithmétiques sommes par le fait coefficients signé.
C'est là où l'intuition intervient : si, sont prises, les valeurs sans signes, le nouveau triangle reste un Triangle Arithmétique Classique. Et dans ce cas , il est possible ajouter à la Structure Tri-Orthogonale un nouveau plan , intermédiaire , en alternance entre le plan 0 de structure et le plan 1, et ne représentant qu'un seul plan, répondant à l’équation générale qui construit la Structure Tri-Orthogonale.
Là, encore intervient l'intuition, l'onde issue de l'alternance des signes, est indépendante , de l’équation Générale et sans action sur la dite équation.
Après vérification
Cette partie d'expression : (-1) ^(n) ou (n+1), ce rencontre avec les mathématiques autrement, pour retrouver, le point ou l'intervalle, régressé entre (0 et n ou n+1).
Le calcul, d'une somme des coefficients signés alternativement , pour les coefficients du Triangle Arithmétique , introduit, une fonction Somme Partielle . C'est à dire, donne un autre Triangle de forme Arithmétique particulière , tel que , les termes de la ligne( n-1) du Triangle Arithmétique sont ajoutés aux termes de la ligne (n ) pour former la nouvelle ligne du dit Triangle Particulier.
Ce qui est inattendu, et qui devrait avoir une signification mathématique d'importance, le jeu de coefficients alternativement signés crée de nouveaux coefficients dans le Triangle particulier . Chaque cellules résultantes garde le signe de la cellules ; d'où sans changement, seuls changent les coefficients.
Le nouveau Triangle pour lui même , ne répond plus aux caractéristiques des Triangles Arithmétiques sommes par le fait coefficients signé.
C'est là où l'intuition intervient : si, sont prises, les valeurs sans signes, le nouveau triangle reste un Triangle Arithmétique Classique. Et dans ce cas , il est possible ajouter à la Structure Tri-Orthogonale un nouveau plan , intermédiaire , en alternance entre le plan 0 de structure et le plan 1, et ne représentant qu'un seul plan, répondant à l’équation générale qui construit la Structure Tri-Orthogonale.
Là, encore intervient l'intuition, l'onde issue de l'alternance des signes, est indépendante , de l’équation Générale et sans action sur la dite équation.
Après vérification
Superbe , le Triangle particulier , est une forme
Triangulaire du triangle Arithmétique simple
Triangulaire du triangle Arithmétique simple
Re: L'intuition suite
Cela fait quelques jours, j'ai repris , la recherche faite il y a plus de 30 ans de cela , la partie atomique qui serait, introduite dans un calcul de la constante "Pi".
Cette partie atomique, Léonard Euler, en a fait une approche, avec le produit successifs des rapports qui, par élimination, numérateur dénominateur commun, laisse au final , le rapport du plus petit / par le plus grand.
Deux cas sont possibles , les mathématiques actuelles, pour lesquelles il n'y pas de limite et cela serait la descente vers l'infini non commensurable , et les mathématiques différentes pour lesquelles il n'y a pas de limite mais inversion dans la continuité.
Je me suis souvenu que pour cette dernière, j'ai rencontré une autre forme de progression autre que la progression Géométrique ou même la progression Arithmétique . Autre forme que j'ai nommé la " progression Angulaire " , laquelle forme, est un assemblage des deux.
L'exemple en serrait dans l'expression des fractions continues. Expression que j'ai retrouvé dans la Structure Tri-Orthogonale et le calcul d'un point , rapport à : ses voisins directs dans une direction donnée ; qui eux mêmes ont une valeur exacte en fonction des mêmes critères. C'est à dire : la valeur d'un point est une valeur exacte fonction du nuage de points qui l'entoure.
Je bloquais pour en donner une explication simple , l'intuition, me fait penser : revoir, un angle comme une entité avec des modes opératoires similaires aux Nombres.
Cette partie atomique, Léonard Euler, en a fait une approche, avec le produit successifs des rapports qui, par élimination, numérateur dénominateur commun, laisse au final , le rapport du plus petit / par le plus grand.
Deux cas sont possibles , les mathématiques actuelles, pour lesquelles il n'y pas de limite et cela serait la descente vers l'infini non commensurable , et les mathématiques différentes pour lesquelles il n'y a pas de limite mais inversion dans la continuité.
Je me suis souvenu que pour cette dernière, j'ai rencontré une autre forme de progression autre que la progression Géométrique ou même la progression Arithmétique . Autre forme que j'ai nommé la " progression Angulaire " , laquelle forme, est un assemblage des deux.
L'exemple en serrait dans l'expression des fractions continues. Expression que j'ai retrouvé dans la Structure Tri-Orthogonale et le calcul d'un point , rapport à : ses voisins directs dans une direction donnée ; qui eux mêmes ont une valeur exacte en fonction des mêmes critères. C'est à dire : la valeur d'un point est une valeur exacte fonction du nuage de points qui l'entoure.
Je bloquais pour en donner une explication simple , l'intuition, me fait penser : revoir, un angle comme une entité avec des modes opératoires similaires aux Nombres.
Re: L'intuition suite
Il y a de cela, plus de quinze ans j'ai pu découvrir la composition de la Structure "produit de deux Nombres Premiers". Cela relève d'un long processus , qui en finalité , par construction de la Structure laisse apparaitre à l'intersection ligne colonne ,la valeur/position comme le point d'égalité de deux fonctions, cela sous la forme d'une équation du second degré ( équation définies dans le plan)
Alors que jusqu'à présent il m'était quasiment impossible de pouvoir passer d'une valeur Binaire à une valeur Analogique, l'intuition m'accorde de voir cela, comme un simple changement de Base Numérale,
Déjà j'avais entre aperçu, le moyen de procéder à un binarité , par le reste d'un différentiel (R)
et le résultat d'une fonction [& nbits] par la conjonction multiplicative des restes de différentiels (Ri).
Ce qui sous tend à pouvoir à disposer d'une binarité quel que soit la Structure. En effet , si et seulement si il peut être procédé à un superposition terme à terme des indices de plusieurs structures et cela indépendamment des unités appliquées à leurs dimensions , il existera toujours une Structure binaire (d'unité temporaire commune) permettant une relation terme à terme de l'une aux autres et vice versa.
Ce qui apporte, une réelle simplification ; en effet, à supposer qu'une Structure ne soit constructible que d'une manière procédurale, pour raison de complexité, d'analyse. Pouvoir la superposer, à une Structure dont on connait l'équation de sa composition, permet d'en associer les calculs.
Par le jeu du combinatoire entre les Structures, il devient possible de résoudre des systèmes , puisque :
il est possible, en toutes positions et termes à termes, d'associer valeurs et même position ; ou unités dimensionnelles de position et même valeur , ou bien encore connaitre ou pouvoir calculer les rapports entre valeurs voire entre dimensions.
Alors que jusqu'à présent il m'était quasiment impossible de pouvoir passer d'une valeur Binaire à une valeur Analogique, l'intuition m'accorde de voir cela, comme un simple changement de Base Numérale,
Déjà j'avais entre aperçu, le moyen de procéder à un binarité , par le reste d'un différentiel (R)
et le résultat d'une fonction [& nbits] par la conjonction multiplicative des restes de différentiels (Ri).
Ce qui sous tend à pouvoir à disposer d'une binarité quel que soit la Structure. En effet , si et seulement si il peut être procédé à un superposition terme à terme des indices de plusieurs structures et cela indépendamment des unités appliquées à leurs dimensions , il existera toujours une Structure binaire (d'unité temporaire commune) permettant une relation terme à terme de l'une aux autres et vice versa.
Ce qui apporte, une réelle simplification ; en effet, à supposer qu'une Structure ne soit constructible que d'une manière procédurale, pour raison de complexité, d'analyse. Pouvoir la superposer, à une Structure dont on connait l'équation de sa composition, permet d'en associer les calculs.
Par le jeu du combinatoire entre les Structures, il devient possible de résoudre des systèmes , puisque :
il est possible, en toutes positions et termes à termes, d'associer valeurs et même position ; ou unités dimensionnelles de position et même valeur , ou bien encore connaitre ou pouvoir calculer les rapports entre valeurs voire entre dimensions.
Re: L'intuition suite
Cela fait plusieurs jours que je tente une construction de la structure Nombre Premier par une modèle mathématique suivant les mathématiques actuelles. Je pensais pouvoir y parvenir après la lecture du livre .
"Les Nombres Surreels," ou comment deux anciens étudiants ddécouvrirent les mathématiques pures et vécurent heureux Une romance mathématique de D. E. Knuth . *
cela me semblait possible de par son coté langage naturel romancé avant une démonstration mathématique. Et, du fait que la construction de l'univers du Nombre que présent ce livre s'y retrouve esprit similaire.
Je n'ai pu y parvenir , la Structure de ces Nombres, est faite sur la base de deux ensembles , alors que la Structure telle que je l'ai perçu dans mes propres analyses, serait selon trois ensembles .
L'introduction du livre, tient pour base , "
Au commencement, tout n'était que vide et chaos. Et J. H. W.H. Conway créa les nombres. Conway dit \Qu'il y ait deux règles qui engendrent tous les nombres, petits et grands.
\Cela sera la première règle : Tout nombre est issu de deux ensembles de nombres déja existants, tel qu'aucun membre de l'ensemble de gauche n'est supérieur ou égal a un membre quel conque de l'ensemble de droite.\Cela sera la deuxième règle : Un nombre est inférieur ou égal a un autre nombre si et seulement si, aucun membre de l'ensemble de gauche du premier nombre n'est supérieur ou égal au second nombre, et aucun membre de l'ensemble de droite du second nombre n'est inférieur ou égal au premier nombre. Et Conway regarda
les deux rrègles qu'il avait crees et considera que c'etait tres bien. "
Au commencement, tout n'était que vide et chaos , vide et chaos , me paraissait être du plus grand intérêt pour cette perception qui m'est venue " deux dimensions + une dimension constante combinaison des deux autres.
En effet , opposition à vide , est plein , et l'opposition à chaos est ordonné.
Plein est le complément de vide , cela fait 1 et ordonné est le complément à chaos c'est à dire sans autre changement qu'une organisation logique de l'ensemble en son entier .
C'est exactement le concept de "Structure" tel que je l'ai décrit dans ces pages.
Or, une fois achevé ce livre, au demeurant d'une grande qualité et d'une facilité de compréhension des démonstrations qui sont données à chaque étape, j'ai été déçu, je n'ai pas rencontré l'idée de chaos !!!
J'aimerai prendre appui sur cet ouvrage, il est totalement dans l'esprit de ma pensée , une forme, langage naturel suivi de démonstrations.
* http://www.fichier-pdf.com/telecharger-ebook-surreel-gratuit-convertir-pdf.htm
"Les Nombres Surreels," ou comment deux anciens étudiants ddécouvrirent les mathématiques pures et vécurent heureux Une romance mathématique de D. E. Knuth . *
cela me semblait possible de par son coté langage naturel romancé avant une démonstration mathématique. Et, du fait que la construction de l'univers du Nombre que présent ce livre s'y retrouve esprit similaire.
Je n'ai pu y parvenir , la Structure de ces Nombres, est faite sur la base de deux ensembles , alors que la Structure telle que je l'ai perçu dans mes propres analyses, serait selon trois ensembles .
L'introduction du livre, tient pour base , "
Au commencement, tout n'était que vide et chaos. Et J. H. W.H. Conway créa les nombres. Conway dit \Qu'il y ait deux règles qui engendrent tous les nombres, petits et grands.
\Cela sera la première règle : Tout nombre est issu de deux ensembles de nombres déja existants, tel qu'aucun membre de l'ensemble de gauche n'est supérieur ou égal a un membre quel conque de l'ensemble de droite.\Cela sera la deuxième règle : Un nombre est inférieur ou égal a un autre nombre si et seulement si, aucun membre de l'ensemble de gauche du premier nombre n'est supérieur ou égal au second nombre, et aucun membre de l'ensemble de droite du second nombre n'est inférieur ou égal au premier nombre. Et Conway regarda
les deux rrègles qu'il avait crees et considera que c'etait tres bien. "
Au commencement, tout n'était que vide et chaos , vide et chaos , me paraissait être du plus grand intérêt pour cette perception qui m'est venue " deux dimensions + une dimension constante combinaison des deux autres.
En effet , opposition à vide , est plein , et l'opposition à chaos est ordonné.
Plein est le complément de vide , cela fait 1 et ordonné est le complément à chaos c'est à dire sans autre changement qu'une organisation logique de l'ensemble en son entier .
C'est exactement le concept de "Structure" tel que je l'ai décrit dans ces pages.
Or, une fois achevé ce livre, au demeurant d'une grande qualité et d'une facilité de compréhension des démonstrations qui sont données à chaque étape, j'ai été déçu, je n'ai pas rencontré l'idée de chaos !!!
J'aimerai prendre appui sur cet ouvrage, il est totalement dans l'esprit de ma pensée , une forme, langage naturel suivi de démonstrations.
* http://www.fichier-pdf.com/telecharger-ebook-surreel-gratuit-convertir-pdf.htm
Re: L'intuition suite
Hier, j'ai fait une rétrospective cherchant à in-visualiser mentalement la Courbe du Continu Hermaphrodite, avant, sa dissociation en deux Courbes Espace et Temps . Je crois que l'on dit rêve , quand après un réveil reste gravé dans la mémoire une image ou une suite d'image dont la cohérence reflète une pseudo réalité du moins une faisabilité matérielle en construction.
Dans cette suite d'images d'un bleu nuit pas excessivement profond 3/4 ton, étaient des sortes de barres cylindriques d'un même bleu 1/4 ton . Les unes venaient verticalement les autres horizontalement , et lorsque celle ci se rencontraient ( comme si l'une etait séparatrice de l'autreà , dans la section ce trouvait une forme oblongue comme un point lumière de couleur Rouge 3/4 .orange 1/2 jaune-blanc 1/4. et donnait l'apparence de scinder les barres en deux les laissant visibles dans leur couleurs originelles , les séparations de l’horizontalité proportionnaient la verticalité en deux nombres entiers superposés, comme, représentant ensemble une fraction.
C’était comme une photo prise de très prés dans l'infiniment petit d'une partie pyramidale . la même photo , comme un zoom arrière donnait à tous ces points lumineux des ondulations formant un plan de coupe d'un blanc étincelant . Sorte de plan froissée section d'une pyramide à quatre face .
les barres n’était qu'une seule barre , comme un chemin unique, lieu, ou semblait circuler une énergie ces formes oblongues alors qu'elles étaient statiques. leur mouvement n' était que apparent c’était les différents niveaux du plan, les rapports de deux entiers, qui donnait l'impression de mouvement.
En fait cette apparence du mouvement était dû à ce Zoom d'image rentrant dans l’infiniment petit , le haut de la Pyramide constitué de plusieurs formes oblongues.
La beauté de ces tableaux dans ses couleurs n'a d'égal que celle du songe, lorsque encore non éveillé votre esprit travaille pour vous.
Dans cette suite d'images d'un bleu nuit pas excessivement profond 3/4 ton, étaient des sortes de barres cylindriques d'un même bleu 1/4 ton . Les unes venaient verticalement les autres horizontalement , et lorsque celle ci se rencontraient ( comme si l'une etait séparatrice de l'autreà , dans la section ce trouvait une forme oblongue comme un point lumière de couleur Rouge 3/4 .orange 1/2 jaune-blanc 1/4. et donnait l'apparence de scinder les barres en deux les laissant visibles dans leur couleurs originelles , les séparations de l’horizontalité proportionnaient la verticalité en deux nombres entiers superposés, comme, représentant ensemble une fraction.
C’était comme une photo prise de très prés dans l'infiniment petit d'une partie pyramidale . la même photo , comme un zoom arrière donnait à tous ces points lumineux des ondulations formant un plan de coupe d'un blanc étincelant . Sorte de plan froissée section d'une pyramide à quatre face .
les barres n’était qu'une seule barre , comme un chemin unique, lieu, ou semblait circuler une énergie ces formes oblongues alors qu'elles étaient statiques. leur mouvement n' était que apparent c’était les différents niveaux du plan, les rapports de deux entiers, qui donnait l'impression de mouvement.
En fait cette apparence du mouvement était dû à ce Zoom d'image rentrant dans l’infiniment petit , le haut de la Pyramide constitué de plusieurs formes oblongues.
La beauté de ces tableaux dans ses couleurs n'a d'égal que celle du songe, lorsque encore non éveillé votre esprit travaille pour vous.
Re: L'intuition suite
Si je dois porter tout cela en écriture , je viens d'en recevoir un titre qui représente, une vie.
Coup de pied de l'Âne à la mémoire d'un C.n !
Re: L'intuition suite
Les circonstance ont fait que suite au nouvel outil de Régression différentielle©, j'ai du analyser de nombreuses formes d’équations de degré (n) sachant qu'il se trouvait un lien avec la Structure Tri-Orthogonale© ; sans pour autant définir le lien exact.
En fait, sont construit de nombreux outils, liés entre eux , mais sans un lien général.
L'intuition m'est venue, de concevoir tous ces outils comme un ensemble unique servant à une résolution.
A supposer qu'une équation de degré n soit de la forme , pour n & i indice = 0 à n, Somme a (i) X ^(x) = 0 avec a variable entre - et + infini
Il est devenu possible , de transformer l’équation en ( X - Y) ^ n suivant une double inversion ( l'observation a été renouvelée et à chaque fois le résultat est identique) .
Cela laisse supposer , que tous les a(i) sont les puissances de Y. Or cela est une certitude vérifiée , toutes les puissances de Y sont aussi, les produits des variables, combinées par parties contrôlées, et pour laquelle à une puissance donnée, la Somme, égale, le produit de X à sa puissance par Y à sa puissance ; c'est à dire qu'il semblerait qu'une équation de degré n , se décompose en une somme d'équations de degrés inférieurs.
Et comme par hasard , cela fait lien général avec tous les autres outils développés.
A supposer une équation de degré n quelconque, chaque terme de puissance se décompose et une autre polynôme ( c'est ce qui est produit sans calcul par la Structure Tri-Orthogonale©)
Qu'en serait il pour la transcendance qui n'est pas polynomiale, elle n'aurait pas d'équation ? ou bien l’équation serait différente de (0) mais en ce cas , il est toujours possible de la porter à (0) et dans ce cas il est démontrable que le zéro est le reste d'une Régression Différentielle© , cela par les puissances de ( X ) compris entre les limites de - infini et+ infini pour toutes puissances comprise entre les limites de - infini et+ infini . C'est un résultat constant de la Régression Différentielle© quelque soit la puissance.
©
En fait, sont construit de nombreux outils, liés entre eux , mais sans un lien général.
Le but final étant bien de résoudre des équations de degré n à n inconnues.
L'intuition m'est venue, de concevoir tous ces outils comme un ensemble unique servant à une résolution.
A supposer qu'une équation de degré n soit de la forme , pour n & i indice = 0 à n, Somme a (i) X ^(x) = 0 avec a variable entre - et + infini
Il est devenu possible , de transformer l’équation en ( X - Y) ^ n suivant une double inversion ( l'observation a été renouvelée et à chaque fois le résultat est identique) .
Cela laisse supposer , que tous les a(i) sont les puissances de Y. Or cela est une certitude vérifiée , toutes les puissances de Y sont aussi, les produits des variables, combinées par parties contrôlées, et pour laquelle à une puissance donnée, la Somme, égale, le produit de X à sa puissance par Y à sa puissance ; c'est à dire qu'il semblerait qu'une équation de degré n , se décompose en une somme d'équations de degrés inférieurs.
Et comme par hasard , cela fait lien général avec tous les autres outils développés.
A supposer une équation de degré n quelconque, chaque terme de puissance se décompose et une autre polynôme ( c'est ce qui est produit sans calcul par la Structure Tri-Orthogonale©)
Qu'en serait il pour la transcendance qui n'est pas polynomiale, elle n'aurait pas d'équation ? ou bien l’équation serait différente de (0) mais en ce cas , il est toujours possible de la porter à (0) et dans ce cas il est démontrable que le zéro est le reste d'une Régression Différentielle© , cela par les puissances de ( X ) compris entre les limites de - infini et+ infini pour toutes puissances comprise entre les limites de - infini et+ infini . C'est un résultat constant de la Régression Différentielle© quelque soit la puissance.
©
Re: L'intuition suite
Cela fait longtemps que j'ai en tête vu en plusieurs études notamment celle effectuée dans le cadre de l’arithmétique sur les compléments modulaire de F. Gauss, pour la construction logique de la suite des Nombres Premiers ( je m'en suis déjà ouvert sur à la rubrique sciences décalée), ce rencontre une sorte de courbe continu en forme de alpha vertical, courbe suivant laquelle pour observer une symétrie dans la suite de ses points , il est nécessaire de faire le saut dans la continuité suivant un intervalle d'une quantité de points , pour rendre l'ensemble absolument symétrique en ne passant sur chacun des points de la dite courbe ( en forme d'alpha qu'une seule fois).
L'intuition m'est venu , que cette forme alpha nécessitant un saut , ne peut pas être unique , si elle doit faire partir d'un modèle généralisateur. Entendant par généralisateur, une sorte de loi de construction pour par suite d'une fonction générative.
Ainsi m'est venu par intuition , que ce saut est un "saut logique" qui devrait se retrouver ailleurs dans les calculs mathématiques ou dans d'autres lois de composition.
Le Combinatoire vu par ces MDA est un glissement continu , par lequel il existe un saut logique lors de la formation des combinaisons telle que i - 1 parmi k et i parmi K. cela est du à l'ajout de la variable multiplicatrice qui est active sur (i -1 ) et non sur (i ) puisque étant multiplicatrice à (i -1) elle s'ajoute à (i) et ( i-1+1) devient (i).
l'intuition me montre que c'est dans le combinatoire que ce trouve ce saut. L'augmentation par une variable produit un saut.
L'intuition m'est venu , que cette forme alpha nécessitant un saut , ne peut pas être unique , si elle doit faire partir d'un modèle généralisateur. Entendant par généralisateur, une sorte de loi de construction pour par suite d'une fonction générative.
Ainsi m'est venu par intuition , que ce saut est un "saut logique" qui devrait se retrouver ailleurs dans les calculs mathématiques ou dans d'autres lois de composition.
Le Combinatoire vu par ces MDA est un glissement continu , par lequel il existe un saut logique lors de la formation des combinaisons telle que i - 1 parmi k et i parmi K. cela est du à l'ajout de la variable multiplicatrice qui est active sur (i -1 ) et non sur (i ) puisque étant multiplicatrice à (i -1) elle s'ajoute à (i) et ( i-1+1) devient (i).
l'intuition me montre que c'est dans le combinatoire que ce trouve ce saut. L'augmentation par une variable produit un saut.
Re: L'intuition suite
Nous sommes le mercredi 14 septembre 2016 , hier soir , je dessinais mes schémas explicatifs , sur le raisonnement de la Transformation d'un Objet mathématique en un autre objet . Lorsque l'intuition me montre : une forme de variation se liant à tout ce que j'ai pu apprendre jusque à présent ; cela en venant le compléter d'une manière formelle. Si pour tous (A) est possible une transformation en l'un des éléments composant (C) , si pour tous (B) est possible une transformation en l'un des éléments composant (C) ; Bien que (A) et ( B ) soient totalement différencié par dissociation totale , Il devient possible de les associer de par leur transformation à un élément (c) commun de (C) qui devient leur constant .
De la sorte , (A) et (B) s'inscrivent dans un ensemble global , de par (C) intermédiaire de transformation . Il existe en (A) et (B) une loi de transformation réciproque , laquelle est absolument continu de par le constant (C).
Ceci prend d’autant plus d'importance que , l'espace entre (A) et (B) passant par (C) défini dans l'Espace du Fini Expansif devient Totalement Fini , totalement délimité en cet espace , la courbe des limites de surface inclus la bordure extérieure.
Or , cette bordure extérieure, sur l'une des quatre parties que nous lui connaissons toutes ses différentielles sont égales à 0 .
Ceci , est la perception intuitive que nous avons eu , elle ne modifie pas l'avancée de cette Mathématique Expérimentale bien au contraire lui fait faire un grand bon en avant sur la résolution des équations de degré (n) à n inconnues
De la sorte , (A) et (B) s'inscrivent dans un ensemble global , de par (C) intermédiaire de transformation . Il existe en (A) et (B) une loi de transformation réciproque , laquelle est absolument continu de par le constant (C).
Ceci prend d’autant plus d'importance que , l'espace entre (A) et (B) passant par (C) défini dans l'Espace du Fini Expansif devient Totalement Fini , totalement délimité en cet espace , la courbe des limites de surface inclus la bordure extérieure.
Or , cette bordure extérieure, sur l'une des quatre parties que nous lui connaissons toutes ses différentielles sont égales à 0 .
Ceci , est la perception intuitive que nous avons eu , elle ne modifie pas l'avancée de cette Mathématique Expérimentale bien au contraire lui fait faire un grand bon en avant sur la résolution des équations de degré (n) à n inconnues
Re: L'intuition suite
Lundi 10 octobre , depuis quelques temps nous nous relisons comment avons nous défini l’équation générale . La complexité du raisonnement est telle qu'il faut plusieurs jours pour se remettre dans le fil de la logique déductive et du même temps cela permet de rouvrir l'esprit d'analyse sur les images mentales que nous avons sur le sujet . Et il en est une qui m'est venue ce matin . J'ai eu le souvenir de cours d’Électronique lors de mes études à Rochefort-Joinville ,notamment de travaux à l’oscilloscope et Générateur Tension /Courant pour l’établissement des graphiques de tubes à vide Diode et Triodes ( des fonctions E/S ).
Et , l'image qui m'est venu à l'esprit rapport à l'espace que construit l’équation générale , est à quelque chose prés similaire. Un réseau de lignes, formant chacun un angle différent pour une partie, puis devenant parallèles . Sauf que ici l'espace étant en 3D , nous dirions que que le graphique à oscilloscope en était seulement une tranche ( un instant t dans une variations de temps ). Or il avait toujours un élément constant , soit la tension soit le courant qui devait être constant.
Et , l'image qui m'est venu à l'esprit rapport à l'espace que construit l’équation générale , est à quelque chose prés similaire. Un réseau de lignes, formant chacun un angle différent pour une partie, puis devenant parallèles . Sauf que ici l'espace étant en 3D , nous dirions que que le graphique à oscilloscope en était seulement une tranche ( un instant t dans une variations de temps ). Or il avait toujours un élément constant , soit la tension soit le courant qui devait être constant.
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